Méhor Hil-Galad, L'Archer du Roi. [Validé]

Nom : Hil-Galad.

Prénom : Méhor.

Age : 35 Ans/ En paraît dix de moins.

Race : Demi-elfe.

Groupe : Les Elfes.

Profession (unique): Chef des elfes sauvages

Description physique ( 5 lignes minimum ) :
Méhor à une peau au teint mat, un visage finement dessinés, des cheveux où se mêlent le blanc et le roux ainsi que des yeux vert, il porte également un fin collier et un bouc de barbe, signes évidents de son héritage humain. Toutes ses caractéristiques lui donnent un air bien plus exotique que ne sauraient l'être les Démériens ou même les Hù Beï. Une grande partie de cette beauté exotique est partiellement due à ses parents. Mais en dehors de son faciès, il y à aussi son corps qui est bien construit. Des épaules solides, un torse, des bras et des jambes musclés. Le jeune métis est généralement vêtu de vêtements de cuirs sombres munis d'une capuche fait dans le même matériau. Il repasse ses vêtements d'une attache de cuir clouté fait de plusieurs lanières s'attachant autour d'un anneau en acier. Grâce à cette attache il peut transporter, sans gêne de mouvement, un arc, un carquois et un sac de voyage. Afin de compléter son attirail il revêt une armure de cuir clouté sur la quasi totalité de son bras gauche.

En résumé, Méhor ressemble à un humain mais quelque chose est gênant chez lui peut-être est-ce son regard un peu trop profond pour celui d'un humain ou sa beauté trop peu humaine pour ce qu'il paraît-être.

Comportement (qualités et défauts, 5 lignes minimum) : Méhor est un Demi-elfe dont le caractère à plus hérité du peuple des îles que de l'humain qu'était son père. Il est patient et la plupart de ses actes sont préalablement calculés et réfléchis. Néanmoins son sang
d'elfe sauvage, plus bouillant que celui de la plupart des autres elfes, mêlé à son sang d'humain le rendent beaucoup plus impulsif que la plupart des elfes. Ce sont donc deux héritages qui se disputent le caractère de cet homme.

Pouvoir(s)/Magie(s) :
Méhor Hil-Galad. Dit l'Archer du Roi, pour une raison simple. Il à la réputation d'être le meilleur archer de l'Archipel d'Elvem Adisil mais d'aucun murmure que le Prince Dorhyan partage cette réputation. Pour Méhor, il y à beaucoup de talent qui fait cette réputation, mais aussi une magie. Une magie instinctive. La magie qui s'est développée chez les elfes sauvages, bien des années après qu'ils se soient séparés des Elfes Sylvestres et que la magie que l'eau originelle leurs avaient donné ce soit adaptés pour que leurs pouvoirs soient inhérents à leurs instincts. Oui, Méhor utilise la magie qui vit au fond de lui afin d'être plus précis, de tirer depuis des distances plus longues, de sauter plus haut, il sait qu'il le fait mais ne peux sans empêcher. Cette capacité lui sert à avoir des capacités supérieur physique à celle d'un homme de constitution normal, mais il ne peut pas accomplir des choses quasi-impossible (tirer une flèche si fort qu'elle parcourt plusieurs kilomètres etc) C'est son instinct.

Mais il y à autre chose qui existe chez Méhor. C'est une sorte de magie sauvage, de magie tribale mais qui ne ressemble en rien à ce que connaissent les elfes sauvages. C'est une magie qui semble indomptable, elle se manifeste sous des formes diverses et émane directement du jeune homme. Que cela soit sous la forme d'un air brulant, d'un vent puissant, d'énergie crépitant ou de sons stridents, cette magie se manifeste lorsque le Demi-elfe l'appelle mais sous une forme inattendue. Ce don chaotique, il n'arrive que rarement à le canaliser mais lorsque c'est le cas, il est en mesure de doter ses actions d'une grande puissance et de passer à un stade supérieur dans les choses qu'il est capables de faire, par exemple accroitre la puissance d'un tir afin que la flèche fende un mur en venant le frapper. Bien entendu une flèche normale ne survivrait pas à un tel impact.

En dernier point j'ajouterais que Méhor dispose de sens plus aiguisés, rapport à ses antiques héritages elfiques.

Peur(s) :
Dysmorphophobie- Peur des anomalies physiques. Ce qui ne veux pas dire que Méhor à peur d'un monstre étrangement constitué mais plutôt d'un elfe qui pourrait avoir un bras mal formé. Il à peur des choses qui n'ont pas lieu d'être dans une race donnée.

