L'Origine et le Changement
Bienvenue sur l'Origine et le Changement; un forum RPG. Plongez dans ce monde médiéval fantastique aux possibilités infinies.
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| | | Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] |  |
| | | Auteur | Message |
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Krogan Drad
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![Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | Sujet: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] ![Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Jeu 26 Aoû - 15:48 | |
| Forêt profonde comme un cœur oublier où la lune s’émerveille et rend la beauté à ces choses qui l’on toujours eut. Instant de grâce née de l’Origine seul et de son âme calme pour lequel il ne peut que ressentir la fierté regardant cet âtre par l’œil des cieux. Ils sont là, entourant la clairière qu’était un arbre millénaire il y a quelques temps, regardant en priant toujours en silence dans leur sommeil séculaire ce qui était leur chef avant que l’une des leurs ne le rende à la mort qu’il n’avait pas encore chercher. Lui l’ancien parmi les ancien, lui le vieux chêne, âme de cette forêt à rejoint l’Origine pour y trouver la paix alors que ses frères avait encore besoin de lui. Ils dorment en priant, bouleau comme pins dans cette forêt merveilleuse mélangeant les essences autant que les odeurs. Ils dorment en priant assit sur leurs dalle ou à même le sol et leurs jambes puissantes plongeant dans le sol pour s’unir à la terre et par là à celui qui les observent des cieux. Ils dorment en priant alors que dans la clairière où la lune fait resplendir la dalle de pierre claire à coter de laquelle était posé les restes du vieux chêne, entre deux êtres bien trop proche de l’homme pour parler à ceux qui ne sont plus que les rêves d’un dieux ayant crée tout un monde autant que la vie qui y siègera…
Pourtant le vent se lève doucement comme pour les pousser à entré plus loin, vers le centre, ils ne peuvent plus faire demi tour et le temps vas être à la parole. La prière qui dura des années n’est plus dans les cœurs et l’œil calme du saule au visage encore triste de la perte de son frère et aux larmes encore greffer sur ses branches fines les regardes doucement. Il ne prendra pas la parole et ne les attaquera pas même si elle est parmi les deux êtres … Lui ne le fera pas mais que ferons les autres ? L’ébène n’hésitera pas mais il est encore trop prit par ses prières tandis que l’orme fait de même que le saule … il est temps de parler mais pas pour eux, pour ses êtres si loin de la nature. | |
| | | | Oyan Unerii
Le Guide
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Ven 27 Aoû - 10:55 | |
| Forêt profonde qui ne peut être explorée toute entière en une seule nuit pas les simples pas d'un serviteur de l'Origine. Mais il sait que sa route est la bonne. Il recherche les arborels, les arbres capables de se mouvoir et de combattre pour celui qui leurs avait donné cette possibilité, l'Origine. Il sait que sa route est la bonne car ceux qui n'ont pas acquis la capacité de se mouvoir savent parler. Ils ne disposent pas d'une bouche pour le faire mais leurs langage n'en est pas moins aisé à comprendre pour ceux qui ont eût la patience de l'apprendre. Il avance, caressant l'écorce des arbres près desquels il passe afin de sentir leurs respirations, lentes et profondes. Il avance et laisse ses pieds nus s'imprégner de la terre de cette forêt soulevant les feuilles jaunies tombées il y à peu. Il avance et lève le regard vers les oiseaux qui chantent entre les feuilles d'or et d'ocre, venues avec l'automne. Il avance et inspire au même rythme que les arbres, fermant les yeux et se laissant guider par leurs bruissement.
Ses yeux d'ambres s'ouvrent lorsque les bruissement changent. Il sourit car les bruissement son devenus d'avantage un chant. Une ode à l'Origine. Les arbres prient. Quelques pas et il entre dans un lieu de magie. Un vaste cercle d'herbe et de feuilles emportées par le vent loin des arbres. Un vaste cercle d'herbe baigné d'une douce lumière argentée et veillée par les étoiles. Le Guide observe autour de lui en silence, ne voulant pas interrompre la prière des arbres. Il observe et avance jusqu'au centre de la clairière. Au centre une dalle de pierre et un arbre mort. Face à cette vision, le sourire de Oyan disparaît. Il se laisse tomber à genoux et pose ses mains sur l'écorce que la vie à quitté. Ses yeux pleins de tristesse se closent et la lumière illuminent ses mains. Il ne peut guérir cette arbre. Mais il peut donner une chance à sa lignée de ne pas s'éteindre.
Alors que la lumière grandit, naît un chant depuis la gorge jusqu'au lèvre du guide :
- Arbre de vie, lune qui luit. Origine sacré, automne arrivé. Le chêne est mort, il ne verra plus l'aurore. Le chêne est mort puisse l'Origine lui donner la paix. Paix éternelle, paix originelle. Paix d'un fils, qui pourra naître de l'essence de son père. Père Origine, bénit ce lieu et cette lignée qui t'a servit.
Un chant simple mais harmonieux porté par une voix douce mais qui avait rarement chanté autrement qu'à la façon des arbres. Mais ses mots étaient destinés aux arborels comme à tout les autres habitants de cette forêt et plus particulièrement à la graine qui naissait dans la main de Oyan. Un gland qui donnerait naissance à un chêne si il survivait à l'hiver à venir. Il survivrait si l'Origine acceptait sa prière et si ses frères veillait sur lui. Ses frères étaient-ils là ? | |
| | | | Lilith Akuma
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Ven 27 Aoû - 17:07 | |
| Lilith traversait la forêt au milieu cette nuit si calme et paisible. Le firmament était éclairé de millions d'étoiles, autant de regards sur notre monde nous jugeant sur nos actions. L'air était frais mais plaisant, loin d'être assez frais pour la tenue que la dryade arborait, elle qui habituellement voyageais dans la forêt avec la tenue de sa naissance, ses lianes cachant ce que les indiscrets essayeraient de regarder.
Cette fois-ci elle arborais un long manteau qu'elle serrais contre elle comme-ci sa vie en dépendait. Ce long manteau épais avec une épaisse capuche, taillé pour la montagne et taillée pour un homme, un humain visiblement.
Cet habit était celui de Yuurei, le Rôdeur dont le Vieux-Chêne leur avait imposé la présence et la protection des l'aube de sa quatrième année. Il portait l'odeur de l'être du changement qui le portait habituellement, l'odeur de son époux. elle ne l'arborait pas que pour se souvenir de lui, mais aussi car elle se sentait protégée, à l'abri de toute chose, en le sentant près d'elle.
C'est aux travers des chemins anciens qu'elle avançait, des chemins que l'être végétal, ex-gardienne de cette forêt, n'avait plus eut le droit d'emprunter depuis fort longtemps pour la durée de vie du commun des mortels, mais seulement depuis un instant pour des êtres dont la durée de vie frôle l'éternité. Cela fessait plusieurs années qu'elle n'avait pas pris cette route couverte de feuilles d'automne vers le cœur de la forêt, cet endroit, désormais interdit et quand bien même il ne le serait pas, contenait la vision que le cœur de la forêt lui réservait et elle savait qu'elle serait beaucoup trop dur pour elle a supporter.
elle observait Oyan avec curiosité durant le trajet, il semblait découvrir cette forêt. Il avait l'air si.... humain et si proche de l'Origine à la fois. Elle se demandait quel était son rôle sur cette terre, qu'est ce que l'Origine avait prévus pour lui.
