Et bien, puisqu'il le faut, je me présente, moi aussi.
Nom : Et bien ça commence bien ! Vous me posez une question dont je n’ai pas la réponse.
Je n'en ai pas ! Bien que certains m'appelle "Dame Sylve" ou bien « Nature » voir même "Être sylvain", et je passe les divers surnoms botaniques soi-disant « flatteurs », je n'ai pas de réel patronymes. Encore que depuis quelques années, selon les sociétés humaines, ce bout de métal à mon doigt me ferait soi-disant m'appeler "Akuma".
Prénom : Je me prénomme Lilith, mais une seule et unique personne a mon autorisation pour m'appeler comme cela et il ne l'emploie pas souvent. A ce propos, les humains ont une curieuse façon de montrer leur affection. Je suis une dryade, pas une ange, un objet de valeur ou encore moins une partie tierce de son anatomie. Et je préfère être appelé "Dryade" que par un quelconque sobriquet ridicule par toute autres personnes.
Âge : il est rustre et profondément impolie de demander l'âge d'une dame, et ce quelque soit son espèce. Je ne vous donnerais donc pas le mien. Mais, histoire de vous donner une échelle d'idée, j'ai vus de mes yeux les cicatrices d'enfance du premier roi de Déméria.
Race : Dryade, tout simplement une Dryade, et je n'ai pas à le cacher...
Religion : Originel, éternellement et indiscutablement ! Les espèces du changement sont trop… enfin bref, ne partons pas dans ce genre de débat.
Groupe : aucuns, ils sont trop jeunes, trop imbu d'eux même et leurs buts trop égoïstes pour m'intéresser.
Profession (unique) : Dryade... et tout ce que cela implique ... enfin impliquai. J’ai perdu une grande partie de mes pouvoirs.
Description physique (7 lignes minimum ) :Ma… description physique ? Vous n'avez jamais rêvé que votre plante verte prenne forme humaine et bouge d'elle même ?
Je suis ce que je suis : un être végétal.
Ma peau est de couleur gris-vert l'hiver ou vert clair l'été tout comme mon "sang" ou devrais-je plutôt dire ma sève, et mes yeux rappellent ceux des démons. Pourtant je n'ai rien de démoniaque, peu être est-ce leur couleur. Le globe en lui même est noir, l'iris est ambre et la pupille, comme celle des chats, fendue de jour, est d'un noir sombre. Pourtant ceux qui m'ont croisé me soutiennent que, malgré la couleur sombre de mes yeux, mon regard est doux et bienveillant… contrairement à mes discours.
Une chevelure longue, d'un noir de jais. Des cheveux fin et gracieux me descendant jusqu'en haut des reins.
En ce qui concerne ma tenue vestimentaire, elle dépend de l'endroit ou je me trouve.
En pleine nature ou a des endroits peu fréquenté ou des yeux pervers ne chercherons pas à voir ce qu'ils n'ont pas à voir. Je suis nue, les branchages que je peut générer et qui enveloppent également mes avant-bras, cachent ce que vous n'avez pas à regarder, même par accident.
Les lieux ou certains yeux disgracieux se posent sur moi, j'arbore une légère robe de prêtresse tribale, blanche et bien fendue au niveau de la poitrine, nue au niveau du dos. Les lianes me recouvrant font office de décorations, comme des bijoux.
Et enfin dans les lieux forts peuplés... Et bien, Je trouve que le grand manteau de Yuurei m'enveloppe fort bien et sa capuche.... m'offre une grande tranquillité vis à vis des regards avoisinants.
Comportement (qualités et défauts, 5 lignes minimum) : ( on vas évitez de le dire en roleplay celui la, vus son très sale caractère, elle ne s’amusera pas a dire qu’elle a ... un sale caractère )Lilith est une ancienne et puissante Dryade. Son caractère est à l’image des être forts :
Hautaine, imbue de sa propre personne et de sa puissance passée, limite méchante envers ceux qu'elle ne connaît pas. Fortement caractérielle, très susceptible, donneuse d'ordres, refusant d'admettre les echecs, elle est radicalement impossible à vivre si elle en a l'envie.
Envers les gens qu’elle apprécie, elle se montrera protectrice et bienveillante. Même si elle a une manière de parler directe et sèche, beaucoup de ses actes montrent son affection.
En amour lilith est aimante, très aimante, au point d'en être facilement colérique, et très jalouse. Mais elle est prête aussi à faire de grands sacrifices pour ceux qu’elle aime, et même si elle s'énerve facilement, elle se calme vite et se fait pardonner ou s'excuse après coup, du moins en règle général.
