Un ermite à Athéïle

Finalement, sa patience avait porté ses fruits. Le Samourai acceptait de venir le voir plus tard, et Esigur le faisait des l' instant suivant. Le général ne préta aucune attention aux insultes libre de la Seigneure Marchande. C' est elle qui se ridiculisait en faisant cela. Qui aurait put croir qu' une représentante du Concile d' Athée puisse tomber aussi bas? S' en était presque pitoyable.
Un autre combattant d' exeption dans la cité? Cette fois le hasard ne pouvait plus être pris en comtpe. Des choses se passaient réellement dans les murs de la cité, il n' y avait plus de doutes possible. Peut-être le Sage Buggins apporterat-il des réponses aux innombrables questions que se posait le Corbeau, mais nul doute que Ryusei fusse celui qui y répondrais aux mieux.
Se tournant vers le premier Buggins, Asarhaddon lui tendit la main, l' invitant à le suivre tout en demandant:

-Nous y allons?

Puis tout deux se dirigèrent vers les appartemment du général. Les cinq Gardes du Corps le suivirent, le mine sombre et l' oeil vif. Ils se doutaient qu' Esigur ne s' en prendrais pa à la persone de Sennacherib, mais en tantque gardes du corps, leur travail était d' être suspicieux vis-à-vis de tout ceux qui cotoyait leur patron. Les passant s' écartaient sur leurs passages, laissant le chemin libre au Corbeau et à son mystérieu invité.

(Je me permet de contnuer le RP dans le même post. Si cela dérange, fait le moi savoir )

Près d' une demi-heure plus tard, les deux hommes, suivit par les cinq guérriers, arrivèrent finalement devant la demeure du général. Etant le fils unique d' un Haut-Dignitaire d' Athée et d' une Seigneure Marchande, sa maison resplendissait le luxe et l' argent, bien que son propirétaire n' en ait jamais fait sa raison de vivre. Celle-ci n' était rien d'autre qu' Athée et son bien-être. La maison tait entourée d' un petit jardin que deux jardiniers s' affairaient à entretenir parfaitement tandis qu' Asarhaddon et Esigur pénétraient à l' intérieur de la demeure, toujours suivient par les cinq gardes.
Après une petite succésion de couloirs et de petits salons, les sept hommes arrivèrent dans la bibliothèque. Bien que peu impréssionnantes par rapport à celles que pouvaient avoir le Président ou les Seigneurs Marchands, Asarhaddon en était quand même fier, il possédait tout de même plusieurs ouvrages quasi-unique, dons de ses parents. Bien que n' ayant jamais adoré la lecture, ne réussissant à apprendre à lire que vers l' âge de 9 ans, le Général aimait à se plonger dans l' histoire. En fait, sa bibliothèque ne comptait pratiquement que des livre d' histoire, comprenant celle d' Athée, celle de Démérié, celle de Hu-Bei, de Thalun, des divers groupes qui réussirent à acquérir une notoriété mondiales, des multiples âges du mondes, des innombrables guerres d' importances majeurs entre les différentsEtats, et, bien entendu, des Religions. Mieux connaitre son ennemi, c' était déjà l' affaiblir.

Invitant son "ami" Buggins à s' assoir dans l' un des fauteils qui se situait près de la cheinée, et s' asseyant dans celui d'en façe, Asarhaddon congédia ses hommes et demanda à ce que l' on apporte des boissons.

-Maitre Buggins, commencat-il, je ne vais pas trouner autour du pot. Je voudrais savoir si vous avez des renseignement à me fournir à propos des différents rumeurs qui circulent en ville. Celles concernant des prêtres.

-Le Souffle Gris. Capitaine Lupen Z'en Rahar. Je m'en souviendrais. Puisque nous savons où nous retrouver, nous pouvons donc poursuivre nos chemins respectifs. Maître samouraï Okurayami, dis-je, en saluant sur ces derniers mots.

Me tournant vers le général, qui me proposa alors de le suivre, j'acquiesçais d'un signe de tête tout en lui répondant d'un bref "Allons-y", avant de jeter un coup d'œil vers la Seigneur Alymare. Celle-ci entraînait déjà le samouraï. Je suivi alors Asarhaddon vers sa demeure, une maison luxueuse entourée d'un jardin bien entretenu. Ayant laissé mon bâton à l'entrée du jardin, je rentrai dans le bâtiment à sa suite. Il ne semblait pas vouloir m'impressionner par sa fortune car il se dirigea d'un pas vif vers sa bibliothèque. Pourtant, cet étalage de richesse avait de quoi en imposer à quelqu'un dont les seules maisons qu'il connaissait était celle de paysans. Et si je n'enviais en rien ce luxe, lui préférant celui, bien plus calme mais néanmoins somptueux, de la nature, je ne m'y sentais tout de même pas très à l'aise.