Point(s) faible(s) :
Le point faible de Méhor est très probablement le combat de contact, car bien qu'il en maitrise les bases, il est loin de posséder un réel talent pour se type de combat. Mais Méhor est aussi gravement allergique à une plante appeler aconit, cette plante le rend gravement
malade mais ne peut le tuer qu'en grande quantité.

Histoire :
Un jour sur notre ile vînt un bateau dont nul d'entre nous, pas même le plus anciens des elfes sauvages, n'avait souvenance. Il ne possédait qu'un faible tirant d'eau et une unique voile mais était munis d'un rang de rameur de chaque côté. Nous étions curieux, mais conforme à notre nature, méfiant. Pendant près d'une semaine nous laissâmes les hommes de ce bateau s'aventurer sur l'île avant qu’ils ne s’en prennent à un groupe de nos femmes sur la rive orientale de la rivière coupante. Nous nous sommes donc lancé dans une guérilla contre ses hommes qui s'avéraient être des envahisseurs acharnés. Ils combattirent vaillamment et nous auraient probablement vaincue si il n'y avait pas eût cet homme si étrange...

Il ressemblait un peu à un humain Hù Beï avec ses yeux légèrement plissé, mais aussi à un Démérien à cause de sa forte carrure et de sa pilosité sombre. Mais sa peau noire comme l'ébène le différenciait de ces deux peuples.

Il vînt un jour, en compagnie d'une femme que, depuis près de sept mois, nous avions crût disparût dans l'agression des femmes prêt de la rivière. Nous ne l'avons pas tué tout de suite car la jeune femme avait un ventre rond. Après de longues discutions avec le chef de la tribu, il s'est avérer que l'amour était nés entre ses deux êtres si différents. Ce n'était qu'un humain mais nous les Elfes Sauvages savons que tout ne peut-être décidé et que certaines choses sont telle qu'elle sont pour une bonne raison, c'est en vertu de cela que nous avons laissé le couple vivre en paix parmi nous.

L'homme noir nous aida contre ses anciens frères et grâce à son aide nous savions toujours, quand et comment les adversaires attaqueraient. Après moult victoires et la naissance de son fils aux sangs-mêlés, nous le reconnûmes comme frère de notre peuple et assistâmes à son mariage avec notre sœur avec pour témoins les trois lunes alors pleines.

La victoire fût ensuite prompt et glorieuse pour notre peuple qui, bien qu'affaiblit par un an de conflit, en ressortit plus aguerrit que jamais. Malheureusement, l'homme noir qui avait prouvé sa grande valeur et était devenu notre frère, est mort lors de la dernière bataille durant laquelle il s'opposât au capitaine du navire et parvînt à la tuer avant de venir mourir dans le village, sa femme et son fils nouveau-né à son chevet. C'est dans son dernier souffle de vie qu'il le nomma Méhor. Sa mère elle même ne réussi à se raccrocher à la vie que cinq ans durant avant de mourir de chagrin.

Depuis Méhor est devenu un homme valeureux au même titre que son père et est d'une
grande aide au village. Mais c'est un jeune homme réservé, probablement à cause de du sentiment d'exclusion, fictive, qu'il ressent à cause de son héritage humain au milieu d'un village exclusivement composé d'elfe. Mais en ce jour où notre chef meurt, nous avons allons désignés devant les Trois Lunes Témoins que Méhor est devenu le chef légitime de
notre peuple, qu'importe que ses parents soit mort et que l'un d'eux fût un homme noir venu d'un horizon lointain. Car il est Méhor Hil-Galad, l'Archer du Roi et frère du peuple des elfes sauvages.

Autre(s) :
L'arc de Méhor est des plus exotique car fait dans le bois dans arbre propre à l'île des elfes sauvages mais également enduit de poudre à base de corne d'une sorte de buffle sauvage afin de le rendre plus résistant aux chocs. La corde est elle-même faite des boyaux de ce même buffle.

L'Archer du Roi se bat au corps à corps avec deux coutelas.

Méhor est également connu (parmi les elfes) pour sa capacité à tirer trois flèches en un tir, il en à d'ailleurs fait son emblème en tant que chef des elfes sauvages en se faisant confectionner une broche en argent, représentant trois flèche partant dans plusieurs sens, qu'il porte sur sa tunique de cuir.

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