Approchant de l'entrée du Cercle, du cœur de la forêt et sentant les arbres, les Ents, la toiser d'un regard sombre, Lilith ralentie et fit signe a Oyan d'avancer. Sans mot dire, elle fermait la marche désormais, il valait mieux pour eux deux qu'il parle en premier. Se fut arrivée au cœur de la forêt que Lilith s'immobilisât complètement, comme pétrifiée. Tout les anciens étaient la et très peu lui lançât un regard amical. Certains même avait visiblement une grande rancœur envers elle mais a cet instant précis, Lilith n'attachât aucunes espèces d'importance à leur présence. Devant elle se tenait... le corps sans vie du Vieux-Chênes, le chef et vénéré ancien de cette forêt était encore au cœur de celle-ci. Une ode de senteur, une hymne chantée par les feuilles d'arbres, une prière de la nature conté par les animaux, tout cela était chantée pour lui au cœur même de cette endroit.
Lilith se tue, elle s'immobilisât, regardant avec désespoir le corps du vieux chêne, prête a éclater en sanglot et se fut Oyan qui avançait au cœur du cercle d'herbes hautes pour chanter ce qui était une espèce de louange.
Durant le chant d'Oyan, Lilith s'approchât du Vieux-Chêne et collât son front contre celui du cadavre de bois.
Elle pleurait silencieusement le sort du chef de cette forêt, mais surtout de son ami, son soutient, son confident. Lilith pleurait la mort d'être dont les liens de l'amitié les avait profondément lié pendant presque tout un millénaire.
Elle restait un long moment comme ceci. Un moment interminable pour une vie humaine, mais au combien trop court pour les être éternels. Puis elle séchât ses larmes et se tournât vers les sages de cette forêt. Leur parlant comme il est coutumes de faire, usant du langage des plantes et de celui des hommes en même temps. Les citant, tous, au moindre détails car c'est à tous qu'elle parlait. "Aulne, Benjoin, Cerisier, Cèdre....", Lilith continua pendant de longues heures, comme il était coutume de faire, comme il en était d'usage, comme les anciens le souhaitaient. Une fois que ceci fut fait elle leur parlât directement, toujours sous le langage de la forêt mais aussi celui des hommes comme il en était devenu une coutume que le Vieux-Chêne l'avait souhaité.
"Mes amis, mes connaissances, mes alliés. Vous, nous, les animaux et plantes peuplant cette forêt courent un grave danger. Les nécromants sont en marche. Le successeur du nécromant qui nous à déjà affronté et que notre vénéré Vieux-Chêne avait chassé est revenu et veux se venger. Il souhaite tous nous détruire et nous allons devoir combattre pour sauver nos vies, et pour sauver ce lieu." | |
| | | | Krogan Drad
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Ven 27 Aoû - 18:02 | |
| L’œil de l’ébène s’ouvre, il est rouge de sang, lui dont le corps noire torturé par un feu invisible et à l’odeur si particulière, lui le bois toxique, lui la haine de cette forêt qui laisse la haine couler en lui, lui qui regarde cette femme à qui il a été demandé de partir, cette femme qui à apporter un humain, à nouveau, un autre humain car c’est le manteau du premier qu’elle tient, surement mort comme tout humain, embarquer par le temps et ne pouvant rien faire d’autre que de mourir tranquillement alors que sa femme immortel de naissance laisse la place à un nouvelle homme entre ses bras … Alors comment ne pas la haïr elle qui se fait humaine alors qu’elle était arbre, elle qui se fait changeante alors qu’elle a toucher l’origine ? Il se met à parler de sa voie criante, lui qui à l’air brute si étonnant et qui est le bois le plus noble, poli comme un miroir il parait verni par les mains de ceux qui savent l’amadoué.
-˝Ils veulent nous tuer ? Ils veulent nous prendre notre forêt ? Ils veulent nos amis les animaux et notre âme dans leur barques ou même notre vie pour en faire des cages de ceux qui n’on pas rejoint l’Origine comme le vieux chêne l’a fait par ta faute ?! Il ne sera pas une cage mais nous ne ferrons pas l’erreur de te suivre tu es bien trop humaine pour prendre une décision pour la forêt, tu a oublié qui tu étais, tu a oublier la dryade que tout le monde respectait pour devenir l’esclave d’un manteau et d’un humain … Tu n’es pas des nôtres alors vas te rendre à l’homme, vas le détruire seul, vas t’en occuper car tu veux qu’il trépasse mais ne demande plus notre aide ! Par tu n’a rien à faire là encore une fois.˝
L’ébène fixe la femme alors que le saule pose une branche doucement devant lui.
-˝Explique nous femme, explique nous et nous déciderons ce qu’il convient de faire. Explique nous entièrement la chose, n’omet rien même si cela peux prendre nombre de tes heures nous avons le temps, nous avons toujours eut le temps et toi … Tu ne l’a même pas prit pour prier pour lui alors prend le à présent. Nous t’écoutons… Tous !˝
Le mot femme était plein de reproche pourtant sa voix calme et empreinte de tristesse ne laissait pas de choix … Il attendait. | |
| | | | Oyan Unerii
Le Guide
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Sam 28 Aoû - 15:01 | |
| Oyan ne pourrait sourire à ses nouveaux visages qu'il voit. Il est trop peiné pour ce chêne. Cependant la joie renaît alors que se meurt la lumière entre ses mains et que le gland vient complètement formé. Créé à partir de l'essence de ce chêne. Le Guide regarde autour de lui sans parler. Il n'y à pas été autorisé par les maîtres des lieux. Qui était-il sinon un invité dans cette forêt ? Il attendrait permission de ses hôtes pour s'adresser à eux. Cependant il les regarde de ses grands yeux d'ambre. L'ambre d'un arbre qui lui donna la vie et qui lui apprit comment la vivre pour le bien de toutes les belles et bonnes choses qui existent. Pour le bien des créations et des serviteurs de l'Origine. Pour leurs biens, à une vie prise, une vie allait naître.
Les doigts du guides se glissent dans la terre, en goûtant la nature. En goûtant la saveur et apprenant à la connaître. Cet endroit serait parfait pour la croissance d'un chêne. Et si ses frères le permettait, son larges feuillages s'étendrait dans toute la clairière. Une chose que Oyan pourrait voir si il voulait distiller la magie de l'Origine dans ce simple embryon de chêne mais pour quoi faire ? Chacun devait mériter sa place au royaume de l'Éternel. Végétaux comme animaux comme fidèles et élémentaires. Il pourrait faire croître un nouveau chêne mais quel droit aurait alors ce chêne dans une forêt qui avait vu les premiers hommes ? Les arborels de cet endroit étaient parmi les plus anciens de ce monde et les quelques instants fugaces que Oyan passait ici ne serait pour eux que quelques secondes, quand bien même il resterait un mois. La main du Guide s'extrait du sol tandis que les racines qui s'en étaient échappées pour se nourrir retournent sous sa peau. Dans le creux souterrain qui s'est formé, Oyan place le gland et le recouvre de terre.
- Pousse jeune chêne. Ton père te nourrira à mesure de ta croissance, n'aie aucune crainte. Déclara le jeune serviteur de l'Origine, si humain aux yeux des arborels. Mais cette parole était vérité. Les insectes désagrègeraient la carcasse du Vieux-chêne et ils nourriraient le sol par ce biais, apportant les éléments nécessaires à la croissance de cette petite graine. Là était la beauté Originelle. Même dans la véritable mort, tous continuent de servir ses desseins.
