En quête des Pjeyhs

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Astélia et le samouraï marchait dans les rues de Déméria depuis quelques heures, lachants très peu de mots. Alors, Astélia arriva en vue de la rue qu'elle avait visitée quelques jours auparavant : tout était resté identiques à par les gens différents. La mercenaire vit les pauvres, recroquevillés dans leur coin enroulés dans leurs couettes, les riches, qui se baladaient avec des bijoux pleins les poches. Mais il y avait aussi des gens qui n'appartenait ni à la première caste, ni à la deuxième. Ces derniers se penchaient souvent sur les pauvres gens, leur donnant de la nourriture ou bien de l'argent : c'était décidément un quartier de grande ville. Alors que la maison du bout de la rue apparaissait à l'horizon, la jeune femme décida de parler d'une voix dénuée d'émotion :

-Lorsqu'il m'a donné cette mission, le Pjeyhs m'a dit qu'on ne s'était jamais connus, jamais vus, en conclusion, il n'avait pas l'intention de me revoir. Cela se peut aussi qu'il soit parti Okurayama-Dono... Je vais vous demander une faveur, parlez-moi des Pjeyhs.

Astélia continua à marcher, jetant son regard de glace dans celui de son interlocuteur, attendant sa réponse. Le coeur de la jeune femme cachait des milliers d'émotions contradictoires en voyant le samouraï : peur, courage, confiance, aversion... Certaines étaient sans doutes fausses et d'autres vraies, mais la mercenaire ne savait pas lesquelles.

La mercenaire me guida pendant plusieurs heures à travers la cité Démérienne. Tout ce temps durant, lorsque je ne m'étonnais pas de quelque chose de nouveau pour moi par un regard surpris, je tentais d'oublier se mépris que j'avais pour cette elfe. Sa faiblesse morale, de volonté, m'avait tout simplement dégouté, j'étais chaque fois écœuré par ce genre de comportement. En fait si elle avait été faible physiquement, j'aurais compris qu'elle recherche ma protection mais il était étonnant qu'elle ait obtenu un contrat pour finalement presque se jeter à mes genoux et implorer ma pitié. Si elle s'était écroulée de fatigue devant moi je l'aurais plutôt emmenée chez un médecin ou même porter pour qu'elle aille dormir en sécurité sur le Souffle Gris. Mais une autre voie avait été choisie et avec des si comme on dit, on mettrait le palais de l'empereur en bouteille.

Mais j'avais trouvé comment penser à autre chose. Fentaeris représentait une grande source d'étonnement pour moi. En effet, il me suffisait de jeter un coup d'œil à la rue pour trouver des choses que je n'aurais eût aucune chance de voir dans la cité de Hù-Béï. Tel que l'architecture, totalement différente de celle de mon pays ou encore ces riches qui marchaient avec des moins riches et les pauvres mendiants que l'on trouvaient à plusieurs endroit en petits groupe ou seul, allongés ou assis à même le sol demandant un sou aux passants. Dans la capitale de l'empire, joyau de richesse et d'architecture, des endroits tels que la place de diamants et le quartier du palais de l'empereur, étaient dépourvu de mendiants. En effet, ces derniers se trouvaient plus aux alentours de la ville que dans la ville même. De plus, nul nobles, riche marchand ou samouraï de la ville n'aurait accordé le moindre Guli (CF.Les Monnaies) à un mendiant. Il l'aurait plutôt chassé à coups de pieds au train et d'insultes.

Nous marchions donc depuis plusieurs heures lorsque Astélia décida de parler à nouveau. Me rappelant un court instant que je la méprisais. D'autant plus que le Pjeyh avait voulut qu'elle oublie son nom. Si il savait combien il avait eût faux en l'engageant, elle qui le désignait à sa cible. Mais sa remarque était intéressante et la réflexion à la réponse que j'allais y donner me fit penser à autre chose qu'au désagrément que le comportement de la mercenaire me faisait ressentir.

- Il s'attendait à ce que tu mènes à son terme le contrat, aussi il n'a aucune raison de partir. Mais même si c'est le cas, nous trouverons facilement les traces de son départ. Et si il est resté comme je le pense, il se peut que les choses tournent mal et que nous soyons retenu par des sous-fifres.

La question n'était pas posée explicitement mais je me demandais si Astélia serait capable de trancher chair et os pour se protéger de la vengeance qui ne manquerait pas de s'abattre sur elle si le commanditaire restait en vie.

- Les Pjeyhs, j'en sais peu sur eux. Mais ils préparent quelque chose qui n'est bon ni pour moi ni pour Déméria. Ils complotent contre le roi et je suis là pour faire avorter ce complot.

J'avais peu à dire mais même dans ce cas je m'avançais peu. J'étais loin de penser pouvoir faire confiance à Astélia mais espérais néanmoins qu'elle arriverait à tenir sa promesse. Faites sur son sang, si elle ne la tenait pas, son âme en répondrait devant les kamis. Mais ce mépris et cet espérance pour cette elfe s'effaçaient peu à peu pour laisser place à la concentration qui précède le combat.