M'asseyant dans le fauteuil qu'il me désignait, tout en m'excusant en pensée aux domestiques qui auraient bien du mal à le nettoyer, vu la poussière qui me recouvrait après ces nombreuses journées de voyage, j'écoutais le général me demandant si je savais quelque chose à propos de rumeurs qui circulaient dans la ville.

*Des rumeurs? Des prêtres? Les religions auraient donc décidées de s'attaquer aux Athées? Il y a effectivement de quoi inquiéter ce général. Mais est-ce une bonne chose de les convertir par la force? Ils ne vénéreront pas plus l'Origine. Ou le Changement d'ailleurs, je ne sait pas lesquels se préparent. Et les morts seront nombreux. Doit-on vraiment en arriver là? La destruction de cette cité fait-elle parti de Ton plan? Ou m'as-Tu mené ici pour l'empêcher? Quoi que Tu me demande, je le ferais.*

M'apercevant que mon hôte attendais ma réponse, j'interrompis mes reflexions.

-Je vous prie de m'excuser, messire Sennachérib, mais je ne crains de ne pas pôuvoir vous apprendre grand chose sur cela. J'ai vécu quinze ans, seul, dans la nature et j'arrive à peine dans cette cité, je n'avais jamais entendu ces rumeurs. Cependant, s'il y a quoi que ce soit que vous voulez savoir sur moi, je serais ravi de vous répondre. Mais je ne pense pas que le récit de mon périple vous intéressera, d'autant qu'il y a peu à raconter.

Ainsi, son arrivée dans cette ville n' était que pure coïncidence? La venue ici, en cette époque troublée et plus que dangereuse ne reposait donc que sur un malheureux hasard? Non. Ce n' était pas possible. Si le Sage était à Athée, il y avait forcément quelque chose derrière. Non pas que le général pensait que se fut une force supérieur qui l' ait incité à rejoindre la cité, mais si il y avait bien une chose en quoi Asarhaddon croyait encore moins que les Dieux, c' était bien le Hasard. Rien n' arrive sans que cela soit décidé. Pour lui, le Destin était la seule véritable puissance au-delà de toutes races que comptait cette terre.

-Voyez-vous, Maitre Esigûr, le fait que vous veniez justement d' arriver à Athéïle alors que les Religions se font plus menaçentes et que de sombres rumeurs circulent dans les bas-quartiers me force à croire le contraire de se que vous prétendez. Peut-être ne savez-vous rien vous-même, mais je suis intimement persuadé que votre venue ici n' est pas une coïncidence. Bien que je me refuse à croire qu' une quelquonque déité ai influencée votre voyage, je sais que ce n' est pas le simple fruit du hasard.

Ce discour pouvait sûrement paraitre contradictoire en lui-même, mais cela reflétait assez le peu de ce en quoi Asarhaddon croyait.

-Je voudrais savoir combien de temps vous allez rester à Athéïle et si, d' une quelquonque façon, vous contriburez à sa chute ou, dans le cas contraire, à sa défence.

Le soleil s'était levé et une nouvelle journée de mission arrivait, mais heureusement c'était dans ma belle cité natale. Première étape : trouver le général Sennachérib. Cette partie du travail ne fut pas très très difficile, un barbu qui se balade avec des gardes de l'armée remarquable autour de lui ca ne passe pas inaperçu. Surtout quand dans ces soldats se trouve un Hu Bei, un parfait petit soldat de Athé, un démériens et d'autres soldats plutot originaux.

*Pourquoi sont ils tous si préoccupé par leur sécurité ? La meilleur sécurité c'est la discrétion. Et c'est eux qu'on appelle généraux !* pensai je sur l'instant.

Caché dans la foule je l'observais, lui et sa cohorte, devant la seigneur marchand Selena. Je me souvenais d'une soirée où j'avais réussi à m'invité. J'avais remarqué son "excentricité". En écoutant les ragots, j'avais découvert qu'on la disait plus ou moins folle et porté sur la magie noire. Que j'adore les ragots, et de toutes évidences elle aussi. N'importe quel personne un minimum intelligent comprendrait qu'elle avait elle meme forgé cette image pour que tout le monde la croit imprévisible. Technique défensive parfaite en société même si elle avait l'effet secondaire que l'ont risque de ne pas vous prendre au sérieux.

Je m'achète alors une pomme avant de m'approcher tranquillement du lieu de la discussion pour la deguster tranquillement. J'entends alors les piques que Selena dissimulent dans les flots de paroles. Sennachérib ne semble guère habitué à ce champs de bataille. Bien qu'intéressé par la discussion, je dus changer de place pour ne pas attirer l'attention des gardes, surtout si je devais lui parler . J'avais appris l'essentiel. Les seigneurs marchands ne veulent pas de sa guerre, ce qui était évident. Je restais à bonne distance pour le suivre, lui et le buggins qui le suivait. Peut être voulait il un nouveau garde du corps pour être encore plus remarquable.

