L'homme de fer

Finalement on s’est retrouvé à 7 sur la herse, trois mercenaires, le colosse en armure et nous trois. On a essayé de toutes nos forces mais ça n’a pas suffi. La herse n’a pas bougée.
Et maintenant ?
Je me retourne, et vois l’un des mercenaires avec un sourire sarcastique. Je dirais que c’était l’un des plus méfiant à notre arrivée. Ce type n’a pas l’air pressé de nous aider, mais bon, on fera avec.
Cette herse est étrange, en l’examinant je constate une chose étrange, aucun rail pour faire coulisser la herse, ni vers le haut, ni dans aucune autre direction.
Le colosse propose soit d’attendre que quelqu’un nous ouvre, soit de faire le tour de la ville pour voir s’il n’y à pas d’autres entrées. Je crois que se colosse n’est ni futé ni débrouillard.

La herse n’est pas faite pour être déplacé, ou du moins je n’ai rien vu qui puisse lui permettre de bouger. Cela dit, c’est l’arrivée d’une route menant à la ville donc elle doit pouvoir s’ouvrir. Le mécanisme est juste extrêmement bien caché et doit posséder une sorte de contrôle pour être ouvert depuis l’intérieur. Je pense que toutes les autres portes de la ville sont fermées de la même manière, donc on ne pourra pas plus entrer là-bas.
Pour ce qui est d’attendre, s’il y avait des gardes ils nous auraient déjà parlé, et il semble que la ville est des problèmes donc nous risquons d’attendre longtemps avant que quelqu’un revienne.
Vu de loin, c’est la ville qui est partiellement en ruine, mais les remparts ne présentent aucune marque de siège, donc ils sont sûrement tous intactes.
Finalement à nous trois, nous avons balayer toutes les idées du colosse.
J’ai peut-être une idée, et si nous escaladions les remparts pour aller ouvrir la porte ?
Les escalader ? Sa prendrait trop de temps. Il n'y a aucune prise sur ce mur.

Mais l’idée est intéressante. Tout de fois comment monter sur le rempart. Je regarde la caravane pour trouver une idée, on pourrait scier un ou deux chariots pour en faire une échelle, mais je doute que les marchands acceptent. Puis mon regard s’arrête, sur le colosse en armure et sur les rouages extérieurs de son armure.
Dis moi, pense tu que tu pourrais nous lancer mes compagnons et moi sur le mur, de la, on devrait pouvoir trouver la commande d’ouverture de la porte et vous ouvrir.
Ça devrait marcher, et puis si on ne trouve pas la commande, et bien, nous serons à l’intérieur, on trouvera bien quelqu’un pour leur ouvrir, sinon, hé bien ils attendront.

Invité

Les solutions affluèrent mais elle avaient tous leur lot de problème jusqu'à ce que un des nains eu une idée assez farfelue.

- Dis moi, pense tu que tu pourrais nous lancer mes compagnons et moi sur le mur, de la, on devrait pouvoir trouver la commande d’ouverture de la porte et vous ouvrir. Demanda le Nain au Golem.

Brimstone évalua la hauteur du mur. En réfléchissant il était fort possible qu'il puisse réussir son lancer. Bien entendu il y avait le facteur risque. Un lancer trop court et le Nain s'écrase contre le mur d'enceinte comme une M*rde. Trop long et le Nain s'écrase de l'autre coté du mur d'enceinte.

En plus de ce là il y avait le coté arnaqueur du Nain qui ne plus pas des masse au Golem. Il voulais être envoyer lui et ses compagnons. Brimstone avait beau être un peu mou et manquait parfois d'imagination mais n'était pas totalement un abrutis finis.

Regardant à nouveau le mur d'enceinte, une idée germa dans son esprit.

HUM ! JE VEUT BIEN ENVOYER UN DES VOTRE AFIN QUE VOUS PUISSIEZ NOUS AIDER. JE PENSE QUE L'UN D'ENTRE VOUS PEU PARFAITEMENT REMPLIR CETTE MISSION MAIS AU CAS OU IL NE TROUVERAIT PAS LE DISPOSITIF PEUT IL NOUS FAIRE DESCENDRE UNE CORDE POUR QUE NOUS PUISSIONS GRIMPER ET IL Y AS QUELQU'UN ICI QU'IL Y EN AS UNE ? Demanda t'il.

Nahal et Orghan … Comment les décrire mieux que deux êtres totalement à coter de ce monde de sang et de rage qui semblaient trottiné comme un fait un footing par un vert matin d’été dans les bois aux senteur océanes alors que le vent de l’est se lève sur les forêts d’Athées ramenant avec elle les douces odeurs de l’écume et de la mer, belle et douce à en sacrifier sa fille pour la sentir encore une fois. Pourtant à cet instant il n’y avait rien de tout cela et c’est un escargot grisâtre à la maison bois et blanc posé sur son dos qui sort de la fumée à l’odeur de mort qu’est charrier hors de la ville. L’escargot fait largement ses trois mètres de haut et ses cornes comme ses épaules n’hésitent pas à atteindre les deux de large, même pour un minotaure escargot il semble énorme et ses yeux bleus détonnent montrant une vraie intelligence bien supérieure à n’importe quelle être de sa race. Mais il est là et à ces coter un être à la capuche rabattue sur les yeux cours sans faire un seul bruit de pas comme si aucune branche ne pouvais craquer ou qu’il ne touchait pas le sol de ses bottes de cuire à peine usé par sa condition de voyageur. Dans une grande cape grise et d’habit marron et vert il s’accordait parfaitement avec l’escargot … et souriait à n’en plus finir.

Ils s’approchaient donc sans rien demander de la porte et le simple regard que les hommes posaient sur le groupe de mercenaire pouvais les dissuadé d’attaquer, en faite ses hommes voulaient simplement entrer et il aurait été stupide de s’en faire des ennemis alors qu’il rayonnait d’une aura plus qu’étonnante et d’une sureté hors du commun. Il y avait un temps pour tout et le temps pour mourir n’était pas venu alors pourquoi s’attaquer à des êtres qui semble ne pas pouvoir être atteint par celle-ci et rentre de week-end à la place en trottinant gaiment. Puis Nahal pose sa main sur le bord du mécanisme et commence à parler à Orghan comme si personne d’autre n’était là. Sa voix est claire comme celle d’un barde et semble joyeuse, il aurait put annoncer la mort de votre mère avec ce même sourire sans que cela soit vraiment plus choquant que cela … Ou peux être l’avait-il déjà fait :

-˝Le voyage à été tranquille jusqu’à maintenant mais les ennuis commence mon ami … Gamine la porte a été souder par la magie changiste dans le but que personne ne rentre, nous allons atteindre un territoire dangereux alors cramponne toi bien à ta maison car cela risque de secouer quelque peux vois-tu … Si il ne faut pas tuer tout les méchants il faut toujours penser à en réduire le nombre sinon l’on rencontre trop de gentil et on ne peux pas raconter des histoires tranquillement à une petite demoiselle … Ceci dit le faite que nous ayons vue une taupe violette nous aidera peux être non ?˝

Puis il se retourne vers les hommes et les nains et un grand sourire graver ses lèvres qui semblent ne vouloir s’en défaire dans cette situation quelque peux critique il déclare :

˝Messieurs, il y a surement des magiciens parmi vous ? L’un de vous aurait-il du feu pour affaiblir cette grillounette qu’un bonne frappe bien sentie nous permette d’entré car ce n’est pas tout mais je n’ai pas le temps de tergiverser devant une porte fermer donc j’ai bien l’intention d’entré même si il faut défaire les pierres de taille à laquelle elle est souder … Ceci dit avec l’aide des maitres nains la deuxième solution bien plus longue devrait être faisable … Alors ? Du feu ?˝

Il sourit en sortant une pipe qu’il bourre de tabacs et montre la porte aux hommes qui sont présent comme si il était un peux presser par le temps et que le faite que cette porte soit toujours fermer quand il arrive l’embêtait un tantinet.