-˝Ram diguidiguidam diguidiguidam diguidiguidamdamdamdam ! diguidiguidam diguidiguidam diguidiguidamdamdamdam !˝

Un petit bonhomme habillé de vêtement des plus dépareiller passa en marchant au milieu des deux jeunes damoiseaux et sans question aucune, resta au centre de ce couple de mercenaire. Mais après avoir arrêté sa chanson si spéciale cela vas de soit la charge était terminer et il les avait rattrapé…
Il regarda l’un, puis l’autre, les jaugeant de ses yeux violets avec un sourire à se faire adopté par la première maman passant par là. Puis sans lever ses main pour essayer de voler une des deux bourses il accéléra le pas et se plaça devant tel une muraille tout à fait franchissable vue la largeur du jeune garçon qui devait avoir environs six ou sept ans.

-˝Z’est … CROC MEUGNONNNNNN ! Dit dit dit dit, elle z’appelle comment ta copine monzieur le zamouraï qui vient d’ailleurs ? Et toi il z’appelle comment ton copain que comme tu le regarde tu doit être hazement amoureuse ? Hein hein hein ? Dites-moi !!
Heu non dites pas moi en faites mais répondez moi … parce que zi vous dites juztes moi je zerait blazer … Donc vous répondez vraiment à la question et pas en dizant moi hein ! Et après vous pouvez vous embrazer ze regarde pas promis, ou alors suste d’un oeil que ze cache zouz ma main mais pas trop parze que zi ze le casse trop après ze vous voit plus, donc vous me voyez plus et plop ze dizparait !˝

Le petite être si spécial avait joint ses deux mains et se préparait à se les mettre devant-les-yeux-mais-pas-trop-pour-pas-disparaitre-quand-même … Puis il se ravisa un instant et murmura :

-˝Et après zi vous voulez ze vous dit pluz zur les Pjeyhz !˝

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La jeune femme fut soudainement étonnée : l'homme d'Hù Beï n'en savait qu'un tout petit peu plus sur les Pjeyhs qu'elle ! La mercenaire continua à marcher quelques instants jetant par-ci par-là des regard à son mystérieu 'compagnon'. Alors que le calme reignait dans son esprit intérieur, un jeune garçon âgée de sept années sans doute se présenta à eux, leur barrant le chemin tellement il était enrobé. Il s'exprima d'une voix claire tel un carillon et un léger gazouillis dans la voix.

-˝Z’est … CROC MEUGNONNNNNN ! Dit dit dit dit, elle z’appelle comment ta copine monzieur le zamouraï qui vient d’ailleurs ? Et toi il z’appelle comment ton copain que comme tu le regarde tu doit être hazement amoureuse ? Hein hein hein ? Dites-moi !! Heu non dites pas moi en faites mais répondez moi … parce que zi vous dites juztes moi je zerait blazer … Donc vous répondez vraiment à la question et pas en dizant moi hein ! Et après vous pouvez vous embrazer ze regarde pas promis, ou alors suste d’un oeil que ze cache zouz ma main mais pas trop parze que zi ze le casse trop après ze vous voit plus, donc vous me voyez plus et plop ze dizparait !

Lorsqu'elle avait vu l'enfant la jeune femme avait esquisser un sourire avenant... Qui s'effassa une fois les paroles de l'enfant balancées. Il aurait eu l'âge de la jeune femme qu'elle lui aurait envoyée son poing en pleine face. La jeune mercenaire était prête à ajouter quelque chose lorsque l'enfant repris.

-˝Et après zi vous voulez ze vous dit pluz zur les Pjeyhz !˝

Astélia réussit à se calmer après ces dernières paroles. Son coeur se calma et elle se rendit compte que ce dernier avait des émotions néfastes envers le gamin. Dommage qu'elle ne pouvait pas s'administrer ses soins à elle-même, sinon Astélia l'aurait sans doute fait. Elle attendit quelques minutes, priant le samouraï de répondre à sa place mais il n'en fit rien. La jeune femme se décida à jouer la comédie. En se baissant, elle s'agenouilla pour être à la taille du gosse et lui répondit d'une voix toute maternelle :

-Mon enfant, sache que ni lui ni moi sommes amoureux l'un de l'autre. En tout cas, le monsieur que voici se nomme Ryûseï Okurayama, et moi je me nomme Astélia, mais tu peux m'appeler Astel si tu le désires. Ce serait d'ailleurs très gentil de ta part de nous en dire plus sur les Pjeyhs.

Elle lui fit un sourire et se rendit compte que l'enfant était attachant en fin de compte. Les gamins lançaient souvent des bêtises du genre : "ils n'en prênent pas compte et il ne faut point leurs en vouloir," pensa soudain Astélia. Alors, elle regarda le samouraï pour voir son visage en attendant la réponse du gosse.