Les pas du général le menèrent droit chez lui. Une magnifique maison :

*Comment un homme à l'apparence si rustre pouvait il avoir autant de gout ? Telle est la question*

Il venez tous de pénétrer dans la batisse. Il me suffisait d'aller me présenter simplement. Pour cette mission, j'avais prévu le coup et m'était habillé d'une tunique blanche et d'un pantalon noir, camouflées sous une cape grise passe partout à laquel j'avais accroché la broche des De Nor (piqué quand j'avais tué Antoine). J'approche de la porte de la propriété de Sennachérib et me présente à ses gardes après m'être incliné légèrement (comme le veux le protocole). J'étais totalement dans mon role. La voix sûre, amicale avec une toute petite pointe d'arrogance, mais très peu (pour faire crédible). Depuis toujours, j'avais remarqué qu'on a de meilleur résultat avec les gardes en étant habillé comme un noble mais en restant très chaleureux. Ne jamais les prendre de haut. Parler avec eux d'égal à égal flattait discrètement leur égo et ouvrait bien des portes.

"Bonjour à vous messiers, je me nomme Anton De Nor. Je dois avoir une entrevue avec le général Sennachérib, c'est important. Ca concerne son expédition"

De toutes évidences, j'avais fait de l'effet car les deux soldats semblaient receptifs. De plus, étant donné que j'avais donné le mot "expédition", ils me prenaient surement pour un messager de seigneur marchand. C'était souvent comme ça dans ce milieu, moins on en dit plus ils imaginent qu'on est. Le plus marrant c'est que proportionnellement, plus les gardes s'imaginent qu'on est important, moins ils se rappellent de nos visages ... peut être ont ils peur qu'on vienne les tuer pour nous avoir vu. Un domestique me guide jusqu'à la porte de la bibliothèque de son maitre et toque à la porte pour m'annoncer.

"Monsieur, un certains monsieur De Nor souhaite s'entretenir avec vous au sujet de vos expéditions"

Règle de la bien séance obliger j'attends qu'on me permette d'entrer

Est-il dans la nature d'un Buggions de ne jamais dire de mensonges? Sans doutes que oui. Et si le Général suivait ce raisonnament, ce qui était le cas, alors il n' avait aucunes raisons d le garder ici plus longtemps. Cet homme lui avait apparement dit tout ce qu' il savait, ou du moins le plus intéréssant. Après, s' il n' était arrivé dans la ville que depuis peu, alors il n' avait rien put apprendre à propos des rumeurs. Asarhaddon soupirat intérieurement, sûr que l' autre guerrier, le dénommé Ryusei, aurait réellement put lui dire ce qui se tramait contre la cité. Mais étant un samourai, il devait sûrement tout être sauf athée. D'après ce qu' il savait, les samourais vénéraient des sortes d' entités mineure à celle appellé Origine qu' ils dénommaient "Kamis" ou quelque chose du genre. Encore une fumisterie religieuse sans doute. Qu' à cela ne tienne, le Samourai n' était pas digne de confiance. Jamais l' autre folle n' aurait dut partir avec lui! Il était trop dangereux. A moins que....

Revenant bien vite à la situation présente, Sennahérib se leva, s' inclinat devant Esigur et lui dit:

-Je vous remercie de m' avoir accordé votre temps, Maitre Buggins. Si vous avez besoin d' aide, n' hésitez pas à venir me voir.

Sur ceux, on frappa à la porte. C' était un domestique qui expliquat sa venue par l' arrivé inopinée d' un nouvel arrivant. Vu son nom, l ne pouvait être que d' ascendance noble, et le fait qu' il soit venu à propos de ses expéditions intrigua au plus haut point le militaire.

-Maitre Heisei, j' aimerais beaucoup continuer notre discussion un peu plus tard. Acceptez, je vous prie, l' hospitalité de la maison Sénnachérib. Si vous le désirez, vous pouvez dormir ici ce soir. Sachant que vous venez d' arrivé, il serait disgracieux de ma part de vous mettre à la porte, à moins que vous n' ayez déjà un endroit où dormir cette nuit.

Puis, se tournant vers le domestique, le Général reprit:

-Faites le entrer.

Le domestique s' inclinat légèrement, puis invitat le nouveau venu à pénétrer dans la pièce. D' un geste de son maitre, celui-ci se resta lui aussi dans la pièce, s' adossant au dos du mur, regardant le fameux De Nor dans le dos.

-Asseyez-vous. Dit le Général à son nouvel invité. Déclinez, je vous prie, votre identité exacte, votre fonction et la raison de votre venue.

Le ton, bien que courtois, se montrait à présent bien plus neutre et formel que précédement.

Dormir dans cette demeure? Il faut avouer que c'est tentant. On a beau préférer la nature sauvage au luxe de la ville, passer la nuit sur un matelas dans une maison est tout de même mieux que dans une grotte en hiver. Et quinze ans d'habitudes n'y changent pas grand chose. Cette proposition du général était tout de même étrange, lui qui était si suspicieux quelques instants plus tôt... Quoique au contraire, cela lui permettait de surveiller le Buggïn, au moins pour cette journée et le lendemain. Mais peut-être était-ce sans arrières pensées après tout. Tout bien réfléchi, il n'est pas si étonnant que ça d'offrir l'hospitalité à quelqu'un venant d'arriver dans la cité et que l'on a invité chez soi pour lui poser des questions comme le général l'avait fait. Dans tout les cas, cette offre n'était pas pour déplaire à Esigûr.