Le colosse ne veut pas nous envoyer tous les quatre sur le mur. Je vois que la confiance règne.
Je n’ai pas le temps de lui explique que c’est plus rapide à plusieurs que deux nouveaux personnages s’approchent de nous. L’un d’eux est un elfe, l’autre, est plus surprenant, on dirait un minotaure portant une sorte de maison sur le dos. Les deux personnages passe devant nous pour aller voir la porte. Puis l’elfe s’adresse au minotaure et à une troisième personne qu’il nomme Gamine et doit être dans la maison sur le dos du minotaure. C’est vraiment un groupe étrange.
L’elfe s’adresse finalement à nous, il cherche un sorcier du feu, et quelqu’un capable de frapper bien fort sur la herse. C’est quoi cette demande ?
Je croise le regard de mes trois compagnons, eux aussi ne comprennent pas la manœuvre. Les mercenaires de la caravane se regardent entre eux.
Soudain c’est l’illumination. Mais bien sur, la herse est soudée sur les pierres et plutôt que de s’attaquer à ce problème, l’elfe veux détruire la grille en l’attaquant par l’une de ses principales faiblesses, la chaleur. Il ne cherche pas vraiment un magicien du feu, ce qu’il veut c’est quelqu’un capable de provoquer une très forte chaleur pour ramollir le métal de la herse, c’est plutôt malin comme plan. Mes années passées à la forge vont peut-être s’avérer utile.

Vous êtes surprenant messire elfe ! C’est une très bonne idée de s’attaquer à la herse plutôt qu’au problème de soudure dans la pierre. Hé les gars notre ami l’elfe à besoin de quelqu’un capable de provoquer une très forte chaleur sur les morceaux de la herse relier à la pierre. La chaleur peut être provoquée par le feu ou non. Le but de ramollir ces barres pour qu’on puisse les casser et entrer.

Effectivement ça devrait marcher, et se sera moins dangereux que de jouer au nain volant, surtout quand le lanceur n’inspire pas confiance.

Étrange équipage qui arrivait là. Si étrange que les mercenaires ne surent pas vraiment quoi faire. Un elfe et un minotaure. Voir un elfe était une chose rare pour ces mercenaires suménïens, beaucoup plus que de voir un minotaure. Mais voir un minotaure trottiner aux côtés d'un elfe qui n'allait manifestement pas lui servir de repas, c'était réellement impressionnant. Et ce minotaure avait quelque chose de différent. Quelque chose d'intelligent et civilisé dans le regard qui n'existe pas chez les siens. Les mercenaires laissent passer les deux camarades, comme si ils n'avaient pas tout à fait le choix, ce qui était probablement le cas et observèrent l'elfe qui parlait de chauffer cette herse. Mais ces paroles et celles, tout à fait joyeuses du nain provoquèrent un rire quelque peu sarcastique de la part du ronin de hù-béï.

- Ouais ! Excellente idée, y à plus qu'à espérer que l'haleine enflammée de Brim soit suffisante. Mais si j'étais toi grandes-oreilles, je compterais pas sur les nabots. Des gars qui proposent de ce faire lancer par-dessus quinze mètres de pierre et qui change d'avis à chaque nouvelle idée, je suis pas sûr qu'ils soient capable d'autre chose que d'idées suicidaires. Après, avec le minotaure qui t'accompagne et notre ami en armure, est-ce qu'on à vraiment besoin de feu ? Parce que moi je dis ça mais des fois que les tireurs embusqués dans la ville ne nous auraient pas encore remarqué, si des flammes s'élèvent de la porte, on pourra être sûr que ce sera fait.

Le ronin se détourne ensuite du petit groupe et d'un bond saute sur la charrette où s'entassaient les caisses de marchandises et s'assoit au sommet. A sa ceinture il prends une outre en cuir dont il retire un bouchon. Dans ce bouchon, il verse un peu du contenu de son outre et le lève tout en regardant l'elfe nouveau arrivé. Il boit ensuite d'une traite le contenu. Ce serait maintenant aux autres de décider ce qu'ils souhaitaient faire mais malgré son manque de politesse, Ketakyo n'avait pas nécessairement tort. Après il était peut-être aussi le seul à ne pas vraiment s'intéresser à une question qui méritait d'être posée, ce que fit Tradeus.

- Excusez moi mais qui diable êtes vous ? dit-il l'air légèrement irrité. D'abords des nains, puis un elfe et un minotaure, je veux bien que ce pays soit celui de la diversité mais autant de monde à une seule porte, je crois qu'on se moque de nous. Et puis, quelqu'un aurait-il l'amabilité de se présenter avant de jeter ses idées ? C'est peut-être la guerre de l'autre côté mais pour ma part je pense que ça ne nous empêche pas d'êtres civilisé !

Tradeus n'avait pas l'air très satisfait de la tournure que prenait les évènements. Après tout il n'était qu'un simple marchand et se retrouvait avec toutes ces personnes inconnues aux idées incongrues qui discutaient de rentrer dans un territoire en guerre comme d'une simple formalité. Lui était habitué à faire du négoce et même si il avait choisit d'aller aidé son pays, il n'avait franchement pas l'habitude de voir les choses tourner d'une façon aussi étrange. Après tout dans le commerce on ne lui parlait pas de magiciens, de minotaure ou de tireurs embusqués.

Invité

De nouveaux personnages firent leur apparitions, assez inquiétant ceux là. Le premier était un Elfe par contre le deuxième était un Minotaure et il soulevait une maison comme si elle ne pesait rien. Via sa vision différente le Golem reperra une troisième personnes vivant à l'intérieur de la maison.

Cette nouvelle arrivée rendit mercenaires et marchands encore plus nerveux tandis que l'Elfe se mis à parler pour énoncer une solution. En gros il fallait utiliser le feu pour pouvoir fragiliser les barreaux qui se trouvait être souder par précaution afin d'empêcher de l'ouvrir.

Le chef des nains fut assez enthousiastes par cette idée.

- Vous êtes surprenant messire elfe ! C’est une très bonne idée de s’attaquer à la herse plutôt qu’au problème de soudure dans la pierre. Hé les gars notre ami l’elfe à besoin de quelqu’un capable de provoquer une très forte chaleur sur les morceaux de la herse relier à la pierre. La chaleur peut être provoquée par le feu ou non. Le but de ramollir ces barres pour qu’on puisse les casser et entrer.

Naturellement personne parmi les mercenaires et les marchands n'était sorcier par contre la majorité des regards des mercenaires convergeaient principalement sur le Golem. Quoi de plus normal quand on as vu Brimstone cramer un Arborel.

Brimstone soupira son souffle enflammé n'était pas inépuisable et avait besoin d'être rechargé.

- JE PENSE POUVOIR VOUS AIDER MAIS JE VOUDRAIT UN TONELET D'HUILE A BRULER EN ECHANGE. Demanda t'il.

Ce fut à ce moment là que Ketakyo mis son grain de sel et proposa l'idée de défoncer simplement la grille avec la force du Golem et du Minotaure réunis ce qui acheva d'embrouiller tout le monde qui déjà n'arrivait pas à se mètre d'accord sur les idées pour entrer.

Tradeus eu grand mal à ce faire entendre mais quand le calme revins il demanda qui était ses nouveaux venus. C'est vrais que ses derniers ne c'étaient pas présentés dans la confusion et tout les regards convergeait vers les derniers venus.

Grandes oreilles ? C’était donc si visible que cela même avec sa capuche à travers laquelle on ne voyait que ses yeux sourirent et sa bouche vibré au son de ses paroles ? Surement que le nain avait du avouer la supériorité de l’elfe face à son absence de bruit tout en ignorant que cela n’avait rien à voir avec la race mais avec l’habitude et son ancien travail. Il se retourna donc vers le marchant en hottant sa capuche laissant ainsi ses long cheveux retombé dans son dos et son visage très fin être vraiment dévoilé par le ciel plus que par de simples ombres … Il souriait encore et toujours.