Spoiler:

J'ignorais si la mercenaire comptait ajouter quelque chose de plus et en fait je n'eus pas vraiment le temps ou l'occasion de le faire puisque à peine mes dernier mots prononcés, une singulière chanson parvînt à mes oreilles. Me retournant pour essayer d'en découvrir la source, je la trouvais finalement entre moi et Astélia. Un petit garçon de six ou sept ans aux grands yeux violets et au sourire qui me convaincrait presque que ce n'était qu'un pauvre enfant innocent. Mais rapidement les mots de ce dernier me prouvèrent le contraire. Il réclamait un baiser entre moi et cette elfe ? Cette idée provoqua chez moi une certaine gène. En partie car je n'étais pas un homme habitué à un comportement autre que courtois avec les femmes et d'autre part car Astélia n'était pas laide mais d'une beauté elfique que je trouvais quelque peu dérangeante. Trop peu humaine.

Mais sa démarche intéressée promettait néanmoins une récompense. Il parlerait d'avantage des Pjeyhs. Était-il seulement un gamin des rues qui avait entendu notre conversation et voulait en profiter ou un enfant un peu simple mais de bonne famille pour avoir pût en apprendre d'avantage sur ses personnes ? Sans être gros, il était apparemment bien nourrit et ses habits ne comportaient pas de saleté ou de trous qu'un enfants de son âge ne saurait pas se faire en une journée. Aussi je décidai que la deuxième hypothèse était la plus probable.

Puis je vis Astélia s'agenouiller pour parler à l'enfant tout en écorchant mon nom lorsqu'elle me présenta. Laissant un instant transparaître une grimace d'ennui à l'idée de devoir ainsi nous attarder sur ce gamin. Mais si ce qu'il disait était vrai cela pourrait me sauver la vie. Sinon j'aurais perdu un peu de temps et d'argent.

- En fait cette Dame que tu vois s'est trompée. Mon nom est n'est pas tout à fait celui qu'elle à dit. Il est légèrement différent. Mais j'ai une idée. Je pense que comme tout jeune homme tu es intelligent et tu dois savoir que le monde fonctionne avec des échanges. Alors voilà ce que je te propose. Je te dis mon nom si tu me dis le tiens et je t'offre un paquet de gâteaux au miel et un autre de gâteaux au sucre si tu me parles des Pjeyhs.

Pendant que je parlais avec l'enfant j'essayais de prendre une voix qui donnait l'impression que je le prenais tout à fait au sérieux et que pour moi une telle offre était une grosse offre. Mais je n'étais pas certains de parvenir à un tel résultats, cela faisait des années que je n'avais plus parler à un enfant de cet âge. D'un côté, à mes huit ans j'aurais été très intéressé par un tel échange. Mais peut-être les petits démériens n'avait pas tout à fait les mêmes mœurs que les petits Hubéïens.

Spoiler:

Un regard presque blazer apparut quelques instant puis très vite suivit par l’incompréhension, il jetta un œil sur les habits de l’elfe qui ne venait pas d’une haute ligner car elle avait conservé ceux qu’elle avait dans le port et la cape salle qui lui permettait de cacher ses formes [Ou du moins si j’ai bien suivit mais tu ne l’as hotté nulle part alors …] :

-˝Mais mais mais … Mais zi z’est pas ta copine pourquoi est-ze qu’elle rezemble aux dames copine de toute le monde qu’on retrouve dans le port ? Hein ? Et pit z’est nul zi tu veux pas l’embrazer d’abord ! Ha mériterait prèzque que ze vous boude nah !... Non mais ho ze zuis grand badore moi … Ils me prenent pour qui hein ?! Tsss …˝

C’était sans compter l’intervention héroïque du samouraï qui d’une main exemplaire proposait un échange hors du commun et bien sur en sa défaveur dans sa plus grande bonté. Il devait absolument les vouloir ses renseignements pour mettre en jeux une telle monnaie… Cela valais presque le coup de marchander pour tout cela … Un plan machiavélique germa dans l’esprit si pure de la petite gueule d’ange qui se tenait devant le couple, parce que quoi qu’ils en disent c’était surement pour pas s’embrasser devant lui … Ce qui soit dit en passant les rendait encore plus meugnon ! Mais assez penser, il était grand temps de négocier :

-˝Humf … fiztre et foutre ! ...˝

Il se reteint un instant en pensant à un monsieur qui disait pareille au début de chaque négociation, il pensait que ça voulais dire : Pas mal, mais tu peux faire mieux, je vais te proposer quelque chose qui nous ira à tout les deux ! … Ou quelque chose comme ça parce qu’il l’utilisait aussi quand il avait des soucis un peux plus important qu’une petite négociation.