Mais il devait tout de même aller voir le samouraï, il lui avait proposé un rendez-vous et ce devait donc d'y aller. Ou du moins de chercher le navire dont ce dernier lui avait parlé. Et puis cela ne l'empêchait pas de retourner voir le général plus tard. D'autant que maître Okurayami semblait vouloir lui parler aussi. C'était ce qu'il avait laissé entendre en répondant à Asarhaddon quand celui-ci lui avait donné un anneau. Il avait même affirmé qu'il passerait le voir d'ailleurs. Enfin, tout ceci ne l'amènerait pas au bateau. Il faudrait qu'il aille au port, il trouverait bien des marins pour le renseigner là-bas. Toujours était-il que la nuit sur un matelas semblait compromise.

-Je vous remercie de votre invitation, messire Sennachérib, dit-il à celui-ci après s'être incliné devant lui, mais je me dois de refuser. Il me faut aller trouver le capitaine Lupen Z'en Rahar et son navire, où maître Okurayami m'a donné rendez-vous. Cependant, je ne manquerais pas de repasser vous voir. Peut-être avec ce dernier d'ailleurs. Sur ce, général, je vais vous laisser; et vous remercie grandement de votre accueil.

Saluant de nouveau le général, il sortit de la pièce, après s'être incliné devant le nouvel arrivant, comme celui-ci l'avait fait. Ressortant de la maison, et récupérant son bâton de marche au passage, il se dirigea vers le port. C'est probablement dans les tavernes qu'il aurait le plus de chance de trouver les informations qu'il cherchait. Ou peut-être en demandant à des marins sur les quais.

Comment? Cet homme osait venir dans sa demeure, de cette manière là, tranquille et assuré, afin de demander, le plus naturellement du monde, si Asarhaddon avait songé à trahir sa patrie? Comment osait-il? Le Général avait été éduqué par ses parents pour le bien d' Athée! Il se devait de servir sa patrie jusqu' à la mort, et ce sans jamais chercher à discuter le ordres qu' il avait reçu. Il était loyal et le resterais.

Toutefois, Anton avait réussit à titiller la curiosité de Sennachérib. Bien sure qu' il avait songé à la voie illégale. Mais l' emprise des Seigneurs Marchands sur la Politique, le Commerce et l' Armée les rendaient totalement invulnérables. Si l' on voulait les renverser, le seul moyen était par l' assassinnat pur et simple de toutes les Familles Marchandes. Autant dire quelque chose d' impossible. Et pourtant le Général c' était lui-même renseigné sur ce sujet là....

-Allez nous chercher du thé je vous prie, dit le Général au domestique. Et n' oubliez pas, bien sucré pour moi. J' espère que vous aimez le thé Seigneur De Nor.

Puis, une fois le domestique partit, le militaire se tourna vers son interlocuteur, toutes apparences aimables et serviables disparuent pour avoir été remplacées par le sérieux et la gravité.

-Maintenant vous pouvez parler sans retenue. Ici personne ne nous espionneras. Et ne vous en faites pas de rester courtois. J' ai suffisamment vécu avec des soldats pour ne plus m' en offusquer. Il m' arrive de jurer de manière plus offensante que le pire des mendiants de cette ville.

S' asseyant à son tour dans le fauteil qui faisait façe à celui du noble, le Corbeau reprit d' une voix conciliante:

-Je compatit à votre histoire, nul famille de Noble ne mériterais d' être traité comme celle d'un vulgaire paysan. Vous êtes également bien informé, j' ai effectivement subit des revers politiques lorsque j' ai tenté de justifier mon projet de campagne contre Oridia. Celui-ci à été rejeté, et maintenant certains Seigneurs Marchands se mordent les doigts à la vue des pillages commis par ces barbares sur leurs marchandises. Mais comment pourriez-vous m' aider? De quelle manière?

[Je passe à la 3eme personne pour l'écriture alors n'en soyez pas trop choqué hehe]

"Je ne refuse jamais une tasse de thé si chaleureusement proposée"

Répondait Raregord avec un sourire amical. Il était assez étonnant de voir le général demander de parler franchement à un espion, de toutes évidences il n'en avait pas sous son commandement, peut être n'appréciait il pas leur compagnie ou avait il peur de se faire trahir. Cela en disait long sur le caractère de ce général, a en jugé par sa maison, il avait été éduqué dans le respect de la loi, peut etre même à l'extrême ... trop à l'extrême peut être. C'est ainsi que Sennacherib devint plus réceptif à l'illégalité.