Oyan lève le regard vers les Arborels et attends patiemment que l'autorisation lui soit donné de leurs parler. L'ébène est noble et haine et le Saule est douceur car c'est son frère qu'il pleure. Les autres parleront-ils ? Vont-ils écouter la Dryade qui semblait si jeune par son tempérament ? Amante d'un humain, l'ébène ne pouvait accepter cette créature et sa réaction était compréhensible. Mais combien d'humains avaient déjà servit avec zèle la volonté Originelle ? Oyan attendrait son tour de parler. | |
| | | | Lilith Akuma
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Sam 28 Aoû - 16:48 | |
| Lilith observât Oyan, un instant, silencieuse et réfléchissant à ses mots. Il fallait les choisir juste pour convaincre les anciens de cette forêt. Ce curieux être venait de généré un gland provenant du vieux chêne et de l'enterrer, lui souhaitant la vie et longévité. ce gland provenait donc du Vieux-Chêne et méritait donc de vivre, il sera donc le futur Jeune-Chêne comme venait de le nommé l'être dont on ne put dire avec certitudes s'il venait du changement ou de l'origine. Elle le vit aussi se nourrir de la forêt, d'une curieuse manière, visiblement non humaine mais beaucoup plus proche des êtres de l'Origine et nettement plus inoffensive pour la forêt elle même.
Durant ce cours instant elle entendit l'ébène lui parler, et le saule l'arrêter pour lui parler ensuite. Les paroles de l'ébène furent tel qu'elle ne put dire précisément ce que le Saule lui avait dit, bien qu'elle en ai compris le sens. L'ébène n'était que haine et noirceur tout comme lilith n'était que colère et orgueil. Il venait d'insulter la mémoire de son ami, le vieux-chêne, crachant, parjurant, et déformant ses dernières volontés. Il avait aussi oser menacer l'humain qu'elle aimait et protégeait, celui la même dont le Vieux-Chêne leur avait à tous imposé présence et protection. Pourquoi le vieux chêne leur avait intimer l'ordre de parler également la langues des hommes en plus de la leurs au cercle de la forêt si ce n'est pour que lui aussi puisse les comprendre. La colère avait monté dans les veines de la Dryade, et c'est avec un véritable regard noir, non pas seulement physiquement, mais bel et bien mentalement qu'elle s'adressait à l'ébène. Ce genre de chose furent monnaies courantes entre eux deux. La colère et la haine c'étaient affronté de nombreuses fois, toujours séparé par la raison du Vieux-Chêne. Lilith s'adressa a l'Ébène, fixant son œil haineux de toute sa colère. Le langage qu'elle avait utilisé aurais put faire rougir la plus innocente des plantes.
"Stupide planche de bois noir destinée à meubler les humains, vieux bois pourrissant, copeau sombre, mousse dégoutante, stupide branches noires de haine grouillant de parasites, vieilles racines putride gangrenés par la vermine qui ose ronger ce sol sacré... Comme ose tu ainsi souillé de ta parole la mémoire du Vieux-Chêne. Comment ose tu salir ses dernières volontés de tes actes haineux. Car tu ne me fera pas croire, à moi, que la pourriture qui te gangrène le corps t'as aussi atteint la mémoire. Je connait trop bien ta vilénie pour savoir que tu as fait exprès d'oublier que c'est le Vieux-Chêne lui même qui nous avait imposé la présence et intimer l'ordre de protéger les deux humains qui ont put franchir ce lieu. Que c'est de part sa Volontés que l'humain peut encore parcourir toute la forêt sans exception et que c'est pour lui que le Vieux-Chêne vous, nous, a intimer sa volonté de lui parler le langage des hommes. Comment ose tu souiller ainsi les paroles du Vieux-Chêne. Comment oses-tu me demander de tuer celui que le Vieux-Chêne voulais voir vivre, celui que j'ai fais serment de protéger. Tu es encore plus indigne que moi de te tenir dans ce cercle, Ébène."
Elle croisât l'espace d'un instant le regard sévère du Saule, et le regard déçut du cèdre, lui d'habitude si attentionné envers l'humain et la Dryade. Elle soupirât et chercha à se calmer d'elle même et tandis qu'elle faisait cela ses lianes coursèrent vers le gland, faisant le tour de l'endroit ou il devait pousser lui offrant ainsi une protection contre les animaux, qu'un sanglier ou un écureuil ne vienne pas le déterrer pour le dévorer.
Son soupir passé et son calme revenue Lilith repris de plus belle, toisant les autres arbres et refusant de jeter un seul regard envers l'Ébène.
"Je suis désolée, comme toujours l'Ébène à le don de me faire perdre patience. Comme je disait mes amis, le descendant du nécromant veux nous attaquer....."
Lilith continuât ainsi, racontant en détail et pendant de nombreuses heures, l'attaque du premier nécromant auquel ils avaient tous participé, comment le Vieux-Chêne l'avait vaincu, comment son apprenti avait fuit la bataille et qu'il revenait se venger désormais. Elle leur expliquât le danger, le fait qu'il allait les attaquer et non pas simplement essayer de traverser en tuant les animaux comme son maitre l'avait fait. Après ses trop longues heures, si nombreuse que la lune avait presque fini sa course dans le ciel, Lilith se tut. Il était temps pour elle de s'effacer et de laisser Oyan s'exprimer, elle lui fit un signe disant qu'il pouvait parler une fois que les anciens auront répondu... | |
| | | | Krogan Drad
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Lun 30 Aoû - 9:14 | |
| L’ébène s’apprêtait à reprendre la parole mais c’est le saule qui fut le plus rapide, une branche devant la haine de l’ébène, une autre en direction du vieux chêne et il se remet à parler : lentement de sa voix toujours aussi calme, lui qui pleure et qui chante à toujours été considéré comme un sage, comme le vieux chêne … Pourtant à présent qui est sage ? Qui peux se prétendre sage lorsque la douleur de la perte coule dans votre sève, personne, pas même le saule ou l’Origine ne pourrait être sage sous les conseils de la tristesse :
-˝Sache que l’ébène à raison en grande partie, beaucoup d’entre nous pense qu’aucun humain n’aurait dût entrer dans cette forêt et que c’est par ce biais que la mort est entrée dans le vieux chêne. Ce n’est pas en accusant l’ébène que cela changera quelque chose à cette pensée que tu ne peux pas nier avoir eut toi aussi au moment de son départ : Si les humains n’avais pas été ici jamais le vieux chêne n’aurais trouver la mort et jamais tu ne serais devenu si humaine que tu te permet de l’accuser de choses stupide qu’il n’a pas… Et bien que pour toi cette discutions semble ne pas être à l’ordre du jour nous devons statuer pour savoir si les humains serons à nouveau autorisé ou non à entré dans cette forêt sacrée.
Maintenant tu nous parle de Nécromant, de ces êtres qui en trouver en changement une magie si infâme qu’elle donne la mort et est capable de faire renaitre des êtres sans même que la vie ne les étreigne. Maintenant tu nous parle de la descendance d’un ennemi mort qui ne veux rien d’autre que ta peau car le vieux chêne est mort. Je sais les pensées de beaucoup de mes frères, pourquoi ne pas simplement te laisser allez le voir, pourquoi ne pas simplement te rendre aux humains toi qui est si semblable à eux à présent ?