Lilith ne connaît presque pas le monde extérieur, et la manière de vivre des autres espèces. N’étant pas curieuse, elle ne s’en émerveille pas spécialement quand elle découvre de nouveaux codes de conduite en société.
Elle a un comportement extérieur très "neutre" montrant peu ses émotions par ses discours ou ses expressions. Se sont ses gestes et attentions qui indiquent son état ou son réel avis sur les personnes.
Pouvoir(s)/Magie(s) : Magie sans aucune hésitation, je suis issue d’une espèce naturellement magique. Le pouvoir de commander au bois, aux plantes, aux arbres... enfin bref aux végétaux. Mes pouvoirs ont été grandement atténués malheureusement mais la raison valait ce sacrifice. Il fut un temps ou je pouvais faire beaucoup plus que ces quelques tours de passe-passe.
A comptez parmi mes pouvoirs bien que cela ne soit pas magique, j'ai une excellente connaissance du bestiaire animal et végétal de ce monde et sais comment manipuler les espèces intelligentes. J’y prends même un certains plaisir.
Peur(s) :Approcher une flamme d'une plante et elle brulera, c'est pareille pour moi. Le feu me fait peur, car je sais qu'il peut me faire mal, très mal.
Essayer seulement de vérifiez si c'est vrai et vous aurez un cactus qui vous poussera la ou on ne voit jamais le soleil.
Point(s) faible(s) :Et bien physiquement, le feu incontestablement. Qu'il soit magique ou sauvage, je ne résiste pas aux flammes.
Histoire (15 lignes minimum) :Encore ? Après vous avoir parlé de lui, je dois vous parlez de moi aussi ? Je suis l'idiote qui suit partout cet idiot de chanceux histoire de m'assurer qu'il ne fasse pas de bêtises!
Bon, ok, voici mon histoire, je vais commencer un peu avant ma première rencontre avec Yuurei.
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été dans la foret de Déméria, proche de la route commerciale vers Thalûn. Mais lorsque j’y fus crée par l'Origine, cette route n’existait pas encore. J’ai put voir les hommes marcher vers les nains, armé et prêt à leur faire la guerre pendant de nombreuse année. Je pouvais les regarder marcher, sur un sentier à peine plus gros qu’un chemin de terre. Les voir, vague après vague, marcher toujours mieux équipé et plus armés. Puis ces vagues s’arrêtèrent, jusqu’au jour ou je pus voir… des nains marcher vers Déméria, étrangement il semblait qu’ils étaient venus de manière pacifique. Des hommes faisaient le chemin inverse, à travers ce petit sentier, quelque temps après je pus comprendre… qu’ils venaient commercer. Les choses changèrent très vite, le petit chemin devint un grand chemin, puis une petite route et enfin une grande route commerciale, l’axe Thalûn/Déméria. Les choses changèrent au point, entre les humains et les nains, que je pus voir une armée de nains venir prêter main forte aux humains qui affrontaient d'autres humains ou encore lorsque ces stupides cadavéreux apparurent.
Même si, actuellement, les cadavéreux les surpassent tout les deux de loin, je ne saurais dire quelle calamitée fut la plus grave pour ma forêt, ces nains, pollueurs abandonnant leurs tonneaux derrière eux, et cassant tout sur leur passage, qui certes passaient rarement par ici. Ou alors les humain, légèrement plus entretenue, mais s’appropriant peu à peu la terre sous leur pied pour y construire leurs habitations, leurs villages en déracinant ma foret. En ces temps reculés, hormis les elfes et certaines espèces sylvaines, il y a peu d’espèce que j’appréciais.
Il fut un temps ou un village fut construit proche de ma forêt et je put voir de près les comportements des humains sur mon habitat. Les voir si sales, si irrespectueux me donnais envie de raser ce village, le faire s'engloutir sous une montagne de lianes et de racines. Ce n'est que grâce aux bonnes paroles du vieux-chêne qu'ils durent de ne pas voir leur village rasé... maudites créature du changement, pour moi tout les hommes étaient mauvais. Puis vint un beau jour ou un vagabond vint s'aventurer plus que de raison dans ma forêt. Il s'appelais Arkos et avait un ton enjoué. Certains de son peuple le croyais fou, lui qui parlait aux plantes et aux arbres, d'autres semblaient grandement le respecté, vus ses étonnantes capacités naturelles. Lui qui essayais d'être ami avec les animaux et pensais les comprendre, je fut étonné de voir qu'il y arrivait plutôt bien de surcroit. Se fut la première fois que je put voir, de loin du moins, un rôdeur et mon premier reflexe, devant cette aberration, cet être issu du changement essayant de communiquer et arrivant à se faire accepter par beaucoup de créatures de l'Origine... fut d'essayer de le tuer. Lui aussi dut sa survie au vieux-chêne qui, chose étrange avait décider de le défendre lorsque je me suis présenté face à lui pour l'attaquer et occire ce que je prenait à l'époque pour une insulte vivante envers la forêt.