*Voilà une bonne nouvelle. Un instant j'ai cru qu'il allait me demander de partir*

Sennacherib s'intéressait, la preuve que c'est quelqu'un de déterminé. Un sourire s'afficha sur le visage du noble déchu.

"Merci de votre compassion, toutefois, on peut dire que ce n'est pas forcément une mauvaise chose. Moins de politique et plus de manipulation, tout ça. En fait, j'ai même plus d'influence sur la politique maintenant que jadis alors je ne vais pas trop blamer le destin. Le fait est, je ne fragiliserai pas les bases de la république uniquement pour que vous meniez une guerre qui risque de ruiner cette belle cité. Mais rien ne vous empêche de lancer des opérations spéciales. Sabotage, assassinat, reconnaissance, tout cela peut ruiner une armée plus surement que des milliers de concitoyens en armure. Comme je vous l'ai dit tout à l'heure, je suis un intermédiaire. J'ai un jeune homme assez doué pour les travails d'infiltration, de recherche et de manipulation d'information. En échange d'un paiement conséquent, il pourrait vous rendre des services sans que vous n'ayez à mobiliser, entrainer, entretenir et payer des troupes"

Il était un intermédiaire? On l' avait envoyé jusqu' à lui? Mais qui? Et pourquoi? Si il avait été envoyé par un Seigneur Marchand, cela n' aurait aucun sens. Aucuns de ceci ne c' était situé pour son projet de campagne anti-oridienne, aucun ne lui avait apporté son soutien. Donc, en toute logique, cet homme avait été envoyé par un autre personnage puissant d' Athée, mais qui ne fusse pas Seigneur Marchand. Il n' y avait donc que deux choix possibles: ou bien il venait de la part de l' un des autres Généraux, ou bien il venait de la part du Président lui-même. Mais encore une fois, il y avait des incertitudes. Le Président était certainement cleui qui avait le plus à gagné de l' élimination des Seigneurs Marchands. Il était sous leur domination et ne pouvait rien faire sans leurs consentements. Mais si c' était vraiment lui, pourquoi n' avait-il pas assiter à l' audience entre Asarhaddon et le Consile Marchands? Il lui avait envoyé une lettre où il demandait sa venue, et au lieu de cela, il avait boycotté la séance. Non, il y avait décidement trop d' incohérence.
Il n' y avait donc plus qu' une solution, bien que celle du Président soit encore tout à fait possible, les Généraux. Mais que gagneraient-ils à déclencher une insurrection et à prendre le pouvoir?

-Votre proposition semble intéressante. Toutefois, il reste des parts d' ombres. Déjà, j' aimerais savoir qui vous envoie. Je n' ai, pour ainsi dire, pas l' habitude de négocier avec des inconnus et avec des personnes que je n' ai jamais vu. De plus, quelle serait exactement la nature de ses "services" qui m' éviterais bien des soucis?

Suite à sa réponse, le Général se leva puis se dirigea vers les étagères de sa bibliothèque et commenca à regarder les noms des libres entreposés. Son seul index restant levé, passant devant les titres des ouvrages, il en cherchait un en particulier. Celui sur la géographie des Terres d' Athée, d' où ilse souvenait avoir vu une carte très détaillés, quoique vieille de quand même quelques années, de la ville d' Athéïle. Si le Corbeau devait négocier avec le patron de ce noble il faudrait décider d' un point de rendez-vous. Plus Anton lui prlais, plus la curiosité et l' excitation de Sennachérib s' exacerbait. Peut-être les choses pourrait-elle enfin changer de manière favorable dans ce pays.

"Est-ce vraimet ce que je veux? Et d' abord, qu'est-ce que je veux?" Se demanda le Général. Evidemment, il voulait le bien d' Athée, sa sécurité et le maintien de sa puissance au sein de Monde. Le problème de la République, bien que disposant d' une flotte parmi les plus puissant, fut que sa politique, quand à elle, n' était rien, en comparaison. Elle était faible. Le Concile Marchand n' était plus ce qu' il était. Il ne vivait plus pour le bien d' Athée, mais pour le bénéfice de ses membres. Les Seigneurs Marchands disposaient de trop de pouvoirs, trop d' influence. C' était eux qui, finalement, contrôlait le pays. Et ce n' était pas différent d' une dictature. Personne ne pouvait s' opposer à eux, quelques soit la raison, qu' elle fusent légitime ou non.
Mais le pire était que cette division du pouvoir n' était pas profitable à la République. C' était son plus grand point faible. Comment vouliez-vous être une grande puissance quand l' autorité du pays était divisée en parts égales entre Marchands? N' impore lequel d' entre-eux pouvait faire ce que bon lui semblait. Et les pls riches contrôlait le Concile. Il était grand temps de nettoyer la politique des morceaux indésirables. Pour son bien, Athée devait devenir cette République utopique qu' elle avait voulut être à sa création.

Observant attentivement la carte à l' endroit indiqué par De Nor, le Général mémorisa le lieu. Il connaissait très bien le quartier, il arriverait à se reperer sans difficultés.