Moi j’ai une question … cela les arrêterait-il ? Cela nous concerne-t-il vraiment ? Cette forêt craint-elle un être qui à eut un père infâme ? Y’a-t-il pas autre chose que tu voudrais défendre en défendant cette forêt ou plutôt en hurlant que tu veux la défendre elle et tout ses êtres qui ne doivent pas vraiment intéresser un mage …˝
Ses yeux fixer sur elle il attend une réponse, l’autre n’est qu’un homme plus proche de l’origine que les autres mais qu’un homme et ils n’ont pas encore statué sur le cas des hommes … Et même si jusqu’à maintenant ils ont parlé dans la langue des hommes en mémoire du vieux chêne cela ne veux pas dire que ce sera encore le cas dans quelques temps, années … Siècle. Le temps n’a pas d’importance… Il regarde la dryade. | |
| | | | Lilith Akuma
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Lun 30 Aoû - 19:41 | |
| Lilith inspirait calmement, Ébène la toisait toujours du regard, un regard plein de haine et la colère montait en elle aussi vite que sa sève. Elle ne connaissait que trop bien Saule pour savoir qu'il ne prendrait pas de jugements à la vas vite. Contrairement à elle, Yuurei était apprécié de cette forêt et il ne serait pas banni juste parce qu'il provenait du changement. Cela dit, protéger la forêt serais un prétexte largement valable. et ce n'était pas spécialement contre lui mais contre les humains en général que Saule voulait la protéger. Humain dont il faisait partit. Elle répondit calmement à Saule, d'un voix simple après avoir respirer lentement. Il lui fallait dissiper tout mal entendus.
"Ce mage a formulé le souhait de raser, piller, bruler et détruire en espérant me trouver, me tuer mais pas seulement moi. Il veux sa vengeance sur le Vieux-Chêne qui, lui, à tuer son maître et comme toute vengeance il veux détruire cette forêt, toute la forêt que j'y demeure ou non, que j'aille le voir pour me sacrifier pour vous ou non. Il viendra détruire cette forêt.
Cela vous englobe aussi donc, en fait il est même certains qu'il vous ciblera puisque vous êtes sur la tombe de celui qu'il cherche et c'est pour protéger cet endroit que je suis restée. Même si j'ai échanger mon titre de gardien pour celui d'épouse, j'en reste tout de même une dryade et une enfant de la forêt et je me dois de défendre ce lieux, défendre ce en quoi je crois, Saule et combattre auprès des miens.
Pour ce qui est de celui dont tu m'accuses de vouloir assurer la sécurité en prétendant vous défendre. Sache qu'il n'est plus ici Saule, il est partit chercher de l'aide auprès des siens pour combattre cette engeance qui marche vers nous . Il est partit chercher des troupes pour combattre avec vous pour vous protéger, pour protéger ceux qu'il apprécie que ce soit vous ou les satyres, ou toutes autres créature de la forêt, il n'as pas l'intention de vous laissez vous faire tuer sans réagir, tout comme l'avait fait Arkos avant lui. Celui dont tu hésites à chasser jusqu'à l'existence hors de cette forêt est en train de risquer sa vie pour essayer de la sauver. Si j'aurai voulut le protéger seulement lui, je me serait contenté de le faire fuir quitte à l'accompagner pour m'assurer qu'il ne revienne pas. Mais c'est vous que je veux protéger, vous et ce qui reste du Vieux-Chêne. "
lilith inspira lentement avant d'expirer ce même air, elle était tendue mais elle savait ce qu'elle faisait. Partir dans de longues tirades pouvant durer des jours et des jours était ce que Saule voulait et elle était enclin à lui donner satisfaction mais le temps leur manquait actuellement, aussi Lilith allât droit au fait.
" Que veux tu donc contre ta confiance Saule? Quel est le prix que je devrais payer pour que tu accepte le fait que vous devez vous défendre ? Le vieux Chêne m'avait demander mon titre et une grande partie de mes pouvoirs de gardienne par le passé... Quel est le prix que tu me fera payer pour accepter celui de devoir survivre ?"
elle jeta un bref regard à Oyan qui attendait calmement et cela depuis plusieurs heures et lançât à Saule avant d'attendre sa réponse.
"Cet être à l'apparence humaine mais à l'essence originelle est venu lui aussi pour nous aider, écoutera tu au moins ce qu'il a à vous dire, Saule ? "
Lilith attendait la réponse de Saule, silencieuse, évitant de regarder Ébène qui la démembrais des yeux et regardant tour à tour Saule et les autres sages de cette forêt. | |
| | | | Krogan Drad
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Mar 31 Aoû - 5:59 | |
| Saule, il la regarde autant que tous les autres la regardent, des centaines de bois, d’essences de l’une des dernières forêts bien vivantes sur cette terre. Ils la regardent tous et après un bref mouvement de vent qui passe un murmure entre les arbres c’est bien le saule qui reprend, puis le frêne, puis le bouleau, la phrase ne fait qu’une mais c’est chaque voix qui en fait une partie …
˝Saule ? Tu parle toujours de saule ici mais c’est l’inconvénient de la langue des humain, il faut s’adresser à quelqu’un alors que tu parle à une assembler ici bas, à tout le monde, à la forêt, l’aurais tu oublier toi qui en était la fille ? Tu ne demande pas à saule de risquer sa vie mais bien à toute la forêt, à tu oublier comme nous communion simplement encré dans le sol à la recherche des avis des autres ? Même l’ébène que tu refuse de regarder à le droit de parler comme il le souhaite, comme nous ne t’avons pas banni pour avoir dit des choses qui ne sont pas en l’instant où tu l’as appelé…
Pour ce qui est de cette humain revenez plus tard et nous aurons statué sur leurs droit de rester ici, car tu n’a pas repoussé le faite que si les humain n’était pas rentré ici aucun malheur ne serais arrivé, tu affirme juste qu’ils cherchent à récupéré leurs erreurs aussi bien qu’ils le peuvent mais en engendrant des nouvelles ! Que voudrons les siens en échanges de leurs aides ? Notre bois ? Nos yeux ? Notre Ambre ? Car voilà tout ce que nous avons à leur offrir, ce sont des artefacts puissant et emplie d’une magie ancienne mais aucun humain ne devrait avoir à y toucher. Chaque chose à une vie et peux le savent, chaque parcelle d’être aura sa chance de rejoindre l’Origine lorsque son temps sera venu, à sa mort ou même avant … Peu être que cette homme est proche de l’Origine mais il ne l’est pas sinon nous l’aurions sentie, il n’est pas notre père et en est à des lieux.˝
Puis l’ébène reprend la voix :
˝Humain il attendra que le choix sur leur race soit prit. Jamais un jeune satyre n’oserait entrer ici comme cela. Maintenant tu nous as coupés dans notre prière, si tu tient à ce qu’il parle part et laisse nous statuer !˝
Enfin le saule la regarde et répond à sa dernière question :
˝Je n’ai rien à te demander pour que tu vives, c’est une chose sur pour nous tous, nous respectons assez la mémoire du vieux chêne pour dire que tu n’a pas besoin de nous donner quelque chose pour vivre. Mais tu ne nous peux rien nous donner pour nous obliger à faire quelque chose, le conseil à une volonté bien plus puissante que la tienne et les décisions comme celle de la vie ne doivent être prisent rapidement ! Tu ne peux pas redonner la vie au vieux chêne alors ne soit pas trop prompte à prendre celle du conseil.˝ | |
| | | | Lilith Akuma
Dame Sylve
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Mar 31 Aoû - 18:38 | |
| un brin émotive, ressassant un passé douloureux dont elle ne voulait parler. Lilith regardait Saule, puis chaque membres, chaque bois de cette forêt un par un. Une fois qu'elle fini cette besogne, elle leur parlât de nouveau usant du langage des hommes mais aussi du langage sylvain, priorisant celui-ci qui faisait moins entendre la douleur dans sa voix. cette douleur de souvenirs qu'elle espérait pouvoir oublier. Elle se rappelait de ceux qui sont mort pour eux.