-˝Moi c’est Dudul ! Et … Je veux bien te donner des renseignements zur les Pzeyhs contre … Un paquet de gateau au miel, un gateau aussi au sucre … et une poigner de zuzette zauvaze ! Parce que deux poigner si elles zont pas zauvazes tes zuzettes … Ze peux pas te proposer moi, dézà que ze t’ai donné mon nom alors faut pas pouzzer non plus hein …˝

Il venait de mettre en place tout ce qu’il connaissait en négociation et même le sourire charmeur qui se peignait sur son visage avec ses grands yeux de chat lui donnait un avantage non négligeable, en passant par la mise en demeure et l’échange d’une première information vital qu’était son nom … Non il était sur qu’il accepterait, il lui permettait même de passer autre la ˝sauvagitée˝ des sucettes si il n’avait pas le temps d’aller en chasser ce qui était une action de bonté de sa part … Car il n’y a avait pas de secret, aucune sucette d’élevage ne vaudrais jamais même le dixième d’une sauvage !

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La mercenaire se retenue d'exploser de rire quand elle vit le visage de Ryûseï quand le garçon lui avait dit d'embrasser la jeune femme. C'est vrai qu'embrasser Ryûseï n'aurait sans doute pas été déplaisant, à vrai dire, il est plutôt bel homme, mais on ne peut le faire avec quelqu'un qui n'a pas d'estime pour son partenaire... Puis, lorsque l'homme parla, elle se dit que c'était bête de ne pas y avoir pensé plus tôt pour les gâteaux et elle se souvint peu après du nom de son 'compagnon'. Oups. Au moins, cela permettait un échange en plus... Puis l'enfant parla de sucette, du moins, elle avait compris qu'il parlait de sucette et la compara à une fille de joie, une fois de plus, Astélia ne laissa rien paraître. "Je lui en mettrais des sucettes moi !" se dit Astélia. Alors elle regarda le visage de Ryûseï qui n'indiqua alors rien. La jeune mercenaire se mit à réfléchir et repris sa voix maternelle et gentille pour parler au gamin qui se postait devant elle.

- Je me chargerais des sucettes Okura... Euh, Ryûseï, lança Astélia à Ryûseï, espérant qu'il comprenne qu'elle n'avait pas voulut vendre la mèche en lui lançant une ragard que seul lui pouvait intercepter et comprendre.

La mercenaire affichait un sourire le plus avenant possible, essayant d'apprivoiser le jeune garçon. Sans que Ryûseï ne dise quelque chose ou bien ne fasse une chose, la jeune femme tendit sa main vers le gosse, s'exprimant de sa même voix :

- Marché conclu, annonça t-elle d'une voix habituelle.

Astélia attendit que l'enfant lui sert la main mais peut-être Ryûseï avait-il une nouvelle chose à ajouter ? Alors, écoutant le vent siffler, la mercenaire patienta, le visage clair, ne laissant paraître nulle émotion.

La comparaison de Dudul à une prostitué me fit légèrement sourire. C'est vrai que je n'y avais pas pensé mais les femmes de joie du port étaient aussi vêtues de haillon sales. Pas besoin de mettre leurs formes en valeurs, les marins à peine revenu avaient besoin d'une femme, pas forcément une femme attirante. J'espérais ne jamais en venir à une telle déchéance. Mais encore faudrait-il pour cela que j'ai eût l'occasion de connaître les bras d'une femme pour ressentir ce genre de besoin. D'ailleurs en parlant de besoin, Dudul avait besoin de beaucoup de choses pour parler. Mon nom, deux paquets de gâteaux et des sucettes sauvages ? Qu'est-ce que cela ? Je n'en savais rien mais il proposait d'échanger ce genre de sucettes contre d'autres qui semblaient plus normales mais le double.

Quel sacripant, me dis-je avec un sourire. Je n'aurais pas su aussi bien négocier au même âge mais à ce que je voyais il avait bien appris. Je me demandais d'ailleurs si il n'avait pas appris auprès de Bob le Soiffard. Serait-il possible que ce gamin soit un proche ? Cependant j'avais d'autres questions à poser et des autrement plus urgentes. Observant la mercenaire parler et agir, je m'étonnais. Elle s'occupait des sucettes ? Tant mieux, je ne savais de toute façon pas où trouver une confiserie dans laquelle nous aurions pût acheter les gourmandises pour Dudul. Puis, comme l'enfant avait remplit sa part du contrat, je commençais à remplit la mienne. .

- Je m'appelle Ryûseï Okurayami non pas Okurayama et certains m'appellent le Loup de Ming-Chè. Dans mon pays le Ming-Chè est le fleuve sacré qui emmène les morts vers les Kamis. Et je vais te faire une faveur Dudul, un cadeau qui n'est pas dans notre marché en attendant que nous allions chercher tes gâteaux et tes sucettes.

J'hésitais à faire ceci, cela ne serait pas agréable mais je pensais que le jeune garçon apprécierait. Tirant sur le bandage de mon bras droit, je révélais lentement et douloureusement mon tatouage, un loup montrant les crocs. Faisant abstractions des premières douleurs je dis alors :

- Ce tatouage est l'une des nombreuses raisons qui font que l'on m'appelle Loup de Ming-Chè.