-˝Je suis Nahal et voici Orghan, nous somme mercenaire et j’ai pour mission de rentré dans cette belle citée dont l’odeur me rappelle de nombreuses choses pour mener notre belle princesse à son futur capitaine et retrouver le roi car sinon le jeu n’en vaut pas la chandelle. C’est donc avec grande joie que je trouve la chandelle en train de brulé déjà et peux être même de se consumer … Il en vient donc un fait : Je dois rentrer ici et le plus vite possible. Non pour une histoire de payement mais pour une histoire de vie ou de mort et cela je ne peux me le permettre.
Quand à toi l’ami, je ne vais pas te raconter de belles histoires, ce qui est bien dommage mais le temps ne s’achète pas à tout le monde et tu ne peux pas m’en vendre. Simplement que si la porte est explosé elle fera bien plus de bruit que si nous l’affaiblissons avant de la prendre. Je préfère donc laisser à deux sens la possibilité de nous voir que donner à tous l’obligation de nous entendre.˝

Il se retourne enfin à nouveau vers ses deux amis et reprend la parole alors que l’escargot commence à s’exécuter sans même déposer la maison.

˝Tu m’empoigne cette porte et tu la fait bouger pendant que notre grand homme de fer s’amuse avec le feu et nous la fait faiblir. Tu pourras sentir la point de rupture sans souci et nous l’ouvrir en grand ainsi … Ca permettra à ses messieurs d’arrêter de perdre du temps et à nous de ne pas faire la même chose qu’eux.˝

Son sourire s’élargie encore puis il pose lui aussi la main sur la porte, comme pour aider Orghan de sa force d’elfe mais les plus aguerries des combattent remarquerons aussi que la contrainte se joue sous la main du frêle elfe … La porte cèdera alors qu’il observe les alentour pour pouvoir un éventuel chasseur qu’il aurait à faire devenir proie …

Le colosse en armure répond à l elfe qu’il peut faire du feu. C’est quoi ce truc ? Je n’ai jamais vu une armure capable de générer du feu, et même une armure magique ne fait pas ça, quoi que…

Le truc en armure, se met donc à chauffer la herse, aux extrémités fichées dans la pierre. Lorsque l’elfe estime que c’est bon, il demande au minotaure d’ouvrir la herse et pose lui même la mains sur la herse. Mais il ne semble pas pousser sur la herse pour autant. Il forment une drôle d’équipée ceux là, un minotaure avec un elfe et portant une sorte de cabane sur le dos où semble se trouver une troisième personne.

C’est une étrange scène qui se joue là devant moi un minotaure qui pousse une herse qu’un turc ressemblant à une armure pour un colosse vient de faire chauffer par endroit et un elfe qui pose tranquillement la mains sur cette même herse. Mais vu son assurance, je me doute que l’elfe fait quelque chose de plus, je pense que ce doit être une magicien, mais je n’ai aucune preuve pour le moment.

À supposer que ce n’est pas une armure magique pour colosse, cette chose est bien étrange, on dirait une sorte de machine de combat. Ce qui expliquerait tout ces rouages présent sur l’armure est qui semblent lui permettre de bouger. Et si j’en faisait une pour un nain, a quoi elle ressemblerait ? Voyons voir, il faudrait un siège pour le nain avec des leviers et des pédales. Derrière lui il y aurait la chaudière pour générer de la vapeur. Avec un blindage, sa devrait faire quatre mètre de large, trois de haut, et deux de long. Ensuite pour le jambes, il faudrait qu’elles puissent porter tout sa, donc probablement un mètre et demis de haut et bien quatre-vingt centimètres d’épaisseur. Si je pouvais trouver comment faire les articulations de jambes et des pieds, qui devraient avoir environs un mètre de long et soixante centimètres de larges pour pouvoir maintenir l’équilibre de l’ensemble même en cas de frappe directe par un minotaure. Et enfin pour l’armement, l’idéal serait que je puisse me procurer de quoi refaire les armes à feux de l’ancien temps. Je pense qu’on pourrait utiliser quatre canons de douze centimètres de diamètres située à la place des avant bras, et avec un chargeur intégrer, utiliser le haut des bras comme réserve. Finalement on pourrait graver une grosse rune anti-magie et ce serait parfait. Apres sur un champ de bataille cette armure de combat arriverait et on crierait tous bien fort:
« Thor est là » ……
bon ba ya plus qu’à. Je pense que si j’avait tous ce qu’il faut il y en aurait pour peut-être cent années de travail. Mais vu que j’ai pas tout, il faudrait certainement bien plus de temps.

Pendant ce temps, la porte à cédée ! l’elfe c’est avancé pour regarder qu’il n’y avait pas de danger, ceux qui on soudé la portent ne devaient pas s’attendre à ce qu’elle soit ouverte. Puis toute la caravane c’est avancée dans la ville.

Heu Grimgor, on ne les accompagnes pas ? …….. Grimgor ? .......... HO GRIMGOR !
Quoi ? Qui ? Où ?
C’est pas vrais t’était encore en trains de réver ? C’est quoi cette fois ? Un bateau en métal, une machine volante ?
Non, un THOR !
Un quoi?
Un THOR ! .... Je vous expliquerais plus tard, suivons la caravane, il faut qu’on trouve un bateau pour traverser le détroit d’Izilia. Peut-être que tradeus pourra nous aider.
Bon suivons les, la citée ne me semble pas sure et la traverser à quatre me parait risquer, et l’elfe à parler de changistes, je n’ai jamais apprécié c’est crétin de fanatiques qui veulent te tuer si tu nepartage pas leur croyance. Cela dis les Originels ne sont pas plus tolérant. Et bizarrement cette engeance sa se balade toujours en bande. Nous serons plus en sécurité avec la caravane, l’espèce d’armure géante pourrait suffire à dissuader la plus part d’attaquer.

Tradeus marmonna un peu dans sa barbe qu'il n'avait pas, les noms de l'elfe et du minotaure et aussi une histoire de joyaux et de chandelles. Il finit par se tourner vers Brimstone, le regarder l'espace d'une seconde. Puis il se détourne des autres et rentre dans sa carriole, écartant la tenture. Pendant quelque instants les bruits de quelqu'un qui fouille dans une caisse se fait entendre. Mais la fouille semble un peu rapide et peu méthodique, plusieurs objets s'échappe même de la carriole pour choir sur le sol devant la herse, entre autre un coffret de bois vide, quelques vélins et ce qui ressemblait à une sorte d'arrosoir. Bientôt il ressort avec quelques outres qui à leurs ventre arrondit indiquait qu'elles étaient pleines. Les tenant par une lanière de cuir, il les tends devant lui en direction du mercenaire colossal.

- Tenez Brimstone. C'est de l'huile de Hù-Béï et sa vaut une petite fortune. Vous avez de la chance que je vous paye en eau sinon ça aurait été prit sur votre paye et je crois que vous n'auriez plus rien eût. Je ne sais pas si une huile de bonne qualité vous aidera mais il n'y à pas mieux sur le marché actuellement alors faites-en bonne usage et faites nous rentrer dans ce damné Joyaux.

L'huile que Tradeus donnait à Brimstone était effectivement de très bonne qualité, bien meilleure que tout ce que le golem avait pût "goûter" auparavant et laisserai suffisamment d'huile à Brimstone pour affaiblir les barreaux et éventuellement user d'un autre souffle une fois en ville. Pendant ce temps les autres mercenaires de la caravane avaient décidé que de toute façon toutes ses personnes étaient bien étranges et qu'ils allaient faire ce pour quoi ils avaient été payés, protéger la caravane. Ils observaient donc les environs et se tenaient prêt à repousser toute attaque. Mais aucune attaque ne vînt. Peut-être était-ce justement dû à leurs vigilance ? Ketakyo lui en tout cas n'était pas spécialement vigilant et il avait déjà vidé trois autres coupes du breuvage manifestement alcoolisé dont il s'abreuvait depuis plus ou moins l'arrivé de l'elfe et du minotaure. Maintenant c'était à eux d'agir, simple marchands et simples mercenaires ne pouvaient pas grand chose contre ce que la magie changeante avait créée contrairement à eux manifestement.