" Je n'ai jamais parler d'accepter tout les humains comme étant libres d'agir comme à leur grès en notre territoire. L'origine avait élus certains d'entre eux comme étant digne de ce privilège et le Vieux-Chêne avait décider d'agir selon les même principes. Je ne parle que de ces humains là, ceux ayant prouvé leur valeur et se battant pour nous.
Vous oubliez que ces humains que vous voulez chasser nous ont déjà sauvez par le passé. Le premier à avoir été accepté par le Vieux-Chêne, Arkos, c'était sacrifié pour nous. Il a offert sa vie pour nous sauver sans rien nous demander en retour à nous qui respectons la vie elle même et protégeons toutes ses formes. Il l'as fait devant moi et devant le Vieux-Chêne pour sauvez notre forêt d'une déforestation certaine. Vous dites que sans ces humains là dans notre forêt, aucuns malheurs ne nous auraient frappé mais vous oubliez que sans eux nous aurions été terrassés par les autres et aujourd'hui nous ne seront plus que leurs meubles, leurs portes et leurs sols, et dépourvut de toute vies.
Yuurei aussi, l'humain partit cherché de l'aide, a risqué sa vie pour nous et a subit la torture en silence pour protéger les espèces rares de ce lieux, satyres, nymphes, vous et moi. Bien avant que vous ne me considériez comme humaine, il a risqué sa propre vie pour notre simple bien-être alors qu'il était sensé être sous notre protection de part le vœux du Vieux-Chêne. Son dos portera éternellement les marques de la confiance et de l'affection qu'il nous porte et aujourd'hui il s'apprête à se sacrifier a nouveau dans un combat qui n'est pas le siens mais le notre. C'est moi qui avait commis une erreur en ce temps, pas lui, ce n'est pas lui qui mérite l'exil."
Lilith soupira, reprenant un peu ses émotions, ses esprits et répondant à la dernière requête de Saule.
"Je ne suis pas venue avec à l'esprit de statuer du bien fondé de tolérer tout les humains, mais il y a certaines exception qui sont la pour nous aider et nous ne devrions pas chasser une main qui nous est tendue, surtout par ces temps ou nous sommes encerclé par une engeance mort-vivante qui est encore pire que ces êtres du changement. Mais si tel est le souhait du conseil, je vais vous laisser statuer sur le bienfondé de la présence ici des rares êtres du changement à se battre pour le culte de l'Origine et souhaitant nous prêter main-forte.
Une fois votre décision prise au sujet des humains, je reviendrais pour parler avec vous de ce qui est de la menace du nécromant. J'ai connu la plupart d'entre vous à l'état de glands, de graines et de jeunes pousses et je ne laisserais pas ceux que sur qui j'ai veillé, que j'ai protégé et soigné comme une mère pendant presque neuf siècles se faire tuer sans réagir par un nécromant rongé par l'envie de vengeance."
Lilith repartit donc hors du cercle pour laisser les anciens délibérer du sort des humains. | |
| | | | Krogan Drad
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Mer 1 Sep - 8:59 | |
| Des heures ou peux être même des jours entier mais pour des arborelles cela n’avais aucune importance, aucune véritable importance car le temps n’était plus donner par le ciel mais par le cœur qui est geler de douleur de voir leur père mourir et souffrir à cause des humains. Non pas leur père mais leur ami car le saule comme l’ébène pouvais tout autant prétendre au rôle de vénérable ici bas … Mais pour les immortels le temps n’a pas d’accroche, le temps n’a pas de prise … Il n’est pas de vie sans temps, mais il n’est pas d’immortalité avec une vie compter, donc avec un temps. Pour Oyan il se passa deux jours avant que Lilith soit appelé encore une fois dans le cercle des arbres, une fois, une dernière fois ?
Le temps était empli de nuage et dans le ciel un vent de rage parlait de la tempête qui hurlait au sud. Un tempête que l’Origine lui-même aurais crée par le bien de son être et qui aurais vue la preuve de son existence se rappeler aux hommes qui l’aurais oublié. Un vent empli de crie et de rappels, un vent qui ordonne et discute avec les arbres dans un cercle au centre du quel le cadavre d’un vieux chêne attendais sans mot dire. C’est encore le saule qui une nouvelle fois joua le porte-parole de toute la forêt :
-˝Ecoute le vent Lilith toi qui a été des nôtres, écoute comme il parle de l’Origine et de la bénédiction qu’il a donné, écoute comme il hurle que les hommes qu’il a choisit peuvent se rapprocher des nôtres pour ne plus être homme mais être bien plus que cela. Tu ne le sais pas ou tu ne l’a jamais sut mais Origine donnais sa bénédiction par le passer et cela fait des temps qui ne l’avais pas donner pour cela que le vieux chêne s’était permis d’accepter des humains. Maintenant il est à nouveau parmi nous et son vent en est la preuve, ainsi les humains ne seront plus accepter ici bas. Maintenant Lilith regarde autour de toi et voit ce petit écureuil sur mon épaule. Il est venu du nord pour nous apprendre que l’ancienne forêt était attaquée et gangréner, nous nous devons d’aller parler avec eux, d’aller les voir. Ce soir tous les habitants de la forêt partiront avec nous, tous ceux qui ont reçut la bénédiction de l’Origine et souhaite partir le feront, ce soir une forêt bougera et ton ennemi se retrouvera devant un lieu vide, les quelques arbres qui auront voulut rester le pourrons mais le reste participera à ce qui n’a pas eut lieu depuis des années : Une grande migration ! Beaucoup de forêt encore vivante risque de le faire … Le temps d’Origine est revenu Lilith et si tu veux aller aider ton homme cours le chercher car c’est un choix que tu dois faire maintenant, nous suivre vers l’Origine ou rester avec les hommes.˝
Le regard du saule se retourne vers l’écureuil et lui sourit. Puis il replonge dans celui de lilith.
˝Tous vivrons lilith, tous mais dans la paix et pas de guerre, de sang car les forêts du nord sont bien plus ancienne et plus puissante que celle-ci et nous allons les renforcer. Il est temps …˝ | |
| | | | Lilith Akuma
Dame Sylve
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Sam 4 Sep - 12:47 | |
| Un choix cornélien, un choix qui lui brise le cœur, un choix qu'elle ne voulait pas faire lui était imposé...
Telle étaient les paroles de Saule, elle devait choisir entre sauver l'être du changement qu'elle avait jurer de protéger et sa propre forêt. Saule le lui avait dit dans le langage des hommes, sa forêt allait migrer vers l'ancienne forêt du nord, vers l'origine, vers le vent qui souffle le retour de leur Dieu, laissant ici les quelques être voulant mettre fin à leur éternité. Le vent lui répétât lui même en ses propres mots, ses propres souffles, toute l'horreur de l'attaque qui se profilait vers les forêt du nord, et pourquoi cette forêt devait les rejoindre, les renforcer.