Puis je commençais lentement à refaire le tatouage en serrant les dents. Cela faisait longtemps que je n'avais plus exposé un de mes tatouages sans y transmettre du chi et pour un peu j'aurais grogner de douleur. Je réussi néanmoins à tenir jusqu'au bout. Terminant le bandage, je me relevais et déclarais ensuite.

- Maintenant trouvons un marchand de gâteaux et de sucettes. Dudul si tu en connais un, conduit nous et si tu le veux bien, commence à nous parler des Pjeyhs.

J'essayais de convaincre Dudul et je pensais que étant donné l'offre que je proposais, il accepterait de commencer à nous parler tout de suite de ces comploteurs. Mais si il avait réellement fréquenter un marchand comme Bob le Soiffard, il ne risquait pas de cracher le morceau avant d'avoir en main sa récompense durement négociée. Mais d'un autre côté, je ne lui avais donné aucune raison de se méfier de moi.

-˝Vlazoup mais z’est que z’est mazico mazique tout za, on est partie tapolà ! Vers la confiserie et aczezoirement haut delà ! Bein vouai on vas pas rester à la confizerie zeulement pour un tel éssanze faut que ze vous dize plein de truc parce que là tu a un ézzanze de bourrin ! Mais ze me ferais pas avoir badore on manze.˝

Le petit bonhomme c’était mis à marcher vers la dites confiserie sans trop s’inquiéter de si les gens le suivait parce que après tout, il était bien capable de se les prendre tout seul, mai le souci c’est que dans ce cas il aurait fait une super négociation pour rien… Donc le mieux ça serais qu’il le suive, mais bon il allait pas se retourné pour savoir parce que de toute façon le vieux monsieur qui lui avait appris il avait dit que les gens qui se retourne ils doutent de ce qu’ils ont à dire et vérifie qu’il emmène bien les autres en bateau donc … Il ne se retourna pas.

-˝Fiztre, ze vais quand même commencer à vous raconter des trucs parze que il y a une foutu hiztoire de dix lignes et que la ze fait pas dix lignes alors z’est nul …˝

Il continu à marcher, passe encore au dessus d’une ligne de paver, puis d’une autre, il commence à parler après en avoir passé dix parce il fallait bien faire dix ligne c’est le grand monsieur qui avait tout crée qui l’avait dit et le grand monsieur il est costaud alors … Ou alors c’était un rêve pourrit. M’enfin toujours est-il qu’il avait bien l’intention de respecter tout ça cette fois.

-˝Alors les Pzeyhs z’est des nicromentes … ou un truc comme ça, il fond joujou avec les mort qui ze mettent à marzer et à faire des bruits bizzare pour faire croires qu’il zon vivant. Ou alors il maudizes des zens comme t’a été maudit toi avec ton dezzin de toutou zur le bras qui est très zolie zoit dit en pazzant. M’enfin z’est zurtout l’heure de m’azetter mes bonbons …˝

Il montra la confiserie droit devant.

Spoiler:

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La jeune femme marchait, accompagnée de Ryûseï et du jeune garçon. Elle sembla comprendre dans les paroles du jeune que les Pjeyhs était des nécromenciens, ou bien leurs complices. Astélia sourit quand le gamin fit des comparaisons du genre "il fond joujou avec les mort qui ze mettent à marzer et à faire des bruits bizzare pour faire croires qu’il zon vivant" ou bien "Ou alors il maudizes des zens comme t’a été maudit toi avec ton dezzin de toutou zur le bras qui est très zolie zoit dit en pazzant". Alors enfin ils arrivèrent devant la confiserie. L'homme semblait connaître l'enfant vu comment il a regarder ce dernier lorsqu'il a reconnu. Alors, la mercenaire, de sa voix habituelle (carillonnante et mieileuse), lui demande ce qu'ils étaient venu chercher :

- Bonjour monsieur, je voudrais un paquet de gâteau au miel, un gâteau au sucre et une poignée de sucettes sauvages s'il vous plait.

Le marchand éclata de rire quand elle lui demanda des sucettes sauvages. Les larmes aux yeux, il lui donna le gâteau au sucre et un paquet de gâteaux au miel avant de reprendre, un sourire illuminant son visage de vieille personne.

- Z'êtes bien sûr de vouloir une poignée de sucettes sauvages ma ptit'dame ?
- Euh, non merci, plutôt deux poignées de sucettes normales s'il vous plait, se rattrapa la mercenaire, se demanda ce que le garçon lui avait fait demander.
- Pour sûr ma ptit'dame j'vous file ce que vous avez d'mander.