Invité

Tradeus resta sceptique à l'histoire de l'Elfe et fallait dire que Brimstone l'était aussi. A la requette du Golem le marchand encore en proie de réflexions farfouilla dans sa carriole et en retira plusieurs outres qu'il tendit à Brimstone.

- Tenez Brimstone. C'est de l'huile de Hù-Béï et sa vaut une petite fortune. Vous avez de la chance que je vous paye en eau sinon ça aurait été prit sur votre paye et je crois que vous n'auriez plus rien eût. Je ne sais pas si une huile de bonne qualité vous aidera mais il n'y à pas mieux sur le marché actuellement alors faites-en bonne usage et faites nous rentrer dans ce damné Joyaux. Dit assez sérieusement.

Brimstone hocha la tête, Remercia Tradeus avec une certaine reconnaissance et ce mis au travail.

Après avoir mis sa tête en mode crache feu Brimstone ouvris les mâchoire ou une sorte de grosse seringue jaillis et éventra les outre une par une pour aspirer ensuite tout son contenus. Tradeus avait raison sur la qualité de huile. Quand Brimstone claqua des dents pour allumer le feu l'huile brûla assez facilement.

Avisant les parties les plus faibles de la herse Brimstone les brula assez facilement faisant noircir le métal et ramollissant la structure métallique. Une fois cela fait Brimstone avec l'aide du Minotaure tira et poussa la herse qui bien que soudé finis par céder dans un terrible grincement.

Après avoir agrandit le passage pour laisser passer les carrioles, Brimstone entra dans la place forte en premier et s'assura que tout le convois passe sans problème.

Maintenant ils étaient à l'interieur de la place forte mais cela ne signifait pas que tout le groupe étaient à l'abrit pour autant. Un silence de mort planait dans les rues de la citée mais Brimstone avait la désagréable impression d'être observé. En fait c'était plus une certitude qu'une impression

- ON FAIT QUOIS MAINTENANT CHEF ? VOUS CONNAISSEZ UN ENDROIT OU NOUS POURIONS ÊTRE A L'ABRIS AFIN QUE NOUS PUISSIONS ÊTRE AVISES DE LA SITUATION DE LA CITEE ET AGIR EN CONSEQUENCE ? Demanda le Golem au chef des marchands.

Le sourire de Nahal qui s’incline en faisant signe aux jeunes de rentrer dans la place forte que certain on ouvert. Sa capuche retombe sur son visage et ses long cheveux dégringole lentement le long de ses coter alors qu’il fait le signe mondialement reconnu du portier qui tient la lourde pierre à une frêle demoiselle pour qu’elle n’a pas à montrer ce qu’elle n’est pas capable de faire. Il sourit toujours comme si son geste n’avait pas toute ses significations mais qui serais rentré dans la ville ?

Puis il se relève aussi lentement et fait signe à Orghan de le suivre. Lui n’empruntera surement pas le même chemin qu’eux. Un chemin qui mène au port, un chemin qui serpente et se perd, un chemin qui n’empreinte que les rêves alors que les calèches ne peuvent les suivre dans les ruelles étroites que seul un minotaure pourrais passer. Les chemins qu’il surveillera dans le silence que seul lui connais encore, une ombre parmi les ombres alors qu’Orghan portera la petite fille contre son dos dans sa maison.

La petite demoiselle … Qu’a-t-elle fait tout ce temps … Elle qui partira bientôt sur la mer rejoindre celui qui sera son capitaine. Il est encore là, il le sait … Il est temps.

Il court et sourit. Nahal. Un murmure entre les ombres.

-˝Tu te sens prêt petite demoiselle ?˝

D'abord la fumée. Elle recouvrait la lande des effluves de quelque brasier. Puis le vacarme : des cris et des explosions qui résonnaient au loin. A mesure que nous approchions d'Athée, les signes évidents de combats armés à l'intérieur même des murs d'Athée parvenaient jusqu'à moi. Tapie au fond de ma cabane improvisée, je me suis blotti contre Deus pour lutter face à cette angoisse qui s'emparait déjà de moi.

Combien de temps s'est écoulé depuis ? Je ne saurais le dire, mais ce profond sentiment de malaise est encore là. Pire, il se renforce seconde après seconde. Je ne comprends pas. Nahal et Orghan peuvent me protéger de n'importe quel assaillant, alors pourquoi ai-je si peur ? Il y a autre chose. Il y a forcément autre ch-

On s'arrête.

Sommes-nous arrivés ? Je n'ose pas passer la tête hors de la cabane. J'entends des brides de conversation. Apparemment une porte nous barre la route. Une porte ?? Mais enfin, comment une porte pourrait-elle arrêter Orghan ?! Tout cela n'a pas de sens. Ou peut être que si, encore une fois j'essaie de refuser l'évidence même : de la MAGIE.

Je sens la bile me remonter jusque dans la bouche. Je la ravale pour ne pas salir mon abris. Je sens alors Deus me caresser la main gauche de son museau : il a dû sentir mon anxiété ; il faut dire que je tremble comme une feuille. Mon esprit déambule d'une sombre pensée à une autre. Encore une fois je perds toute notion du temps.

-˝Tu te sens prêt petite demoiselle ?˝

La question de Nahal m'éveille de mes tourments. Ce rappel à la réalité ne suffit cependant pas à me calmer. Je me contente de répondre en criant :

- Oui... Enfin je crois... Pas du tout en fait ...

La porte à cédée ! Ou plutôt la herse, y avait pas de porte. La caravane entre peu après l’elfe et le minotaure partent dans les ruelles de la ville, où la caravane ne peu pas les suivre. Nous, faut qu’on trouve un navire. Mais restons prudent c’est le merdier visiblement dans cette ville. Bon Tradeus doit sûrement connaître des marins qui pourraient nous emmener à Thalùn. Bon on vas se rendre au centre de commerce de cette ville, c’est là que nous pourrons trouver un marchant allant à Thalùn, sinon on ira directement voire au port.

Tradeus je suppose que vous vous rendez au concile des marchants, nous allons aussi là-bas, cheminons donc ensemble, en cas de problème, l’union fait la force. Mais plus important, je pense que nous devrions tous partir de là au plus vite, l’ouverture de la herse sera certainement vite découverte.

Bon une fois au concile, on improvisera en fonction des problèmes de la citée, mais il est fort probable que nous soyons obliger d’attendre la fin des troubles pour pouvoir continuer le voyage vers Thalùn. Et si on doit attendre, autant les aider, sa fera passer le temps.

Allons-y les gars ! Et ouvrez les yeux on ne sait pas ce qui nous attend dans la ville.

Il ne reste plus qu’à voir si les marchants nous suivent. Se serait pratique je sais pas où il est ce fichu concile moi. Bon cette rue est suffisamment grande pour faire passer des caravanes marchandes, la direction doit être la bonne, je suis presque sur que le concile se trouve là où converge les principales rue venant des portes. Enfin moi c’est comme ça que je construirai une ville.