Le simulacre de combat ne dura que quelques secondes tellement son niveau était en dessous du mien et il reçut, de part mes lianes, de sérieuses blessures.
A ma grande surprise, une fois Arkos remis de ses blessures, le vieux chêne me donna l'ordre de rester un temps à l'écart et, à ma grande surprise, instruisit le Rôdeur sur les règles et la véritable attitude à avoir vis a vis de la forêt, vis a vis de la flore, de la faune... et de moi.
Le plus dérangeant ne fut pas son affinité innée avec mon élément mais son comportement, en tout point parfais vis à vis de la nature, il avait le don de m'agacer, allant même jusqu'à s'excuser publiquement face à moi pour la fois ou je l'avait attaqué... C'est moi qui avait manquer de le tuer, pourquoi, par le Créateur, s'excusait il ? Cela dit, je tolérais sa présence, elle était de la volonté du vieux-chêne et je lui étais bien trop redevable pour lui opposer un quelconque refus. Mais ce Rôdeur m'agaçait et je ne savais pas ce que j'avais le plus de mal à supporter chez lui. je ne sais pas si c'est le fait qu'il soit issue du changement, qu'il avait une affinité et une humilité à toute épreuve ou le simple fait que, comme toute autres créature de cette forêt, je commençais a vraiment beaucoup l'apprécier. Cela dit, les quelques années qu'Arkos vécu avec nous me firent comprendre un événement de l'histoire. Je sus pourquoi le Créateur lui même avait approuvé et protéger certaines créature de cette espèce issue du Changement... J'ai pus constater qu'il y avais des hommes mauvais, près à tout détruire... et des hommes bon, près aux plus grand sacrifices pour protéger ce en quoi ils croient. Malheureusement, J'ai put constater ce que les hommes mauvais réservaient aux hommes bons.
Rapidement Arkos fut condamnée à l'exil par les gens du village et lorsqu'il me dit pourquoi ma rage envers son espèce, du moins envers les mauvais de son espèce, fut encore plus accentué. Les villageois avaient pour projet d'accentuer leur valeur économique et pour cela il leur fallait agrandir leur ville, prendre place sur l'axe commercial et devenir un lieu de halte et de commerce non négligeable et pour cela, ils devaient raser une grande partie de ma forêt. Arkos s'y était opposé farouchement et fut évincé. Il fut même condamné à la corde quand il sabota le camp des ouvriers du village et lorsqu'il empoisonna une partie du personnel designer pour utiliser et entretenir leurs outils. Cependant les villageois étaient superstitieux et pendre un rôdeur aux abord d'une forêt était pour eux un signe évident que la forêt allait le venger dont sa sentence se transformât en exil.
les jours passèrent, se transformant en semaines puis en mois. Arkos resta un temps avec nous puis partit, encore plus au nord, chercher d'autres coins de nature. Puis vint l'été, la plus chaude saison, où, à la lisière de la forêt, on put voir un étrange spectacle. D'un coté les ouvriers, accompagnés de certains soldat et de leurs outils et de l'autre, entre eux et la forêt, Arkos se tenait seul avec son arc. Le chef de cette expédition lui intimât l'ordre de partir ou les quelques archer ouvriront le feu, Arkos s'y refusât et les humains mirent à exécution leurs menaces. Il n'y résista pas et je doute même qu'il essaya réellement d'y résister. Au moment même ou je vu les flèches s'abattre sur lui, ou je put voir les pointes transpercer sa chair et lui voler sa vie, j'émis un hurlement de peine et de rage, lançant toute ma magie, toutes mes lianes contre ces monstres....