En tant que Dryade, en tant que Gardienne, elle se devait de les suivre, de les aider. En tant qu'épouse, elle se devait de sauver celui qu'elle a choisit d'aimer. Elle savait qu'il risquait sa vie et que ce serait une mort certaine qui l'atteindrait si jamais il se retrouvait seul à lutter face à une armée de mort, lui qui craint si particulièrement leur magie. Lilith ne savait que choisir, d'un coté ses croyances, ce qu'elle est par nature, son âme... de l'autre ses sentiments, ce qu'elle aime, son cœur...
Pendant cette réflexion, cette hésitation, lilith vu Aënor gesticuler, lui faisant de grands signes, pensant être discret et vu de personne, caché derrière les feuillages des arbres n'étant point ceux du cercle. Tout le monde savait qu'il était la presque depuis le début de la réunion. Aënor avait toujours été curieux et maladroit, suffisamment curieux pour venir régulièrement écouter ce que le cercle a à dire, et suffisamment maladroit pour penser écouter discrètement il ne faisait qu'entendre ce qu'on voulait bien qu'il sache. Ce satyre avait le don d'agacer Lilith et actuellement ce n'était pas du tout le moment idéal pour tester sa patience si bien qu'après quelques minutes ou Aënor essayait de faire passé son message à la dryade à coup de grands gestes soit disant discret, elle fini par lui cracher, visiblement agacée.
"Mais bon sang Aënor! Tu vas arrêter de gesticuler comme un enfant et me dire ce que tu me veux à la fin ! Tu n'es caché de personne ici, on est au courant de ta présence dès la seconde ou tu entre dans la forêt. Donc, si on ne t'as pas demandé de partir c'est que tu as le droit de rester alors parle et arrête de gesticuler !".
Aënor n'était qu'un satyre, il ne parlait pas et ne comprenait pas vraiment la langue des plantes, son domaine était celui des animaux. Il ne pouvait donc pas savoir que sa cachette ne rimait à rien si personne ne lui disait. C'est donc l'air pénaux qu'il sortit de derrière les feuillages, saluant timidement les anciens qui lui rendirent son salut, absolument pas surpris de sa présence puisque, comme la Dryade le lui avait dit, tout le monde savait déjà qu'il était ici et depuis combien de temps il était ici. Il s'approchât de Lilith et lui dit, doucement, timidement, visiblement intimidé par le cercle des anciens.
" Je vais me faire grandement taper sur les doigts mais, je te disait de refuser de nous suivre."
Ce fut comme un électrochoc, une décharge de ce que les humains appelait l'adrénaline. Lilith fut aussi énervée que surprise par les propos du Satyre, comment osait il dire à la gardienne de partir de sa forêt ? Une liane, tenue de la main de la Dryade partie sur le cou du Satyre, l'enserrant comme un étau, et tendis qu'elle l'approchait doucement de lui, elle lui dit d'une voix lente, basse mais emprunte de colère.
" Qu'as tu dit, Satyre ?"
Aënor manquais un peu de souffle mais réussit à cracher à Lilith, il s'attendait à cette réaction, la Dryade n'était pas vraiment reconnue comme étant un exemple de patience.
" Laisse moi m'expliquer, Dame Sylve. Si le nécromant attaque la forêt du nord il sera détruit par les gardiens avant même d'arriver à la lisière. Tu as beau être puissante, ta présence ne changera rien à ça. La forêt que tu protège sera en sécurité avec ou sans toi. Nous sommes unis et solidaires les un des autres, nous ne seront jamais seuls. Ton époux, mon ami, n'as que toi sur qui compter. Il a tout abandonné pour toi et vas se faire tuer si tu l'abandonne ici aux mains des nécromants. Pire s'il survit et retrouve la forêt ce sera ses anciens amis qui vont le tuer pour être venu sur un territoire qui lui est interdit. "
Aënor retira la liane, se libérant de l'étau et continua vers la Dryade. Sur le même ton, soupirant envers la Dryade indécise.
"Tu dois allez le voir, le sauver et lui dire qu'il ne peut pas, qu'il ne dois pas revenir ici ! Ta place est avec lui, pas avec nous, il a besoin de toi et nous pouvons nous débrouiller seul. De toute façon si refuse d'y aller, j'irais à ta place. Au moins pour le prévenir, je ne peux pas partir pour la forêt du nord en sachant qu'un ami qui m'est cher vas se faire tuer inutilement. "
Aënor agaçait Lilith, mais il avait raison, sans elle son amant était voué à une mort certaine et il n'avait personne d'autre vers qui se tourner. Elle savait aussi qu'Aënor ne mentait pas, même lorsqu'il disait qu'il partirait à sa place. Il avait ce point commun avec Yuurei qui était qu'il n'hésiterait pas mettre sa propre vie en péril pour ceux qui il tient. Tout était plus clair dans sa tête, il suffisait qu'elle regarde son apparence pour voir que sa place était plus auprès du Rôdeur que dans une forêt n'ayant jamais connu les hommes. Un long manteau humain, un anneau d'or à un doigt, un caractère changeant et des manières humaines, Lilith ressemblait de plus en plus aux êtres du changement qu'elle défendait, et de moins en moins à une créature originel.
Son choix était fait et déjà dit, murmuré plutôt, vers la forêt. Elle leur souhaitait la paix, la protection, la quiétude éternelle loin de la folie des hommes. Une longue, très longue vie avec l'Origine et seulement l'Origine. Elle leur dit qu'elle était désolé, mais qu'elle ne pouvait pas les rejoindre, pas maintenant, pas encore. Elle avait encore à faire parmi les hommes, parmi les êtres du changement. Une fois la longue vie de l'être qu'elle dois protéger terminé, elle les rejoindra enfin, peu être...
Aënor sourit et lui tendis sa flute de pan. Différente de celle que le Rôdeur avait eut, celle-ci était un artefact de la forêt qu'il se refuserait de céder en temps normal, fait du bois le plus ancien, de la manière la plus ancestral des satyres. Une bien vieille flute pour qui ne savait pas s'en servir, une bien belle flute pour qui savait en jouer. Aënor tendit sa flute de pan à Lilith, un souvenir de lui, de la forêt, destiné à celui qu'elle devait protéger. Puis il repartit sans autres mots dire, pour elle aussi il était temps de repartir. La forêt ne serait bientôt plus et elle avait quelqu'un a guider. Elle se retournât vers leur silencieux spectateur, cet homme du changement touché par l'origine, et pour une fois, elle l'appelât par son prénom :
"Bien Oyan, une idée sur quoi faire où par ou aller ?"