Tradeus restât un instant figé alors que Nahal parlait à la maison de poupée sur le dos du minotaure. Même si il n'avait entendu qu'un Oui crié s'en échappé car il était trop loin pour entendre le reste des paroles, murmure d'une fillette de neuf ans. Mais pendant un instant, il restât interloqué, regardant autour de lui si d'autres personnes était troublé. Et manifestement non puisque le nain se proposait sans plus tarder de rentrer dans la ville. Il soupira d'exaspération avant de se rassoir à la place qu'il occupait à côté du conducteur de son chariot en murmurant quelque chose à propos de toutes ces personnes qui ne se rendaient pas compte des choses insensées qui se passaient autour d'eux comme le fait que depuis tout ce temps une petite fille se trouvait dans cette maison de poupée et que personne n'avait eût la bonne idée de le dire. Ce n'est pas comme si c'était difficile bon sang de bois. On arrive on dit bonjour, on se présente et on signale que le minotaure qui nous accompagne porte une maison en bois sur le dos car il y transporte une fillette. Où était le problème de dire les choses telles qu'elles étaient au lieu d 'attendre qu'elles se révèlent les unes après les autres ? Puis après être resté un instant à contempler l'ouverture faite dans la herse, il répondit à Brimstone :

- Un abri ici ? Le palais présidentiel me semble tout indiqué. Ça ou la tour des Trois fondateurs. Le concile des marchands, je ne vois pas ce que nous irions y faire. Ce n'est qu'un lieu politique, au mieux nous y trouverons des personnes qui s'y sont réfugiées mais je doute qu'il y ait là-bas quoi que ce soit d'utile. Mais si des religieux s'attaquent à cette ville il faut s'attendre à ce qu'ils tiennent un siège à ces deux endroits, ils font partit des points les plus importants de la cité. Mais si vous avez d'autres idées je vous écoute même si nous ne pouvons pas rester ici. Maintenant que la porte est ouverte, je suppose qu'il faudra peu de temps pour que quelqu'un vienne ici et tombe sur les intrus qui essaieront de rentrer dans une zone de guerre et je doute que ce soit mes fournisseurs en poteries.

Tradeus retourna dans sa caravane et après quelque seconde, il en ressortit avec un sac bien fournit et qui transportait manifestement des choses plus que superflues dans l'art de la guerre ou même de la survie mais on ne change pas un marchand Athée. Puis il rentra dans la cité à la suite des nains alors que les mercenaires se repartissaient autour de lui pour assurer la relative protection qu'une demi-douzaine d'homme pouvaient assurer. Ketakyo quant à lui sauta à la suite de Tradeus. Si sa réception fût un brin chancelante, il marcha à la suite de son patron sans que ses pas ne dévient d'une ligne droite très exacte. Il ne restait plus que Brimstone qui allait surement faire de même, choisir une autre option maintenant que la herse était ouverte, cela aurait été étrange de ce donner autant de mal et de renoncer maintenant.

Invité

Le Golem regarda passer les chariots et ses curieux individus transportant leur maison. Ses derniers prirent une direction différente tandis que le convois continuait tout droit dans la grand rue.

Une fois que tout le monde fut passé Brimstone rejoignis l'avant du convois et pris la tête en faisant gaffe à ce qu'il y avait autour de lui. Il aimait pas l'ambiance de l'endroit et il avait la désagréable d'être épié. Ce balader en pleine zone de guerre urbaine n'était pas vraiment l'idéal et Brimstone craignait à une nouvelle embuscade bien plus difficilement gérable que l'attaque de l'Arborel. Ce qui l'inquiétait aussi c'est qu'il commençait sérieusement à manquer d'eau. Il commençait sérieusement à ralentir de rythme afin d'économiser ce qui lui restait de réserve. Si cela continuait à ce rythme d'ici une heure ou deux il n'aura plus assez de puissance motrice pour avancer et sera aussi inerte qu'une grosse statue de fer.

Il se porta au niveau de Tradeus pour lui exposer le problème.

- JE NE VAIS PAS TARDER A MANQUER D'EAU ! SI CELA CONTINUE COMME CELA JE NE SERAIS PLUS EN MESURE DE VOUS DEFENDRE. ES QUE NOTRE DESTINATION EST ELLE POURVUS D'UN PUIT OU D'UNE CITERNE AFIN QUE JE PUISSE ME RECHARGER ? Demanda t'il d'une voie caverneuse qui se voulait anxieuse.

Tradeus connaissait bien la citée. Avec un peu de chance Brimstone trouvera surement son bonheur et peu importe sa provenance ou sa qualité tant que son corps de Golem pouvait bouger.

L’elfe et le minotaure sont partis. Tradeus veut se rendre dans l’un des abris de la cité, il les nomme palais présidentiel et tour des trois fondateur. C’est lui qui connaît la cité, pour les abris je lui fait confiance, je pense qu’on pourra trouver ce qu’on cherche là bas.
La caravane se met en mouvement, Tradeus est bien un marchand, même vu l’état de la cité, il s’équipe pour vendre. Les mercenaires prennent une position défensive autour de lui. Et l’armure de combat à soif.
Ce Tradeus m’est sympathique je dois dire il reste lui même dans l’adversité. Ça j’aime !

Hé Grimgor, tu ne veux pas aller au port pour trouver un navire ?
J’ignore la question de Thoraïn étant trop occupé à observer les préparatifs de la caravane et de son chef.
Aller les gars on ouvre le chemin pour cette sympathique caravane.

Nous commençons à avancer en direction du centre de la cité, la caravane nous suit tout le monde est aux aguets l’ennemis peu nous tomber dessus à n’importe quel croisement maintenant. Cette situation tendue me plais, je sens l’excitation monter en moi.

Grimgor, là bas, à trois cent mètre, il y a des hommes dans l’ombre de la ruelle.

Ça c’est du Dwalaïn tout craché, voir aussi loin dans l’ombre, on sent son expérience de ranger, moi je ne vois rien mais je saisis mon marteau. Balaïn et Thoraïn saisissent leurs armes eux aussi.
Derrière moi des bruits d’armes qui sortent du fourreau. Les mercenaires se préparent.
Nous continuons à avancer surveillant les cotés de la rue. Pour le moment aucun changement. La tension est palpable plus qu’une centaine de mètres avant que nous n’atteignions le croisement indiquer par Dwalain.

Soudains ils sortent de la ruelle, la caravane stop net. Une trentaine d’individus se placent devant nous mais sont ils amis ou ennemis ? Seul Tradeus peut le dire.

Spoiler:

Une trentaine de personne. Le ranger les avait vu. Un œil habile pour nain diront certains. Un regard bien mal avisé pour un ranger diront la majorité. Car dans un quartier dont le Changement avait prit possession, sa porte marquée par la magie de son serviteur, il ne pouvait y avoir d'athé qui ne soit pas convertit ou mort. Alors trente personnes se plaçaient devant eux et bloquaient la rue. Mais trente autre venaient derrière, s'échappant des ruelles déjà franchies tandis que des ombres apparaissaient sur les toits et que le claquement des arbalètes que l'on charge se faisait entendre. Des dizaines de carreaux étaient prêt à les transpercés de toutes part. Regard bien mal avisé pour un ranger. Il n'avait pas sût voir ce que la magie ne dissimulait pas et ce qu'elle dissimulait restait encore à découvrir. Une si petite troupe n'avait aucun espoir de vaincre, même si ils avaient tous été d'acier comme Brimstone.

Ce dernier pourrait d'ailleurs sentir que son $être tout entier devenait incapable de bouger à mesure qu'une étrange énergie grise semblait prendre possession de ses membres tandis que à la lumière des torches de la petite compagnie de Tradeus se révélait un homme. Il portait une vaste toge grise traversée par deux lignes verticales violettes qui s'ouvrait sur son torse finement musclé révélant sa peau d'un étrange gris pâle. Son visage était de la même couleur et ses cheveux, bien que plus foncé, restaient définitivement gris. Seules notes de couleur, ses yeux d'un vert d'émeraude et le chapelet violacé autour de son cou. Il levait la main en direction de Brimstone, le maintenant immobile manifestement par le biais de sa magie. Mais sans regarder le Golem, il adressa d'abords un magnifique sourire à la troupe.

- Bonjour à vous qui rentrez dans la demeure du Changement.

Son regard vînt ensuite sur Brimstone, son sourire restant toujours aussi charmeur mais son regard devenu imprégné de curiosité.