-18 heures, parfait. J' y serais. Si ma rencontre avec votre employeur se montre favorable, alors les choses pourraient évoluer favorablement. A condition, bien entedu, qu' il n' y ais là aucunes formes de traitrise...

Et oui la suspiscion, personne ne pouvait s' empêcher de l' épprouver.

De la méfiance, Raregord en avait l'habitude. Et comme d'habitude, il avait bien évidemment la réponse appriopriée :

"Si je suis devant vous en pleine journée c'est justement pour éviter un problème de confiance. Cela ne parait pas bien folichon comme garantie mais, croyez moi, il y a peu de milieu plus sûr que celui de l'espionnage de nos jours, surtout quand il y a de l'argent au bout. Si vous disparaissez, je serais donc le premier à me faire interroger et mon employeur sait aussi qu'il sera dénoncer aussitot"

Le noble se lève alors pour saluer son hote.

"Je suis heureux que vous acceptiez de le rencontrer. J'espère sincèrement que vous pourrez vous entendre avec monsieur Raregord, ne serait ce que pour avoir ma commission. J'espère que nous pourrons faire affaire avec vous de nombreuses fois, les clients fidèles sont si rares. Je suis navré de ne pouvoir profité du thé de votre maison, mais j'ai des affaires sur le feu et d'autre rendez vous"

Quittant la demeure du général, Raregord n'avait plus grand chose à faire si ce n'est préparer sa rencontre et entretenir sa couverture de marchand. Les détails étant particulièrement ennuyeux car une succession de visite de courtoisies et de petites taches à accomplir, c'est que deux identités c'est du travail. C'est donc après une après midi fatigante qu'il ferma sa boutique 10 minutes avant son rendez vous, s'habilla tranquillement et sortit par le toi pour rejoindre la maison située derrière chez lui. Elle n'avait pas été choisie au hasard. Il savait que personne ne viendra dans ce coin à cette heure car elle n'est pas dans l'allée commercante, les ruelles sont dégagées mais plutot étroite et surtout, l'accès au toit était très facile pour peu qu'on connaisse le chemin. Comble du bonheur une légende de fantome était apparu sur elle, du coup l'état de délabrement de la batisse rebutait la plupart des gens qui voulait l'acheter ou la visiter.

C'est donc dans cette maison à l'allure tout sauf accueillant, que Raregord décida d'attendre, caché dans l'ombre, il était posté sous les tuiles pour s'assurer que le général était bel et bien seul à venir. Une fois les vérifications d'usage faites. Il se dirigea au rez de chaussée pour attendre son interlocuteur. Sa tenue était très particulièrement difficile à voir sous son manteau et sa capuche noire. A ses mains, il portait des gant de cuir et sur son visage, son masque unique. Assis sur les marches de l'escalier il restait immobile, même quand le général était entré.

"Bonjour général Sennachérib, je suis heureux que vous soyez venu me rencontré ..." dit il d'une voix grave

Mais tout de suite après, sa voix avait changé en celle d'une femme

"... J'aime les gens qui on l'esprit ouvert et la preuve que vous soyez là signifie que vous l'êtes"

Dans quoi s' embarquait-il? Le Général ne cessait de ce poser cette question durant tout le reste de l' après-midi. Il avait été élevé dans le respect des valeurs d' Athée et pour sa défence, et voila que maintenant il acceptait le rendez-vous fixé par un mystérieux inconnu dans le but de renverser la République.
Mais si on y réfléchissait bien, Asarhaddon n' avait rien accepter du tout, à part ce rendez-vous. Il n' avait pour le moment rien fait qui soit contre les Lois Républicaines, rien qui soit répréhensibles par les autorités du pays, rien qui ne puisse lui porter préjudice. Au moins s' il était pris sur le fait, ou bien si tout cela n' était qu' un piège, il n' aurait rien à se reprocher. Quittant sa demeure seul, habillé de l' accoutrement d' un simple habitant de la cité, ne portant donc ni armures ni armes, hormis son épée que sa cape cachait. La capuche de celle-ci rabattut sur la tête du général lui dissimulait le visage. Avant de sortir par une porte dérobé, Asarhaddon avait laissé des instructions très précises à son intendant, qui était également son pigeonnier, dans l' hypothèse où il ne revienne pas.

Passant à travers les ruelles les plus fréquentés et donc les plus aptes à le dissimuler au cas où il serait suivit, le Corbeau se dirigea vers le lieu de rendez-vous. Une petite batisse completement délabrée, dissimulée derrière une boutique. Des planches à moitié pourries en condamnaient les accès, mais il fut facile au Général de les enlevées avant de pénétrer dans la ruine. Cela avait dut être une petite maison coquette dans le temps, mais à présent le délabrement était tel que personne n' en voulait. Des souris y avait élu domicile, ainsi que des pigeons et même une chouette qui y avait établit son nid.