La flute de pan du Satyre dans la main, elle regardait l'homme aux yeux d'ambre, attendant sa réponse, ses idées, son illumination. | |
| | | | Oyan Unerii
Le Guide
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Sam 4 Sep - 15:58 | |
| Oyan n'avait rien perdu de la conversation. Non il s'était plutôt perdu en contemplation, admirant en silence la discutions de ses êtres imprégnés de l'essence même de l'Origine. Il regardait avec passion les branche du saule qui se déplaçaient au rythme du vent et de ses mots. Le vent. Le saule en parle et Oyan le sent. Il ferme les yeux à son contact, attends quelques secondes, l'écoutant pour essayer de comprendre ce qu'il disait et sourit. Une nouvelle naissance. La naissance d'un être qui parlera de l'Origine aux hommes et qui leur montrera sa puissance et sa sagesse. Mais aussi une migration. Des arbres qui s'en iront pour le nord. Pour le Rorkhan, la terre natale de Oyan mais que le sang avait fait abandonné. Il l'avait à peine quittée mais sa nature était sauvage et plus puissante qu'ici, près des villes des hommes et elle lui manquait. Oyan était resté près du sol et un jeune embryon avait été déposé dans le sol nourricier. Le nécromant ne pourrait connaître son existence et si l'Origine le permettait, alors dans mille nouvelles années, ce chêne serait le centre d'une vaste forêt. Son sourire s'élargit à cette idée et il se relève tandis que Lilith parle à une étrange créature cornue. Cependant, les arbres, ceux qui ne pourront pas s'en aller voient son interrogation et y répondent. Un satyre. Créature entre l'Origine et le Changement. Curieuse chose.
Dame Sylve termine sa conversation et revient vers Oyan qui à cessé de sourire. Il regarde les arbres et le ciel étoilé. La forêt dormait encore mais lorsque le soleil se lèverait et que leurs forces leurs reviendraient, tous sortiraient de terre et iraient trouver refuge dans le Rorkhan sauvage que l'homme ne pourra jamais dompter. Ses yeux d'ambres tombent dans ceux de la dryade. Une question. Où aller ?
- Nous ne devons pas suivre la forêt. Pas maintenant. Mais Fentaeris n'est-elle pas encore sous l'influence des maîtres de votre assaillant ? Trouvons les arbres qui ne veulent pas quitter le Sud et qui veulent affronter le Changement et allons vers la cité des hommes. L'idée de marcher sur une pierre qui à été sculptée ne me plaît pas mais l'Origine n'a pas exterminé tout les hommes pour leurs donner une chance de trouver grâce à ses yeux, nous devons simplement leurs montrer le chemin. Alors rassemblons les Arborels et partons avec ton compagnon en direction de la cité des siens.
Oyan savait que rien ne comptait d'avantage que la beauté et les remerciements donnés à l'Origine pour ce don mais si la puissance de son Dieu était liée à la sauvegarde de la cité des hommes alors leurs reconnaissance servirait son Culte et donc son Dieu. Puis se tournant vers l'ébène, Oyan s'inclina avant que ses lèvres n'émettent le bruissement des arbres. Des paroles ne sont pas utiles pour un arbre, il connaît me langage du feuillage et tout comme le Guide, il le parle. Alors Oyan demande à l'ébène si il sait quels sont ceux qui veulent restés et affronter la mort. Ils n'avaient pas besoin de l'affronter ici où ils ne vaincraient pas. Ils pouvaient se battre là où les hommes deviendraient des alliés contre la Mort. | |
| | | | Krogan Drad
Méchant Mj Officiel [MMJO]
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Dim 5 Sep - 11:32 | |
| L’ébène le regarde une instant de son regard rouge de haine, un instant infini où on peut lire en lui tout ce que l’Origine peux avoir comme animosité contre les humains puis toujours dans la même langue, sans aucun mot il lui répond que peux ne partirons pas car on les appelles là bas, que c’est la bas qu’il vas falloir les affronter et que ce n’est pas un guide humain qui vas pouvoir leur montrer les chemins … Puis après avoir regarder autour de lui il ajoute dans cette langue incompréhensible que lui restera pour veillez sur ceux qui veulent suivre l’homme qui parle au vent et la dryade, mais aussi pour tuer tout les hommes qu’il vas pouvoir rencontrer car jamais cette race du changement n’aurais dut poser le pied sur ce sol sacrée qu’est la création d’Origine lui-même.
Rapidement autour d’eux se rassemble des arbres et des faunes, quelques êtres des plus étonnants qui puissent vivre ici et un petit groupe se forme. Alors que la forêt tout entière s’en vas il reste à coter de la pierre que quelques arborels, des arbres plus classique mais pour autant bien vivant et surtout des êtres de la forêt armée autant qu’ils le peuvent avec leur lance en bois et en pierre … Certain on même des outils qu’ils ont volé aux humains, une grande fierté pour eux ! Un vieux satyre s’avance dans son armure de cuire récupéré sur des animaux mort et marmonne :
-˝Je suis Jabor, je suis un des satyres chargé de la surveillance de la forêt, j’ai déjà combattu les humains et j’accepte bien volontiers de vous aider ! Ceci dit qu’est ce que vous compter faire exactement avec deux cents arbres, quartes anciens et une trentaine de créature ?˝
Car autour de lui il n’y avait pas plus, l’Ebène était resté accompagner des siens, un bouleau et deux hêtres … Une forêt majoritairement noir comme la haine qui coule dans la sève de ceux qui sont encore là. Beaucoup ont des marques de haches sur les flancs qui n’on jamais cicatrisé, beaucoup semblent avoir souffert de l’homme et ils sont là plus pour s’en débarrasser que pour en faire des alliés … S’en débarrasser plutôt que d’aller se réfugier et d’attendre le bon moment. Peux savent que le bon moment est pour bientôt car sinon ils ne seraient pas là … Tous regardent la Dryade et le guide et attende qu’on leur expose vraiment ce qu’ils vont faire et pas juste des idées lancer en l’air … Même si les dites idée leur plaisent pour une facette. | |
| | | | Lilith Akuma
Dame Sylve
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Lun 6 Sep - 21:31 | |
| Lilith écoute les arbres parler, Lilith écoute Oyan parler avec lui, avec elle, avec eux...
Elle écoute cet être du changement, touché et bénis de l'Origine leur parler en leur langue. Il leur suggère de marcher vers Fentaeris, la cité des hommes, la capitale humaine. Cette capitale est sous l'emprise des nécromants depuis longtemps et elle savait qu'ils ne suivraient pas l'Origine, mais l'idée de les raser, de les détruire... la séduisait grandement. Cela libèrerait les hommes et ferais définitivement taire les menaces envers les siens. Elle serait sans doute aidée a cela par les hommes vivant existants encore et sans doute heureux de redevenir libre...
Oyan demande a l'Ébène qui veux rester... Pourquoi ne pas avoir demander au Saule, au Boulot, au Cerisier même ? L'Ébène n'est que haine. Une haine qui souhaite rester sur ces terres pour détruire et tuer uniquement. Il accepte de suivre Le Guide, mais pas pour convertir les humains, il lui précise bien qu'il veux les tuer sans distinctions. une armée se forme, une Dryade, un Guide, Ébène, Boulot et les frères Hêtres. avec eux trente satyres dont le "vieux" jabor d'à peine une quarantaine d'année humaine et deux centaines d'arbres tout près à combattre. Tous près à tuer les hommes, les nécromants, les créatures du changement.
Lilith frémit pour Yuurei l'espace d'un instant, S'il venait ici, l'Ébène serait tenté de le tuer... Puis elle se ressaisie, il était évident que l'Ébène ne le tuera pas s'ils se trouvent face à face. Il n'est que Haine mais ça ne veux pas dire qu'il n'est que Stupidité. Oh non, il n'est pas stupide à ce point, tuer cet humain l'obligerait à tuer également les Satyres qui le considèrent comme l'un des leurs. Et Tuer les Satyres lui entrainerait de graves problèmes avec les trois autres anciens, en particulier Boulot qui ne tolérera pas qu'ébène tue les satyres en question qui sont si important à ses yeux... Ebene n'est pas stupide, non, il ne s'attaquera pas aux protégés de ses alliés, surtout quand ils sont plus puissant et plus nombreux que lui.