Le marchand sortit derrière lui deux poignées de sucettes normales et lui emballa ces dernières avec les gâteaux au miel et celui au sucre dans un sac qu'il lui donna. Remerciant l'homme et se retournant, Astélia jeta un regard avenant cachant son profond reproche au jeune garçon en lui donnant le sac. Lorsque l'homme allait crier pour lui demander de payer, il se rendit compte que les pièces étaient sur la table devant lui. La jeune avait lancée les pièces sur le comptoir en même temps de se retourner sans que ces dernières tintent comme des carillons sur la table. Elle se tourna vers Ryû, débutant une phrase timide.

- Tu pourras me rembourser plus tard, du moins si tu le désires...

La jeune femme avait ressentie la douleur qui avait surgit dans le bras de son 'compagnon' par dessus ses boucliers. La douleur physique était une émotion, car elle pouvait emplir notre esprit et changé notre comportement tout comme le fait la peur et l'aversion, c'est une des émotions que l'on avait le plus de mal à atténuer et la mercenaire était bien placée pour le savoir pour l'avoir souvent ressentie : que ce soit à travers elle ou à travers des autres. Astélia se demandait ce qu'était donc ce tatouage mais elle ne voulait point lui en parler, sachant que cela pourrait lui faire avoir encore plus d'aversion envers elle ou moins de confiance... La mercenaire savait qu'il n'accepterait pas ce qu'elle pense en ce moment même. Voulant penser à autre chose, elle se dit qu'il valait mieu attendre que l'enfant finisse son repas avant de lui demander de nouvelles choses.

Le marché fût donc conclu avec Dudul. Une belle quantité de friandises contre quelques informations qui pourraient être utiles. Ce gamin était réellement curieux. Et aussi pas toujours très compréhensible avec une telle façon de s'exprimer. Mais sans s'attarder, le petit bonhomme nous guida jusqu'à la confiserie à peine une rue plus loin. Pendant le trajet, il joua d'ailleurs à un curieux jeux, sautant dix lignes de pavés à endroit précis. Était-ce le même genre de jeux que j'avais déjà vu à Hù-Béï ? Tenter de marcher sur le rebord du trottoir sans mettre un pied dans le caniveau ou sur le trottoir le plus longtemps possible ? Mais ici cela aurait plus été faire le plus de saut de lignes consécutif sans s'arrêter ? Déméria était décidément un grand objet de curiosité pour moi.

Une fois arrivés à la confiserie, je suivis Astélia et Dudul. Ne m'attachant pas vraiment au vendeur, j'observais plutôt les marchandises exposée derrière le comptoir. Des tas de douceurs que tout enfant voudrais avec une telle envie qu'il en baverait. Moi-même j'avais oublié le goût du sucre, depuis trop longtemps je me nourrissais de pain et de ce que je pouvais y ajouter. La seule vraie nourriture que j'avais avalée depuis des années avait été celle du Souffle Gris. Me disant cela j'eus une pensée pour Nidia et sa délicieuse soupe. J'espérais que l'équipage se porterait bien pendant mon absence. Oh je ne doutais pas qu'ils soient capable de prendre soin d'eux sans moi, il l'avait fait depuis des années et avec Lupen pour les protéger tout irait bien mais j'avais de l'appréhension pour ceux qui m'avait accueillit. Ce constat me surpris, cela faisait longtemps que je ne m'étais pas inquiété pour quelqu'un, du moins réellement et pas seulement par sens du devoir.

- Tu pourras me rembourser plus tard, du moins si tu le désires...

Cette phrase de Astélia me sortit de mes pensées. Jetant un rapide regard aux sachets qui contenaient les friandises de Dudul, je hochais simplement de la tête, n'apportant pas de réelle réponse. Je ne savais pas si je devais rembourser quoi que ce soit. Après tout c'était aussi pour la mercenaire que nous allions abattre son commanditaire. De toute façon je n'avais guère que quelques billets de Hù-Béï et une poignée de pièce de cuivre pour tout argent aussi j'aurais bien eût du mal à la rembourser. Puis, appelant Dudul, je me dirigeais vers la sortie. Pas la peine de traîner ici plus longtemps, nous n'avions plus qu'à attendre de voir si notre investissement avait été fructueux puis nous remercierions Dudul et partirons nous occuper de Grahande. Du moins j'espérais que cela se déroulerait ainsi, aussi facilement.

Une fois à l'extérieur je laissais à Dudul le temps de manger deux gâteaux puis demandait :

- Voilà, ma part du contrat est remplit. C'est à ton tour Dudul le Négociateur, qu'as-tu à nous apprendre sur les Pjeyhs ?