- Mais toi tu est déjà du Changement. Tu es son essence même. Pas un organe sous cette carcasse d'acier, seulement des rouages et un peu d'eau. Qu'es-tu donc ? Un serviteur que nous envoie notre seigneur ou une autre machine des nains ? Mais peut-être te demandes-tu qui je suis pour t'interroger de la sorte ? Je suis Remoul Baltar, le serviteur du Changement en ce lieu damné et maître de ses pions. A présent réponds moi car la Tempête de l'Origine approche et notre temps est limité, je ne voudrais pas avoir à brisé ton précieux corps.

Un vent de plus en plus puissant commençait à se lever tandis qu'une fine bruine s'abattait à présent jusque sur les changeurs et la compagnie de Tradeus. Ce dernier ne disait pas mot. Il était pâle comme un linge et n'osait manifestement pas bouger. Brimstone quant à lui en serait incapable malgré tout ses efforts et après les derniers mots de Remoul, il pourrait sentir la pression de l'énergie magique de ce dernier s'accentuer sur son corps d'acier comme sur ses rouages internes.

Invité

Il faut dire que le Nain avait l'oeuil. Brimstone entendit des bruit d'arbalète tendue tandis qu'une trentaine de types armés fit irruption dans la rue. Brimstone se mis en position de combat quand soudainement il n'arriva plus à faire un seul mouvement. Ses organes se mirent aussi à déconner. Pourtant il avait encore de l'eau et ne sentait pas rouillé du tout.

Quand regarda autour de lui le Golem se rendis compte qu'il était cerné par des fluctuation de magie. Il y avait un magicien à l'œuvre et puissant car le Golem n'arrivait plus à bouger du tout. Un homme tout de gris vêtus se présenta à la troupe. C'était certainement lui le responsable de sa paralysie car il avait la main lever vers Brimstone et le Golem voyait clairement que l'éther magique qui le retenait provenait de cet homme.

Tradeus était blanc comme un linge. En fait il avait presque la couleur de l'homme gris qui se présenta sous le nom de Remoul Baltar un changeur. Après l'Arborel qui était un serviteur de l'Origine il as fallu qu'il tombe en plein dans les pattes des serviteurs du changement dont le chef se montra toutefois bien plus courtois que le colérique Arborel de tout à l'heure.

Le sorcier du changement se montra curieux. Visiblement il n'avait jamais vu un Golem pareil comme Brimstone il avait toutefois vu Dieu sait comment que Brimstone était intelligent et eu un air ravis quand il lui répondit à la surprise des types armés qui l'accompagnaient.

- MON NOM EST BRIMSTONE GRIM ET MOI ET CEUX QUI M'ACCOMPAGNE DE VOULONT EN AUCUN CAS NUIRE ! JE N'AI NI DIEU NI MAITRE MAIS JE CROIS QUE LE CHANGEMENT MA CHOISIT POUR QUE J'AILLE AU BOUT DE MA DESTINEE ! J'ETAIT HUMAIN ET JE SERAIT MORT DANS UNE FAIBLE ENVELOPE CHAIR QUE J'AI ETE APRES AVOIR ETE TRAHIS SI ON NE M'AVAIT PAS ACCORDE UNE DEUXIEME CHANCE ET UN NOUVEAU CORPS ! Dit Brimstone.

Ses paroles venaient du fond de son cœur. Bien que le golem n'était pas croyant il avait toujours penser que le destin lui avait donner une deuxième chance.

Remoul eût l'air ravi de la réponse du Golem. Il pourrait le sentir à mesure que le flux magique faiblissait. Il ne fallut qu'une seconde pour qu'il ne soit plus qu'une vague pression sur les articulations de Brimstone, rappelant sa présence continue mais permettant au golem de ce mouvoir par lui-même. Autour de la caravane, les changeurs vinrent se saisirent de leurs armes et seuls Ketakyo fit mine de résister, ne voulant pas se séparer de son katana. Mais il ne s'en fallut que d'une seconde pour que ces derniers s'envole littéralement entre les mains d'un des changeurs. Le pouvoir de Remoul n'y était pas étranger. Tout autour d'eux, la pluie semblait s'intensifier mais Remoul n'y prenait que à peine gare, un parapluie de métal né de l'épée d'un de ses hommes et qui le protégeait à présent des désagrément de l'humidité. Brimstone quant à lui pourrait presque ouvrir la bouche et regarder le ciel pendant quelques secondes pour récupérer suffisamment d'eau pour fonctionner encore un moment. Tout les autres étaient trempés et pourraient sentir le froid et le vent qui s'intensifiaient.

- Très bien, alors nous allons te donner une chance d'agir pour la bonne cause Brimstone Grim. Mais avant cela...

Remoul se tourna vers le groupe de nain et fit un signe en direction d'un groupe de changeurs.

- Emmenez les nains à mon navire. Je suis certains que le Roi Moredin sera ravi de retrouver son benjamin et je n'ai pas le temps de m'en occuper moi-même.

La douzaine hommes répondirent par un garde-à-vous rapides avant d'encadrer les nains et de les inciter à les avancer, leurs armes en mains ne laissant pas d'autre choix. Cette escouade étant dirigée par un autre homme en bure, manifestement un prêtre dont le bras droit était entièrement couvert de tissus, jusqu'à la main qui portait un gant, tandis que son bras droit était entièrement recouvert de ce qui ressemblait, d'après ce que pourraient déchiffrer les nains, des prières dédiées au Changement dans différents langages, certaines notamment avaient été faites en alphabet runique nain. Se prêtre, bien que musclé, semblait aussi avoir un ventre plutôt rebondit et ne pas être très rapide à la course au vu de sa corpulence mais son bras tatoué était comme libre de toute graisse. Les autres membres de la caravanes quant à eux, furent emmenés à l'intérieur d'une maison qui semblait se recouvrir peu à peu d'acier liquide à mesure qu'ils rentraient avec les hommes de Remoul. Ce dernier fit signe à Brismtone d'entrer dans le bâtiment, toujours avec ce sourire charmeur qui était le sien. Puis d'un mouvement du doigt il activa les rouages de Brimstone qui l'obligèrent à rentrer dans la maison.

Le bâtiment entier ressemblait en fait à un carré. Tout comme la plupart des constructions athées, elle avait été conçue de manière géométrique afin d'optimiser au maximum l'utilisation de l'espace. A l'intérieur, il y avait de nombreuses personnes, parmi lesquels les membres de la caravane dont les mercenaires se trouvaient déjà entrain d'être prit à partit par des hommes en bures. Remoul quant à lui invita Brimstone à descendre un escalier de métal qui plongeait bien en-dessous du sol Athée. En bas se trouvait ce qui ressemblait à une arène. Il y avait des gradins qui encerclaient une vaste étendue du quel au milieu de laquelle se trouvait le corps d'un homme allongé sur le ventre, en sang tandis que dans l'un des murs se trouvaient incrustées des dizaines de cages dans lesquelles se tenaient des personnes aux traits dissimulées par l'obscurité de leurs prisons. La pièce en elle-même était éclairée par des dizaines de torches, hors de portée de toute personne se trouvant dans l'arène.

Alors que Brimstone rentrait dans la cave, deux changeurs rentrèrent dans l'arène et retournèrent le cadavre, révélant son ventre grand ouvert et vide d'entrailles ainsi que son visage marqué par deux nombreuses traces de morsures qui lui avaient ôté ses joues, ses lèvres et l'un de ses yeux.

- Dis moi Brimstone Grim, es-tu prêt à accomplir la volonté de celui qui ta donné deux fois la vie, ton père à deux reprises, le Changement et mettre fin à l'existence de ceux qui ont voulut le trahir ?

Le sourire de Remoul était toujours aussi charmeur mais dans ses yeux brillait quelque chose de malsain et qui n'avait rien de commun avec la bienveillance. Mais il semblait de plus en plus évident que cet homme était loin d'être bienveillant.

Invité

Brimstone n'aimait pas la tournure que prenait la situation. Tradeus, Ketakyo et les gens du convois furent désarmé et conduit dans une espèce de prison. Les nains quand à eux furent conduit à un autre endroit en direction du port vers le navire de l'homme gris selon ses paroles.

