Feu et Souffle emporte un cadavre

Spoiler:

Il est temps de volé et de rependre la rage, de laisser le monde se consumé comme il aurait toujours du faire, les hommes ne mérite rien d’autre que de mourir et de voir leurs monde s’effondré, il va leurs montrer ce qu’est leur vrai nature, ce qu’il n’a fait qu’accélérer, oui vas simplement répondre à sa mission.

Un cadavre boursoufflé d’avoir été torturé au feu s’effondre à coter de lui, c’est le troisième depuis qu’il suit cette piste, il a lui aussi parler, ils parlent tous, ils vendent tous leurs femmes et leurs enfant pour qu’il arrête, ils le répugnent et chaque fois qu’il en torture un il se rappelle que ces hommes ne sont en faite que des êtres encore inferieurs aux animaux qui se croient supérieur. Ils se croient supérieur et c’est bien leurs seul force jusqu’à ce que, revenant à la cendre, ils se rappellent que rien ici n’a vraiment été crée pour eux. Qu’ils ne sont que des créatures ayant raté leurs vie et se promettant dans la douleur des rêves qui s’effondrent lorsqu’ils admettent enfin leur vrai nature. La peau couleur de braise s’éteint lentement en s’appuyant contre le mure et les yeux, explosés par la pression dut aux trop fortes chaleurs, semble imploré le ciel comme si il pouvait se retourné vers eux pour les aider simplement parce qu’il avait crut qu’un dieu était présent… Les mains absente de ses moignons de bras attendent qu’on les rattache mais tout à trait vite été cautérisé et le sang sur le sol rappelle le boudin de porc qui cuisait en crépitant sur feu à coter duquel le reste de la petite famille c’est réfugié. Ils bruleront aussi pour que sa mission soit un succès … c’est les demandes de celui qui l’a ramené non ?

Un homme aux yeux rougeoyants sort de la maison lorsqu’une rafale de vent rabat vers les bas font de Fantahéris le crie qui sort de la maison et une longue mèche de cheveux, cette peinte dont les hommes n’on rien à faire, celle du cochon que l’on égorge ou de l’homme qui brule vif. Ici une femme et deux enfants dont le crie poussent l’écharpe à rejoindre les cheveux qui s’envolent en suivant le vent. Il n’en a que faire, il sait où aller pour ce nourrir enfin du roi, où aller pour avancer un peux plus… Alors tranquillement il marche en écoutant le bois se faire torturé par le feu, son feu, cela fait bien longtemps qu’il ne s’était pas autant nourrit.

Mais rien n’est finit, il chasse et déjà l’homme encapuchonné suivit de prêt par ses gardes ce fait voir … Il essaye de ne pas être reconnu surement, mais il suit aussi les instructions précise que lui avait donné son chef que l’homme avait entendu … Il entre dans la maison pour la pose et pour que les gardes se rassemblent, il devait sortir incognito, quelle stupidité digne d’un humain. Maintenant il est piégé et l’élémentaire reprend sa forme magique … et charge.

Epée qui tournoi, monte frappe et traverse, cela fait bien longtemps que le métal à fondu sur la main de l’homme alors que sa cote de mail laisse sa peau se couvrir de ce qu’elle a put être par le passé. Il s’est fait traverser par le feu, comment ne pas connaitre la douleur ?
Déjà Zeltar est face au roi.

Mais c’est un homme qui sort de la maison prenant feu, un homme aux yeux rouges que voilent ses longs cheveux, un homme qui laisse sur le pas de la porte quelque chose de blanc, un homme qui se fait aborder par un autre… Un autre être affolé qui ne sais pas :

-˝Monsieur aidez …˝
-˝Je vais bien si tel est votre question … Mais retourné vous car là bas votre fille est en train de brulé vive et il n’y a pas de plus doux spectacle à regarder calmement qu’une petite perle de haine humaine brulé calmement sans que personne ne s’en préoccupe à par celui à qui je le montre, celui à qui je fais signe que son instinct ne devrait pas chercher à sauvez ses richesses mais sa famille …˝

Un regard vers le spectacle cuisant puis ses nerf s’effondre et lui avec, sur le sol comme une loque qu’il est, enfin humain il regarde le ciel en libérant ce qui n’aurais jamais dut appartenir à son corps autant par la bouche qu’en vidant sa vessie… Au loin la petite fille qui brulais encore s’effondre et cesse de crié et Zeltar se retourne vers la place où était le cadavre du roi avant qu’il ne le mange …

Puis il quitte sa forme humaine et s’enfuit tout en se nourrissant autant de la peur que de la chaire et du bois qui brule, les humains redeviennent ce qu’ils ont toujours été pillant sans chercher plus loin, incendiant plus que lui … Ils se nourrissent eux aussi en niant ce qu’ils sont, ils se nourrissent des leurs alors que lui emplie ce vide qu’ils avaient eux même crée.

Il disparait dans les ombres.

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