Lorsque chante le silence.

Une main qui se tend, un regard qui se croise,
Une alliance d’un temps, deux êtres qui se toisent,
Qui s’observent en silence, un sourire entre eux deux,
Qui regardent le même rêve, s’approche des mêmes cieux…

Il attrape sa main et se lève sans appuis,
Lui sourit la regarde, ses yeux dans ceux de l’ange,
Il l’embrasse en silence, et toujours il sourit,
Il murmure en silence plus rien ne le dérange :

˝Ainsi tu veux voler alors courront ensemble,
Faisait bougé la terre et que les airs tremblent,
Que la vitesse des hommes semble à nouveau si vaine,
Que le calme nous prenne, que l’âme devienne sereine.˝

Puis ses lèvres de miel si proche pourtant si loin,
Laisse échapper l’odeur d’arbre et d’herbe de soin,
Il semble murmurer si bas qu’aucun son sort,
Un murmure de silence, il reparle de mort.

Spoiler:

Ses yeux vert d’émeraude voient sur ses mains le sang,
Elles ressentent le battement de leurs cœurs dans le vent,
Ceux qui sont arrêté pour la fin de leurs jours,
Ceux qui l’on vu danser, mettre son savoir à jour.

Il se souvient encore de toute sa formation,
De ce pourquoi il vie de toutes ses actions,
Il se souvient du sang qui ne quitte sa main,
De ce pourquoi il vie, lui toujours assassin…

Mais son sourire est là, il ne laisse rien passer,
Ses sentiments enfouissent dans son rêve dépassé,
Ses yeux dans ceux de l’ange il hésite un instant,
Puis l’embrasse à nouveau et s’élance dans le vent :

Sourire.
Il court.

Invité

Il se releva, et porta un sourire qui ne semblait jamais vouloir s'effacer. Pas même alors qu'il déposait ses lèvres douces sur les miennes. Le mien ne me quitta pas non plus, comme gravé sur mes lèvres. En y pensant je me rappelle que ce fameux sourire avant Krogan n'était pas souvent apparut à mes lèvres. Souvent une demi-esquisse, un amusement à peine mit à découvert ou bien une légère satisfaction. Rien de plus, du moins depuis que j'avais fais marche seule, c'est-à-dire depuis que j'avais quitter mon foyer. Après tout à mes débuts dans mon premier village puis ce dernier tout n'avait été que méfiance pour mon cas et curiosité mêlée de crainte de l'autre. Un peu comme des animaux qui s'observent sans s'apprivoiser l'un l'autre. Pourtant j'ai bien finis par y faire ma place même si cela n'a pas été facile, je me suis fais respectée en fin de compte. Je croix même bien dire si je disais que mon absence fera un sentiment de vide. Mais tant pis, après tout je savais très bien que je n'y resterais pas indéfiniment.

Le visage de Krogan si proche du mien dégageait des senteurs boisées. C'était des senteurs agréables, je ne les avais pas remarquées avant. Elles me rappelaient mon enfance. Pas bien grand chose mais il me vint à l'esprit quelques souvenirs lointains, où je me réfugiais dans les bois après quelque dispute. Déjà jeune je pensais différemment des autres et je l'affichais peu être un peu trop. En tout cas le résultat était que j'avais passer le plus clair de mon temps dans les bois, car je m'y sentais bien et ils éveillaient ma curiosité par ses multiples senteurs, son paysage insolite et appelant le calme et la sérénité. J'affectionnais cela particulièrement.

Je revins au moment présent, abandonnant mes souvenirs. Je me focalisais à nouveau sur l'elfe, mon sourire ne m'ayant pas quittée. Une fraction de secondes il sembla hésitant, puis il m'embrassa une seconde fois avant de se remettre à courir. J'étais particulièrement touchée par ses petites attentions et je trouvais que sa petite hésitation était assez adorable, elle m'amusai légèrement. Si j'avais put penser que je pourrais m'attacher autant, à ce point, à quelqu'un je ne me serais pas cru. Et pourtant...

- Ah que vous seriez déçus de moi si vous saviez qu'il n'a rien d'un ange

Je ris, ça m'étais bien égal.

Déployant mes ailes immenses, je décollai du sol.
Le temps retrouva sa futilité, c'était la dernière ligne droite.

Un vol.

Dans sa course effrénée renais la rage du monde,
Ses mains ressente le sang encore quelques secondes,
Il oublie tout du rêve, celle qui le suit trop loin,
Celle qui peut le ramener si elle reprend ses soins.

Il court tout simplement vers les hommes et leurs rages,
Il court dans le silence, vole et redevient sage,
Car comme toujours ses pas semblent n’effleurés que vent,
Car le sol si dur semble n’avoir de prise sur cet être, son temps.

Il court sans y prendre gout, il court dans son esprit,
Il court jusqu’à son âme, à l’extérieur sourit,
Il court et ferme ses yeux qu’ils redeviennent normaux,
Il court et ralentit car vient le temps des maux.

Dans les yeux du bel ange on aperçoit des mures,
Les rempares infini se dressent devant eux, sur.
Il marche, il l’attend ou attend qu’elle rejoigne,
Leurs course fut rapide et les étoiles témoignent,
Invisibles.

Fentaéris.

Sur son dos vient sa cape, il marche calmement,
Elle le protège vraiment laissant visage au vent,
Ses cheveux en silence recachent ses oreilles,
Qui dans le course folle ont revu le soleil,
Il est homme.

-˝Ainsi rentre deux être dans la citer de rage,
La où attend la nuit, là ou sommeil le sage.
Une carte comme la tienne en les mains de leur roi,
Un pouvoir plus puissant qui affronte leurs lois…

Allons-y, je vais te présenter un Aras magnus.˝
Il sourit.

Spoiler:

Pour la qualité et la longueur de votre romantique rp, je vous décerne à tout deux 1 niveau ! Smile

Vous passez donc niveau 2. Félicitations. Lorsque chante le silence. - Page 3 Icon_cheers

» Quel type d'animation trouver pour une soirée lorsque votre plan gît dans une mare de son propre sang ?