Brimstone quand à lui fut invité ou plutôt obligé d'entrer à son tour dans la maison. Ce qui était rassurant dans son malheur c'est que l'homme gris lui avait laisser son arme et il c'était mis à pleuvoir permettant au Golem de recharger suffisamment son réservoir pour fonctionner un peu plus longtemps.

Le bâtiment auquel il était amené était pour le moins étrange. L'architecture des changeur était assez dérangeante et aurait donner mal à la tête à Brimstone si ce dernier avait été encore humain.

Au bout d'un moment Brimstone fut conduit finalement dans ce qui ressemble à une arène. Une scène macabre d'un cadavre humain méconnaissable s'offrait à lui et dans l'enceinte de l'arène Brimstone vis des silhouette de prisonniers sans arriver à les identifier.

- Dis moi Brimstone Grim, es-tu prêt à accomplir la volonté de celui qui ta donné deux fois la vie, ton père à deux reprises, le Changement et mettre fin à l'existence de ceux qui ont voulut le trahir ? Demanda l'homme gris d'un air malsain.

Visiblement c'était une mise à l'épreuve et le Golem commençait à en piger la raison. Le problème c'est que même si Brimstone avait l'aspect d'un monstre son âme était encore humaine et si cette épreuve consistait à massacrer des gens comme une vulgaire bête d'arène, ce n'était pas le genre de l'humain prisonnier de la machine. Il lui fallait toutefois trouver une réponse approprier pour ne pas froisser le sorcier.

- TOUT DEPEND EN QUOIS LA PERSONNE EST COUPABLE POUR AVOIR FROISSER LE CHANGEMENT. LE FAIT DE TUER POUR MOI EST UN ACTE REFLECHIT DANS LA VENGEANCE OU INSTINCTIF QUAND JE DOIT PRESERVER MA DEFENCE, MAIS JAMAIS GRATUIT. JE TUE EN FONCTION DE MON JUGEMENT PROPRE. DE TOUTE MANIERE UN HOMME OU TOUTES AUTRES CREATURES N'AS AUCUNES UTILITES UNE FOIS MORTE QU'ELLE SOIT CONVERTIS OU NON. Répondit le Golem dans un trait d'esprit.

Remoul regarda un instant Brimstone avec ce sourire charmeur et cet étrange regard. Puis d'un mouvement de la main, il éleva du sol, une table et une chaise de métal. Le sol autour de l'arène étant lui aussi fait d'acier. Remoul s'assit à la table tandis qu'un homme apportait une coupe doré et sertie d'une large améthyste, un quartz violet rare et donc précieux, très prisé des changeurs. Dans la coupe fût versé ce qui semblait être un vin de couleur bordeaux que Remoul leva en faisant des mouvements circulaires du bras. Le haut-prêtre avait son regard à présent figé dans le spiritueux qui tournait dans sa coupe au rythme des mouvements de Remoul. Un nouveau moment passa. Un moment pendant lequel on ne pouvait entendre que les cliquettements de quelques chaînes provenant des cages de l'arène et la puissance de la tempête qui se répercutait jusque dans les profondeurs de cette cave. Puis Remoul posa la coupe et leva un nouveau regard sur Brimstone, un regard plein de curiosité.

- Tu m'as dit avoir été trahi Brimstone. Te souviens-tu de ce que tu as ressentit en étant trahit ? La colère ? Le désespoir ? Si tu pouvait mettre à bas ceux qui t'ont trahit, ne le ferais-tu pas ? Ne voudrais-tu pas leurs faire sentir à quel point ils ont eût tort de te trahir ?

Le Haut-prêtre du Changement reprit sa coupe et en bût une gorgée. Puis il se leva et se dirigea vers le golem à qui il tendit la coupe. Brimstone pourrait alors sentir son bras droit se lever et sa paume se mettre à plat pour accueillir la coupe.

- Je ne peux t'offrir ceux qui t'ont trahit. Pas tout de suite du moins. Mais aide le Changement dans son œuvre et il t'aidera dans la tienne.

Laissant la coupe à Brimstone, Remoul s'éloigna cette fois du Golem et alla s'accouder contre une rambarde qui le séparait des gradins de l'arène. Observant le sable tâché d'un sang sombre, il reprit la parole.

- C'est personnes sont coupables de trahison. Je leurs faisait confiance et je les ais envoyés accomplir une volonté qui nous est supérieur sur tout les points. Mais ils se sont retournés contre moi. A présent les voilà déchus dans ses cages, condamnés à se faire exécuté par celui qui fût leurs chef et qui, comme tu à pût le voir, dévore ses proies. Mais tu peux leurs donner une mort plus digne, la chance d'être exécuté par un envoyé de leurs dieu et pas par une bête qui n'a aucune raison d'être.

Remoul se retourna, gardant une main sur la rambarde et plongeant une nouvelle fois ses yeux dans ceux de Brimstone, les baissant une fois pour regarder la coupe posée dans la large main d'acier du golem avant de relever son regard.

- Bois Brimstone Grim. Le Changement t'offre une chance de le servir et d'agrandir ta puissance. Aucun traîtres ne pourra alors te résister.

Invité

Brimstone regarda la coupe et ensuite l'homme gris. La perspective de cette proposition est intéressante toutefois...

Avant que Remoul ai fait un geste Brimstone posa la coupe sans la boire et sauta dans l'arène dans un bruit de tonnerre. Mis au centre de l'arène de fer, Brimstone se releva tandit qu'il se mis en mode combat. Ses vêtements se rétractèrent dans son armure tandis qu'il dégaina son arme.

- VOUS AVEZ PARLER D'UNE MISE A L'EPREUVE AVANT NON ? LAISSER MOI TOUT D'ABORS JUGER SES TRAITRE ET ENTENDRE LEUR POINT DE VUE ! LEUR PAROLES ET LEUR AGISSEMENT AVANT D'APPLIQUER LA SENTENCE ! Répondit le Golem qui marchât droit vers les cages afin de voir les prisonniers de plus près.

Brimstone voulait surtout gagner du temps. Avant tout il ne travaillait pas avec n'importe qui. Même si Remoul avait la capacité de lui trouver ce qu'il recherche éperdument, il ne voulait pas non plus servir d'esclave ou de larbin pour les changeurs. Surtout qu'il commençait à s'inquiéter pour les gens du convois même si ses dernier le considérait comme un monstre.

- HOLA ! QUE CEUX QUI CE CACHENT DANS LES OMBRES SE MONTRENT ET VIENNENT M'EXPOSER LEUR VERSION DES FAIT A MOI QUI SERA JUGE, JURE ET BOUREAU. DE QUEL CRIMES ETES VOUS ACCUSES ET AVEZ VOUS DES PREUVES DE VOTRE INNOCENCE ? Cria Brimstone d'une voie forte.

Au moins l'avantage d'être un spectre même coincé dans un corps de métal lui permettait d'avoir une perception différente d'un humain normal. Même si un humain pouvait mentir face à un autre humain, contre un spectre cela était impossible car l'âme ne saurait mentir.

Remoul sourit de voir le Golem ne pas boire. Si tel était son choix. Craignait-il les effets de se breuvage ? Lui qui n'était fait que d'acier ne pouvait ni tomber malade ni souffrir de l'effet des poisons et de la plupart des malédictions qui pouvaient affliger les êtres fait de chair. Remoul avait même bu à cette coupe. Mais enfin cela importait peu. A présent il se trouvait dans l'arène en la confondant avec un tribunal. Mais le Changement lui ferait bientôt réaliser son erreur et si il le souhaitait voir le servir, il survivrait. Sinon et bien il faudrait faire sans Brimstone pour vaincre les Originels ici. Beaucoup s'étaient déjà sacrifiés pour que viennent cette tempête, le nombre sera leurs allié mais tant que cette maelström se maintiendra au dessus de la cité des Athées, aucun homme ne pourra se tenir dans ses rues sans en souffrir.