Il n'en reste pas moins vrai qu'ils tueront sans même réfléchir toutes créatures du changement sur cette route. Lilith craignait cette effusion de sang, cela risquerait de retourner les humains et toutes les créatures du changement contre eux et face à cela, ce serait une mort assurée. Dans tout les cas le moment n'était pas à la réflexion, dans l'immédiat elle devait chercher son Rôdeur, en marche vers eux sans doute, avant qu'il ne se fasse tuer. Elle se dirigeât donc vers Oyan, vers le Guide, pour lui dire que quelque soit son idée elle le suivra, mais plus tard, elle a quelque chose à faire avant.
"Oyan, je fait confiance au Guide frappé par l'Origine pour nous guider mais j'ai une autre chose a faire avant, je dois retrouver mon compagnon et le guider a nous, le guider a travers ce monde, que ce soit ici ou a Fentaeris. Une Dryade seule est beaucoup plus rapide qu'une légion d'arbres, aussi je vous rattraperais une fois que je l'aurait retrouvé. Mes sens, les pouvoirs qu'il me reste, me guideront à lui ne t'en fait pas. Si tu te dirige vers Fentaeris, attend moi une fois la bas, je reviendrais vous rejoindre si nous ne sommes pas déjà sur place. Par contre tu dois te décider sur le chemin à prendre, faire la route la bas ou rester ici. Comme tu t'en doute les Arborels qui sont resté ne sont pas la pour essayer de convertir les humains, mais bien pour les tuer. Allez a Fentaeris pourrait se résumer a un bain de sang... et de sève"
Lilith glissa doucement a Oyan une requête, une simple tache, celle de guider et de convaincre Ébène de tuer les nécromants mais d'épargner les vivants. Il n'est que Haine mais il doit aussi être guider et l'Origine respecte la vie... | |
| | | | Oyan Unerii
Le Guide
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Dim 12 Sep - 11:30 | |
| Oyan acquiesce. Il n'avait pas l'intention de laisser un seul humain qui pourrait accepter de se tourner vers l'Origine et surtout pas par l'un de ses serviteurs. Mais si la dryade devait partir, sa nature végétale ne l'aiderait pas de nuit. Posant sa main sur le bras de la Dame Sylve, Oyan sourit amicalement tandis qu'un lumière de plus en plus forte naît naît dans cette main gauche qui tient le bras de Lilith. La lumière se diffuse à même sa peau qui verdit à son seul contact et se répand. La fatigue qui aurait pût alors prendre tout être végétal la quitterait. C'était tout ce qu'il pouvait faire pour elle hormis accomplir à la mission confiée par l'Origine et la dryade : Guider les créations du Changements sur la voie de l'ultime bénédiction. Maintenant qu'elle parte en paix. Elle n'avait plus de place ici sans que son époux ne soit à ses côtés et l'ébène devait être convaincu de l'utilité que les hommes et les autres races pouvaient avoir aux yeux de l'Origine. Jamais une manticore ne se battrait pour sauver un arbre mais les hommes en étaient capables. Et alors que Lilith quitterait la clairière, Oyan se tournerait vers l'ancien satyre avec un sourire.
- Nous ne combattons pas les humains mon ami. Du moins pas tous. Certains acceptent les promesses de l'Origine et travaillent à plaire aux yeux du seul dieu légitime. C'est eux que nous allons aider à vaincre le Changement qui s'empare de la mort pour tenter de mimer une vie sans âme.
Il se tourne ensuite vers l'Ébène avec un regard désolé. Désolé que tant de haine habite cet être que l'Origine avait permit de vivre au-delà de ce qu'il aurait pût espérer et de combattre en son nom. Mais il était aussi une mémoire ancienne et si sa haine ne pourrait lui être ôtée, le perdre serait une chose terrible pour les connaissances et l'expérience qu'il transportait. Mais il y avait des milliers d'humains à Fentaeris, peut-être plus. Il ne pouvait laisser un seul Arborel définitivement condamné le Culte de l'Origine aux yeux des hommes comme il avait été fait il y à de cela bien des siècles lorsque le Changement avait volé l'esprit de quelques élémentaires.
- Nous partons maintenant Ébène. Mais le sang des hommes ne sera pas versés par notre main, n'oublie pas ce que nous dit les Enseignement de l'Origine : "Et la grâce sera trouvée au terme d'une vie passée à me servir sans recherche de profits, permettant l'accès au paradis qui fût promis". Les Hommes ont le droit de vivre lorsqu'ils acceptent l'Origine dans leurs cœurs alors nous ne tueront aucun humain qui prends le temps d'écouter les Enseignements de l'Origine que nous portons. Viens avec moi Ébène, au cœur de la cité des hommes, nous rebâtirons des écrins de natures qui seront autant de forteresses pour ceux qui servent notre dieu et depuis lesquelles nous pourront rassembler les forces qui vaincront le Changement à tout jamais.
Le Guide reprends son bâton resté au sol. L'Ambre n'a jamais cessé de pulser au rythme de la vie de son porteur, même lorsque le contact était rompu. Mais à présent cette lumière était plus forte et brillait comme celle d'un feu-follet. Seulement le Feux-follets guidait les êtres à leurs pertes, cette lumière serait celle qui brillerait sur Déméria au nom de l'Origine. | |
| | | | Krogan Drad
Méchant Mj Officiel [MMJO]
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| | Sujet: Re: Au plus claire de la nuit [Oyan et Lilith] Mar 5 Oct - 16:50 | |
| -˝Pardonne leur père car ils ne savent pas ce qu’ils font … L’heure n’est plus au pardon mais au grand déluge qu’Origine a promis aux hommes si ils renouvelaient leur bêtises et leur destructions ! Et qu’ont-ils fait ? Jamais ils n’on écouter celui qui les a laisser vivre ses terres, jamais ! Il est temps de leurs rendre le silence qu’ils auraient toujours dut avoir et ce n’est pas une parole retourné par les hommes pour sauver leurs propre peau qui vas faire changer l’avis d’un être qui a vue votre naissance. Si tu mérite de vivre Origine te montrera comment sauvez assez d’homme pour que ta race vive enfin en paix et sache de quoi il adviendra … Mais sache que si les quelques survivant de ta race ont vue de quoi était capable Origine jamais plus ils ne détourneront leurs yeux du dieu et ainsi ils sauront ! Les hommes ne croient que ce qu’ils veulent où ce dont ils ont peur, laissons leurs avoir peur du Père sous sa vrai nature qu’est la colère de la tempête et ainsi ils croiront !˝
Rapidement Ebène prend la tête du petit groupe au coter de l’homme et il se dirige vers la grande ville. Il n’est pas question qu’il laisse aux hommes le choix, il fallait qu’ils croient car en ce jour et sous ses vents il était venu le temps du Chaos, du cataclysme, du déluge… Ainsi ce ne serais pas une petite pluie qui fait mouille la terre mais un vrai qui fait sortie de leurs rivières des ruisseaux devenu rouge ! Des fleuves de terres et de brique de la civilisation qui remplisse à nouveau des cités englouti de bibelot trop ancien pour avoir encore une vrai puissance, un souvenir.
Il était le temps du changement vers les racines et l’origine.
[J’attend la réponse d’ombre et je t’introduit dans Fanta]
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