-˝Humf fiztre … Oui z’adore ze mot il croc classe badore… Donc pour en reviendre à tout za. Les Pjeyhz z’est des missant parze que il zoue avec de la mazie pas zentille comme je l’ai dit hein … Mais zurtout parze que ils complotent contre le roi ! Ils z’on un endroit dans les catacombes mais z’en pluz ils z’on envoyer des zens contre un noble parze qu’ils z’arrivaient pas à le relier à leur cose. D’ailleur zes missant là devrait bientôt faire leur offize… Ze les z’ai vue, enfin z’ai vue le premier et ze me zuis amuzer a fouillier dans zon esprit. Z’était drole mais l’était dézà mort donc z’était le bordel … Puis enzuite ze zuis allez voir le n’elfe qui est avec eux et plop z’ai fait pareille et plop ze zais où ils zont cachaer TADA.˝

Tout fière de lui il écarta les bras vers le ciel comme si ce qu’il venait de dire était parfaitement exceptionnel alors que pour lui c’était presque normal, après tout c’était comme ça qu’il avait trouvé la meilleur confiserie du monde alors maintenant il ne s’en privait pas au risque d’en trouver une encore mieux … Malheureusement parfois il trouvait des trucs encore plus bizarre comme l’esprit d’un être mort. Un sucette dans la bouche il souriait et les guidait parmi les routes.

-˝Après je zuis zur vous voulez que ze vous parle de Grahande ! Hum z’est un anzien azzazin, il a tué son frère qui était garde royal, zoit z’est un bon, mais maintenant il est tout vieux et tout le monde le connais et le craint un peux. M’enfin il est encore bon le fourbe hein. Touzours est-il que il est tuable comme tout le monde zi vous voulez le tuer … Même moi ze zuis tuable on dirait pas comme za mais zi ze meurt ze meurt. D’ailleur ze me demande ze que za fairait de mourire.˝

Il lève les bras et fait semblant de marchait comme un mort qui ferait semblant d’être vivant, puis dans un élan il se retourne et hurle un grand :

-˝BBOUUHHHHH˝

Puis explose de rire et se remet à sautiller dans les rues. Et recommence à parler normalement … enfin comme lui habituellement.

-˝ Moi ze pense ils veulent deviendre calife à la plaze du calife, z’est marrant parze que izi on m’a dit que z’était un empereur … M’enfin rien à faire. Un queztion prézise ? Parze que z’ai dézà dit pas mal de truc hein. Zi vous vous faite un bizou ze vous mène à l’endroit où ils content tuer le noble ! Alors ?˝

Il les regarde et sourit.

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La jeune femme fut surprise de la façon dont Ryûseï se comportait avec les gosses mais elle n'en fit pas plus attention que ça. Elle fut soudain heureuse : Premièrement, car le gosse disait des choses qui pourraient leurs servirent et Secondement parce que le jeune garçon les guidait déjà. Alors fusa la demande du baiser entre le samouraï et la jeune femme. Cette dernière s'empoupra directement, de colère comme de malaise. Si Ryûseï embrassait aussi bien qu'il était beau... Astélia se reprit, faillant mettre une tarte au gamin au passage (elle en avait décidément de plus en plus envie). Alors, la jeune femme prit la parole, reprenant l'expression du gamin, mais cette sans zozotter.

- Fichtre et foutre !!! Je voudrais te donner mon avis, Dudul le 'Négociateur', comme t'a appeler le Loup de Ming-Chè il y a quelques moments déjà, que ce que l'on ta donné vaut déjà beaucoup plus que ce que tu dois nous donner comme renseignements. Faut pas poussé le bouchon trop loin tout de même, explosa soudainement la mercenaire.

Astélia laissa le vent souffler à travers ses longs cheveux blonds volés, fermant ses yeux, éteignant avec ses paupières la lueur glaciale et arctique de ses pupilles. Malgré ce à quoi la mercenaire était confrontée, cette dernière repris soudain son calme, pensant à autre chose. La colère et l'indignation ne déformant plus ses très, elle rouvrit les yeux. Alors, d'une voix mieilleuse et carillonante, elle s'exprima à Dudul comme au samouraï.

- Si cela nous permet de retrouver ces personnes... Je marche. Seulement, elle tourna la tête vers Ryûseï, la décision t'appartient Okurayami-Dono, vous viendrez me rejoindre lorsque vous aurez décidé.

Astélia tourna les talons et allase coller à un mur assez éloigné, pensant à tout ceci... Pour qui se prenait ce sal gosse ! Elle lui aurait bien mit un coup de genoux suivit d'un coup de coude et, pour terminer, une baffe dans sa tronche de chérubin ! Les émotions malsaines la submèrgèrent, et pour les atténuées, il valait mieu ne pas être proche de celui qui avait causé ses ressentiments (ce qu'elle avait d'ailleurs déjà fait...). La jeune femme attendit leur réponse, regardant le mur de brique placé en face d'elle.

Spoiler:

Dudul venait de nous livrer des informations intéressante. Même plus encore. Je savais à présent de quoi me méfier avec Grahande. Même si je n'avais jamais affronté d'assassin auparavant, je savais d'ors et déjà que je devrais m'attendre à des coup bas, des coup en traître et que malgré son âge il aura surement des bons restes. A moins que sa seule réputation le fasse craindre ? Enfin comme le disait notre ami négociateur, il était tuable et en fait c'était ce qui m'importait. D'ailleurs la remarque de Dudul sur sa propre mortalité m'amusa. Il devait croire qu'il avait l'air invincible, c'est souvent le cas à cet âge, on envisage pas vraiment la mort. Par contre à un autre âge, plus proche du miens et surtout de celui d'Astélia, une disparition prématurée était à envisager.