Lorsqu' il jeta son regard aux alentours, il apercut l' escalier, et sur cet escalier une silhouette. Impossible de savoir si c' était à un homme ou à uen femme qu' il s' adressait, jusqu' à sa voix se fit entendre. C' était bien une femme.

-Je suis surtout intrigué, Madame. Pourquoi m' avez-vous faites venir jusqu' ici? D' après ce que j' ai compris, vous vous interessez à ma carrière et suivez de près mes agissements. J'aimerais savoir dans quels buts.

Le ton état amicale et ouvert, rien de provocateur ni d' arrogant. On aurait put croire que c' était là deux personnes qui se connaissait et s' appréciait.

Sous son masque un sourire s'était formé, comment allait il réagir à un autre changement de voix ? Mieux vaut ne pas trop secouer son esprit pour l'instant, et puis lui dévoiler un de ses dons ne ferait que lui donner de nouveaux indices sur son identité alors Raregord continua sur le même ton. Raregord, conscient de la délicatesse de traiter avec une personne dont on ne sait rien et qui ne bouge pas, il décida de se lever et de se diriger vers une table qui avait miraculeusement survécu au poids des années et au pillage de la maison

"Je ne suis vos agissement en particulier que depuis peu, mais j'ai toujours un oeil tourné vers ce qui pourrait toucher la république d'Athé. Je ne m'attends pas à ce que vous me croyiez mais j'ai à coeur la survie de cette république. Mes divers contacts m'ont parlé de votre ambitions de lancer une expéditions, ambitions bien trop grande si on en croit les seigneurs marchands. J'ai donc décidé de me proposer pour régler vos problèmes. Mais n'ayant pas pu assister à votre séance auprès des seigneurs, je vous demanderai de m'exposer précisément ce dont vous avez besoin"

Ne sachant par quel sentiment était mu cette confiance qui commencait à naitre dans l' esprit du Général, celui-ci se dirigea également vers la table, se mettant en façe de son interlocutrice. Son mouvement fut par contre sûrement trop brusque, car quelquespigeons s' envolèrent de leurs perchoir, s' éparpillant à travers la pièce. L' un d' eux allat se poser derrière la mystérieuse femme. Toutefois, le Corbeau ne savait trop coment réagir. Il était toujours suspicieux, chacun des mots qu' il prononcait était réfléchit, de tels sortes d' éviter que ceux-ci soit utiliser contre lui dans l' hypothèse où cette rencontre ne soit qu' un piège tendu pour le confondre en justice.

-C' est très aimable de votre part, Madame. Ce dont j' ai besoin est très simple: une armée. Et bien entendu son contrôle absolu. Seuls les Seigneurs Marchands peuvent mobiliser des troupes, et c' est cette division de l' armée qui nous rend vulnérable lors des attaques ou des guerres.

N' en avait-il pas trop dit? Non, sûrement pas. Mieux vallait expliquer le problème dans ses moindres détails. D' une telle manière, la femme sauras exactement comment agir.
Toutefois, une question continuait de rester à son esprit, la même qu' il n' avait cesser de se répéter tout l' après-midi: dans quoi s' embarquait-il? N' était-il tout bonnement pas en train ed trahir la République? Il ne le pensait pas. Il n'avait pour l' instant rien ait qui soit contraire aux Lois.

-Peut-être avez-vous raison, Madame. Seulement, si la peur nous empêche à chaque fois d' agir, nous n' irons jamais loin. D' ailleurs je ne comprend pas pourquoi le Culte Originel n' à toujours pas lancé d' attaque. Vous l' avez dit vous-même, nous sommes encerclés par des Cultistes. Certains d' entre eux vont même jusqu' à venir directement dans la cité pour y semer le trouble. Avec une telle position avantageuse, j' aurais attaqué depuis longtemps.

S' arretant quelques secondes, le Général prit le temps de regarder la pièce alentours. Cela avait dut être la pièce principale de la demeure à l' époque où elle était autre chose que cet amas de bois pourries et vermoulus. L' humidité était visible, quelques soit l' endroit où l' on jette son regard, mouses et lichens envahissaient peu à peu la pièce, transformant le couleur marron-noire du bois en un vert des plus sombres. En regardant vers le haut, on pouvait apercevoir quelques trous qui laissaient passés quelques rayons de soleil, assez pour éclairer parfaitement le lieu de rendez-vous.

-C' est pourquoi, reprit-il, je pense que nous agir les premier. Dans tout les cas nous sommes en position de faiblesse: si nous attaquons, nous faisons se liguer les nations originelles, certes vous avez raison. Mais si nous n' attaquons pas, cette coalition se formeras malgré tout. Et nous ne pourrons rien y faire. Mais si nous frappons les premiers, nous aurons l' effet de surprise de notre côté. Toutefois, vos propositions sont très intéressantes. Je n' avais pas envisagé la guerre sous cette forme là. Pouvez-vous me certifier que vous serez capable de neutraliser tout les chefs des clans Oridiens?