A l'intérieur de l'arène, Brimstone avait appelé de sa voix puissante les prisonniers à s'exprimer. Il ignorait qui ils étaient. Ils avaient eût quelques mois de célébrité dans Athéïle mais il était alors absent. Il ne reconnaîtrait donc pas leurs chef quand celui-ci vînt s'accouder à la lourde grille qui le séparait de Brimstone, révélant son visage et son corps. C'était un jeune homme d'à peine une vingtaine d'années d'après ce que pourrait en juger le golem. Il mesurait environs 1m80 et était mince mais son torse nu était parcourût par une longue cicatrice de couleur rouille marquée par les points de suture qui avait permit de la refermer. Ses bras et jambes étaient étonnamment long et couvert de petite plaie qui semblaient aussi oxydées que celle de son torse. Son regard était gris comme le fer et ses dents avait été rendue légèrement brune d'une quelconque façon. Ainsi accoudé, il fixait Brimstone.

- Juge, juré et bourreau hein ? Un bourreau n'a d'autre fonction que de tuer. Tu n'as donc pas l'intention de laisser quiconque partir en vie je suppose ? De toute façon tu n'en as pas le pouvoir, le seul qui décide ici est Remoul et quoi que tu décides, nous allons mourir de toute façon. Remoul dit vrai, nous l'avons trahit, comme il nous à trahit. Nous ne l'aurions jamais fait sans Jay Valerian mais nous avons échoués et maintenant nous sommes là. Et si ce n'est pas toi qui nous tue, ce sera Jay. Ce type est déjà un monstre par son apparence mais il y à un véritable monstre qui vit en lui. T'a dû voir ce qu'il a fait de Roberto. Aucun de nous ne peut tuer ce type. Seul Remoul le peut et il est sa marionnette.

Du haut de l'arène, Remoul regardait, l'air amusé. Oui Jay était réellement un horrible monstre, même pour les humains. Qui l'aurait crût lorsqu'il était rentré dans la ville et avait sauvé ses paysans des minotaures ? Certes arracher leurs têtes de leurs épaules était affreusement barbare mais c'était le pouvoir qu'il avait prit qui parlait ainsi. Mais même dans les tréfonds de son âme, Jay avait de terribles instincts de tueur et à présent, ceux qu'il avait poussé à la rébellion en payaient le prix, dévorés par lui dans sa soif de ce sang si précieux qu'était celui de ces prisonniers. Car à l'intérieur des cages, ce n'étaient pas les membres du convois, restés au rez-de-chaussé, mais des citoyens de Athéïle aux corps athlétiques et tous marqués par des cicatrices de couleurs rouille. Comme si leurs sang avait été fait d'avantage de fer que celui de n'importe quelle autre créature. Et le fer contre le fer, alors que l'homme qui parlait avec Brimstone terminait ses parole, une cage s'ouvrit à la volée, plusieurs barreaux s'envolant littéralement alors que bondissait hors de sa cage l'un de ses fameux citoyens. Il semblait en rage, toutes ses veines semblaient sur le point d'exploser et sur une partie de son visage commençait à apparaître une couche de fer qui remplaçait sa peau.

- Je te présente Gerardo, maintenant lui aussi c'est un putain de monstre, il à bût le sang de trois des nôtres avant que Jay n'arrive. Déclara le jeune homme encore en cage avant de retourner dans les ombres de sa cellule et de s'assoir.

Gerardo quant à lui n'attendit aucun signal, il poussa un cri de rage et courût à toute allure en direction de Brimstone, soulevant le sable derrière lui et manquant manifestement de finesse dans son attaque. Mais alors qu'il arrivait à proximité de Brimstone il fit un formidable saut qui l'amena au-dessus de la tête du golem et joignant ses deux poings il s'apprêtait à les abattre sur ce qui semblait n'être que le casque de l'armure d'un type assez stupide pour rentrer dans une arène sans savoir qui seraient ses adversaires.

Invité

Un homme répondit à sa doléance. Il était jeune mais terriblement maigre et frappé par un mal terrible qui semblais le ronger. Il ce mis à raconter sa version des fait. Oui il avait lui et ses hommes bel et bien trahis l'homme gris mais l'accusa aussi de les avoirs trahis.

Il fut quand même assez évasif sur cette maladie qui le rongeait. A les voir Brimstone avait l'impression que cette humain se transformait plus ou moins en homme de métal mais que parallèlement cette maladie le tuais à petit feu tout en le rendant fou et monstrueux.

Brimstone voulus en savoir plus mais à ce moment là une des cage explosa laissant sortir un des prisonnier. Ce dernier était bien plus atteint que son interlocuteur. Il était grand, plutôt massif. Il était revêtus de haillons crasseux mais Brimstone pus voir d'énormes taches rouge et de métal marquant son corps. Le nommé Gerardo comme le chef des prisonniers l'avait appeler était devenus une vrais bête totalement berserk.

Poussant un hurlement de bête fauve Gerardo fonça droit sur le Golem et bondit droit sur lui pour lui taper dessus à main nue. Le saut était pour le moins impressionnant. Cette maladie devait en quelque sorte améliorer les muscles et la résistance de son porteur en plus de tuer. En tout cas le Golem n'allait certainement pas se laisser taper dessus sans broncher.

Au moment ou Gerardo était en l'air Brimstone avait déjà armé son poing et l'envoya droit sur la poitrine de son agresseur avec la puissance d'un bélier de siège et la vitesse d'un boulet de canon. De quoi expédier son adversaire au plafond. Même si Brimstone avait la forme d'un Golem il avait quand même réussit à conserver ses réflexes humain ce qui n'était pas à prendre à la légère.

Spoiler:

Le poing d'acier frappât Gerardo de plein fouet, révulsant ses yeux exorbités et coupant manifestement son souffle mais alors qu'il aurait dû être éjecté dans le plafond et s'y fracasser le dos, ses mains s'agrippèrent au poing de Brimstone. Probablement plus par réflexes que volontairement, glissant sur l'acier, sa peau au lieu de partir en lambeaux laissait des marque de griffures, comme si ses doigts n'avaient pas été de chair mais bien de fer. Le choc ainsi atténué, Gerardo fût effectivement envoyé dans les airs mais au lieu d'être envoyer contre le plafond décrivit un arc de cercle avant de tomber dans le sol, sur ses pieds. Une fois revenu à son équilibre, il secoua rapidement la tête tout en grognant telle une bête en rage. Sur son torse, il y avait la marque rouge du poing de Brimstone mais hormis cela, il semblait intact, comme si la main d'acier du golem n'avait été celle de n'importe quel autre homme. Un être humain normal aurait eût les côtes enfoncées dans ses poumons même si il avait pût évité d'être propulser dans les airs comme avait voulut le faire Brimstone.

Gerardo, après s'être apparemment remis les idées en place et avoir reprit un souffle puissant poussa un nouveau cri de rage avant de reprendre son attaque. Chargeant une nouvelle fois Brimstone il semblait l'attaquer de face une nouvelle fois. Mais alors qu'il arrivait à porter du Golem, l'athée enragé se décala à une vitesse extraordinaire sur la droite de Brimstone et ses deux poings joint une nouvelle fois vinrent frapper là où les côtes du Golem auraient dû êtres imprimant dans l'acier la marque de ses deux poings comme si c'était une massue qui avait frappé. Sa rage ne l'empêchait manifestement pas de faire usage de ruse et sa force était largement suffisante pour blesser Brimstone. Pendant ce temps dans les gradins, plusieurs changeurs s'étaient installés et observaient avec grand intérêt le combat. Il y avait même de l'argent qui circulait. Des paris et Gerardo était donné gagnant à 5 contre 1. Ce monstre qu'était devenu l'athée avait manifestement impressionné les Changeurs par le passé et même si Brimstone avait tout l'air d'être envoyé par le Changement lui-même, il semblait hautement improbable qu'il puisse défaire cette créature dont seul le Changement pouvait avoir permit l'existence.