Mes lianes n'atteignirent jamais leur cible et mon propre cri étouffé par un cri encore plus puissant, et beaucoup plus rauque. Un événement inattendu me stoppa net. En me concentrant sur ses humains j'en avait oublier de veiller sur ma forêt et se fut la plus improbable des créatures qui chargeât. Je put voir, sous mes yeux stupéfait et horrifié, un arbre fraichement déraciner voler littéralement sur les troupes d'ouvrier et les quelques troupes de soldat du village, en broyant un bon nombre parmi eux. c'est en me retournant, effrayée et encore plus horrifiée que je put voir son lanceur charger, un autre arbre déraciné dans la main en guise de gourdin. Par les dieux, par les saints et par tout ce qu'il y a de puissant en ce monde, comment est-ce possible, comment n'ai-je put voir ou sentir sa présence et surtout pourquoi... pourquoi ce ravageur gris attaquait-il ces humains avec tant de haine ? Car oui, ce fut de la haine qu'on put voir émanant de cette colossale créature. De la haine, de la fureurs, de la bestialité ... et de la peine.
Une fois les trois quart des humains broyés, détruits écrasé et violemment tuer, et le quart restant éparpillé, fuyant cette puissante créature et le carnage particulièrement sanglant qu'il venait de commettre a lui seul. je compris, par son comportement, la motivation du ravageur gris. Celui-ci avait adopté Arkos et n'avait vraiment pas apprécier de voir celui-ci se faire attaquer par les humains. Les longues plaintes triste du ravageur, le cadavre d'Arkos dans la main, en disait long sur l'affection que cette créature lui tenait. et je dut avouer que ma première envie fut de me joindre à lui pour pleurer la mort de celui que j'ai fini par considérer comme un ami. Arkos était mort... pour nous protéger. Cette créature du changement a offert sa vie pour nous protéger, nous issue de l'Origine. Le vieux-chêne réussit a guider le ravageur hors de la forêt, au nord, chez lui. Mais il ne réussit pas à lui substituer le cadavre d'Arkos et nous n'avons malheureusement pas put offrir de sépulture descente a celui que nous commencions à considérer comme un enfant de la forêt.
De leur coté, après un si sanglant échec, les villageois abandonnèrent toute idée d'approcher cette forêt . Ils envoyèrent même des missives aux caravanes marchande leur déconseillant fortement d'entrer dans celle-ci sous peine de mort. Dans ces missives y étaient décrit une forêt hantée, ou l'esprit, le fantôme d'un rôdeur commandant aux ravageurs gris y avait élu résidence et ou quiconque essayant de violer l'intimité de cette forêt verrais sa caravane se faire broyer par un ravageur surgissant de nulle part. Je put, grâce à cela, avoir plusieurs décennie de paix.
La paix fut certaine dans cette forêt, jusqu'au jour ou un Rôdeur de quatre année vint perturbée notre silence. Un rôdeur de quatre ans, ayant une affinité avec son environnement me rappelant ce rôdeur que j'ai bien connu. Bien que celle-ci fut très différente de celle d'Arkos dans sa manière de se manifesté. Aussi sous le conseil du vieux-chêne, je le pris cette fois-ci sous mon aile.
Mais cette histoire, l'histoire de ce rôdeur de quatre ans, ces remous, ses péripétie et ses conséquences vous ont déjà été contées. il s'agit de l'histoire de
Yuurei Akuma Rêves et/ou buts :Mon rêve : vivre heureuse avec lui, loin de tout et en paix avec ce monde, le temps d'une vie humaine. Après ce qu'il a subit pour moi, je lui dois bien quelques décennies de ma très très longue vie.
Puis dans un second temps, retrouvez ma puissance d'hantant voir même plus s'il le faut. Ce second temps viendra une fois sa vie terminée bien sur, et je me débarrasserais enfin de ces maudits nécromants ! Leur corruption n'attendra pas MA forêt !
Mon but : l'accompagné et le protéger dans sa lutte acharnée à ... me protéger. Si quittez la forêt lui permettra de nous débarrasser de ce fléau... je l'aiderais forcement. Même si je préférerais une vie reculée et en paix, je l'accompagnerais ne serais-ce que pour l'empêcher de commettre un acte stupide... son sens du sacrifice est un peu trop poussé chez lui aussi à mon gout et je redoute qu'il fasse la même erreur.
Comment avez-vous connu le forum ? :Sur ce coup la.... Google a été mon ami.
Avez-vous lu le règlement ? :[Validé par l'Origine]Au fait, le rosier derrière vous se meure de soif et a besoin de soleil, vous devriez l'arrosé et ouvrir cette fenêtre.
Mar 20 Juil - 23:37