La réaction de la jeune femme me surpris autant qu'elle m'exaspéra. Elle qui avait voulut se faire si maternelle avec le petit garçon s'énervait à présent comme pourrait s'énerver les parents qui battent leurs enfants. Pour une raison qui n'avait d'existence que dans leurs esprit. Les informations données étaient tout simplement essentielles. Peut-être pas que pour Grahande c'est vrai mais je devais bien admettre que ce n'était pas juste un vieil assassin auquel je m'intéressais. C'était tout un groupe de personne. Et si je voulais réellement mener cette quête à terme il me fallait toute les informations nécessaires et pas question que j'en sois privé par Astélia.

Posant ma main sur l'épaule de Dudul je lui déclarais :

- Tu verras plus tard, tu te rendras compte de ce que c'est que les femmes. Elles ont besoin de crier comme cela parfois. Mais ne le prends pas pour toi. Il leurs faut juste être réconfortée.

Je me disais que je n'avais pas à faire ça mais dans un sens, c'était la seule chose à faire. Sinon adieu les Pjeyhs et le reste. A part si j'arrivais à cuisiner Grahande mais il n'était même pas dit qu'il soit au courant de cette assassinat de noble ou qu'il sache où trouver le noble en question. Si je commençais à sauver les allier du roi, j'aurais d'avantage de chance de survivre et sauver le seigneur de Déméria que si je restais seul dans l'ombre en attendant une occasion de frapper. Une occasion qui se présenterait peut-être trop tard.

- Je te conseil de cacher tes yeux.

Me relevant, je me dirigeais vers Astélia et lorsque j'arrivais à sa hauteur, je la saisit délicatement par l'épaule, et approchant mon visage du sien, j'y déposait un baiser que je voulus long et tendre. Mais en fait je n'étais pas du tout certains du résultats. C'était le premier baiser que je donnais et je n'avais pas vraiment eût envie de le donner à Astélia que je n'estimais pas vraiment. Mais je me sentais néanmoins gauche et un sentiment de gène monta en moi. Tentant de garder un visage impassible, je mis fin au baiser puis me tournais ensuite vers Dudul qui ne devait rien avoir manqué. Je ne pris même le temps d'observer une quelconque réaction de la mercenaire. J'aurais voulut tout oublier de cet instant et souhaitais ne plus jamais avoir à refaire ce genre de chose. Même pour sauver quelqu'un.

- Ta part du contrat Négociateur Dudul.

Cacher ses yeux ? Pourquoi il voulait qu’il disparaisse ? Le gentil monsieur parlais de réconforté sa méchante copine qui criait pour rien comme une idiote ? Toutes les pièces du puzzle si complexe étaient devant lui mais ne voulais pas s’emboiter, enfin ce fut le cas un instant, un très très cours instant. Puis il s’approcha de sa copine et le petit bonhomme se cacha les yeux laissant une grosse fente par laquelle il pourrait les voir parce que sinon c’était sur, il allait disparaitre. Puis il ne les regarda pas s’embrasser, ou plutôt il les regarda mais c’était par obligation parce que sinon il allait disparaitre c’était sur donc il était contraint et forcé de les regarder … Toujours est-il qu’il souriait en voyant le jolie couple s’embrasser, bien qu’il aimait hachement plus le gentil monsieur que la dame qui ralle. Il méritait presque une demoiselle mieux sauf que l’amour il est aveugle il parait (Donc disparait facilement) donc, il ne devait pas voir qu’il méritait mieux que cette demoiselle pas terrible qui râle.
Il ouvrit enfin ses mains lorsqu’ils se lâchèrent l’un l’autre après un vrai regard amoureux qui tue tout il en était sur que c’était un vrai regard amoureux. Puis regardant le super-monsieur-samouraï-avec-la-copine-pas-terrible, il lui murmura :

-˝Z’est …˝

Mais ce n’était pas drôle de murmurer au moins une chose qui était sur …

-˝CCCRROOCCC MEUGNONNNNNNNNNNN Un vrai couple de namoureux ! Vous blattez de taupe azmatique au bâton d’explosif sans explosif. M’enfin, ze vous z’amène comme promi. Parze que ze rezpecte mes promezzes … Mais … Z’êtes vraiment croc meugnon !˝

Il s’approcha des deux jeune gens puis pris la main du super-gentil-monsieux-au-loup-qui-est-maudit-par-les-gens-méchant et mis sa main sur celle de la petite-demoiselle-toute-criante-qui-croit-qu’elle-peut-le-blatouiller-et-qui-ose-même-pas-l’embrasser-qu’il-est-obliger-de-l’aidé.
Puis sans demander son reste il le téléporta dans une grande maison.

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