Si la réponse était positive, alors les espoirs d' une guerre victorieuse au profit d' Athée renaitrait. La République éclabousserait le monde de sa puissance. Grâce aux immenses forêts inviolés d' Oridia, les Seigneurs Marchands pourraient faire construire assez de navires pour anéantir toutes les flottes rivales.

Tout cela tenait la route. C' était en apparence logique et imparable. De plus, cela avait le mérite de pas être ce à quoi le Général c' était attendu. Il aurait plutôt envisagé cette rencontre comme une invitation à un coup d' Etat porté contre le Concile Marchand et sa puissance manifeste sur la politique d' Athée. Au lieu de cela, on lui proposais de prendre le pouvoir petit à petit sur les Terres d' Oridia. C' était très intéressant, et avait le mérite d' agir pour le bien de la République. La confiance qui n' existait jusqu' alors pas entre Asarhaddon et cette femme commenca à naitre. Bien sur, il y avait toujours cette suspision, mais elle était moindre que précedement. De plus, l' interlocuteur de Sénnacherib semblait réellement prendre les interêts de la cité à coeur. Cela ne pouvait que jouer en sa faveur.

Toutefois, il fallait savoir si Asarhaddon avait les moyens financier de se payer les services qu' on lui proposait. Bien que descendant d' une très riche famille qui avait accumulée un important capital, il ne pouvait pas se permettre des dépenses égales à celle des plus puissants Seigneurs Marchands. Il n' était qu' un militaire, sa solde, certe conséquente, ne lui permettais pas des dépenses demesurées.

-Votre proposition me semble intéressante. Toutefois, il reste le problème du prix. Combien demandez-vous?

La gratuité des services de la femme n' était pas envisageable, et le Corbeau craignait un prix trop elevé, ou bien un service qui aille contre ses valeurs.

1500 pièces d' Or? Nan mais sa n' allait pas? Cette somme, venant d' un simple particulier, était tout bonnement pharaonique. Asarhaddon n' était pas sur que tout ses biens réunit puisse valoir une telle somme. C' était véritablement énorme. Il n' était qu' un militaire, comment réunir autant d' argent?
En entendant le prix, le Corbeau ne put s' empecher d' écarquiller les yeux de stupeur. Ce n' était pas rien. Mais il se reprit bien vite. Si la sécurité et la gloire d' Athée était à se prix, alors soit. Mais il fallait quand même avouer que si Sennachérib pouvait réduir la somme demandé, il ne serait pas contre. Après tout, il aurait peut-être besoin de cet argent pour d' autres affaires, qui, elle, serait peut-être bien plus urgentes.

S' arranger à l' amiable? De quel sorte? En échange de quels services?

-La question fache, surtout quand on entend un prix pareil, fit observer le militaire. Et cela était tout à fait compréhensif. Même si cela prenait en compte tout les achats possibles. Il semblait que le prix serait de 1500 pièce d' Or et rien d' autre, sans rajouts à cette somme.

-Mais imaginons que je ne puisse rassembler votre somme, qu' entendriez-vous exactement par "s' arranger à l' amiable"?

Mais il fallait avouer que si son interlocuteur réussissait sa mision, les bénéfices pour Asarhaddon et Athée seraient grandement supérieurs. C' était tentant. Mais était-ce raisonnable?

*Hahahaha ça fait mal, hein général ?* pensa Raregord qui sentait le malaise de son interlocuteur

Raregord appréciait ce général, lui aussi n'avait pas peur de se salir les mains. Malheureusement, la vie de l'espionnage et des opérations était souvent menée par une règle simple, moins d'argent plus de danger. Mais il y avait aussi une règle bonus qui disait que plus de personnes signifiait moins de risque. L'homme masquait jubilait presque de l'intérieur à avoir l'impression de proposait un pacte pour l'ame de son interlocuteur.

"Il faut que vous sachiez une chose général, le monde de l'espionnage est loin d'être aussi réglo que le monde des batailles. Dans votre monde, plus vous êtes nombreux plus vous avez de chance de réussir votre mission, dans le miens c'est l'inverse. Si vous voulez baisser la note, il va falloir donner de votre personne et surtout montrer qu'être général peut se révéler utile. Si vous voulez me payer à l'amiable, vous devrez devenir l'un de mes agents, obéir à mes ordres et me fournir les équipement ou les informations que je demande. Je ne dis pas que ça sera simple et je ne dis pas que cela sera sans risque mais, cela pourrait aller jusqu'à réduire le prix de moitié, cela dépendra, bien sûr de votre talent"

Avoir un général en tant qu'agent était un véritable atout, il avait ses entrées dans les conciles de seigneurs marchands, disposait de nombreuses troupes capable de lancer des rumeurs à des vitesses hallucinante. Avait accès aux prisons et de nombreuses autres institutions pour trouver les matériaux. Mieux encore, il pourra avoir un contact direct avec les seigneurs marchands sans avoir à s'en approcher. Oui de toutes évidences, Sennachérib était un parfait agent