Eowën

Nom : Inconnu

Prénom : Eowën

Age : Inconnu

Race : Elfe

Groupe : Elfe

Profession (unique): Alchimiste

Description physique ( 5 lignes minimum ) : Eowën possède de amples vêtement de soie lui donnant une apparence noble. Ses cheveux sont long et aussi vert que les plus belles feuilles des forêts elfique. Il a un visage jeune et calme inspirant la sagesse et la beauté des ancien elfes du monde. Malgré une si belle apparence, Eowën a des bandages un peu partout sur son corps (comme le bas de sa main droite, ses bras, sa tête,...) Il possède quelques besace où est conservé quelques ingrédient d'alchimie lui permettant de concocter des potions. Dans son dos est accroché une épée runique.

Comportement (qualités et défauts, 5 lignes minimum) :Eowën est un elfe troublé par des images de son passé oublié. Imaginez que vous ne vous souveniez plus qui vous êtes et que personne dans ce monde ne vous reconnais. Il a encore certaines connaissances qu'il a effectivement oublié mais qu'il utilise en réflexe comme l'art de l'épée ou sa connaissance pour l'alchimie et les différentes plantes à utiliser. Mis-à-pars cela il est une personne sage et gentille qui ne souhaite que aider les gens dans le besoin, parfois il a du mal à différencier le bien et le mal.

Pouvoir(s)/Magie(s) : Pouvoirs druidiques (transformation en animal, pouvoir sur la nature, etc...)

Peur(s) : N'importe quel objet qui lui rappel son séjour à Ladeïl

Point(s) faible(s) : Sa perte de mémoire bien évidemment, quelqu'un pourrait en profiter...

Histoire (15 lignes minimum) :

Il faisait froid, je sentais une multitude de douleurs sur mon corps nue. Un vent puissant soufflait sur mon visage, me forçant à fermer les yeux. Avec mes mains abimées je fouillais dans la neige, comme perdu et à la recherche d'un objet ou était-ce ma simple mémoire que je recherchais. Mais dans cette neige froide, je ne trouvais rien, juste une touffe de poil provenant d'un animal; je ne sais pas comment mais je savais qu'il s'agissait d'un ours...un ours blanc. Malgré la douleur, je parvînt à me relever et à avancer. C'est alors que le vent s'arrêta, le froid se transforma en chaleur et la douleur disparut pour faire place a un moment de pur bien-être. J'osai finalement à ouvrir mes paupières couvertes de givre, pour sentir de l'herbe sous mes pieds. Mais cette verdure n'était qu'un carré autour de moi, car au-delà de cette zone s'étendait un sol givré et neigeux où soufflait un vent froid et mystérieux qui évitait le carré d'herbe, comme repoussé. En face de moi j'aperçus un port en ruine et recouvert par la glace; celui-ci était vide de vie. C'est alors que des ombres d'humanoïdes s'approchèrent et la chaleur disparut, l'herbe fut recouverte de neige, mes yeux se fermèrent de nouveau et la douleur me frappa comme si la main des dieux m'écrasait tel un insecte sur un sol froid. Soudain, je me sentis tomber dans l'inconscience et l'incompréhension.

C'est dans un hurlement que je me réveilla sur un matelas sale dans la cale d'un bateau. Mon cri fut provoqué par une brulure sur ma peau. Autour de moi se trouvait cinq humains à la peau noir comme du charbon qui parlaient dans un dialecte étrange; ils cautérisaient mes plaies à l'aide d'un morceau de métal chaud. La souffrance était si grande, que je tombais dans l'inconscience aussi vite que j'en étais sortis. Je me réveilla finalement dans le calme; quelques jour après. Découvrant un peu partout sur mon corps des bandages, ainsi que autour de ma tête. Se n'est que après m'être levé que le capitaine du bateau m'expliqua qu'il m'avait trouvé sur Ladeïl, une terre maudite par un froid mystérieux et que s'étaient ses esclaves qui m'avaient soignés. Je resta un long moment sur le navire, découvrant peu à peu que je ne savais plus du tout qui j'étais et comment je m'appelais. C'est en me regardant dans un miroir que je découvris que j'avais de longues oreilles, le capitaine me confirma que j'étais un elfe; une créature noble et aimant la paix. Il me tendit alors une épée sertie de runes qui était à mes côtés quant ils m'avaient trouvé. Je la saisit et l'examina lentement dans l'espoir que ma mémoire revienne; mais rien.

Il me déposa après un mois de navigation, sur les côtes de Déméria en me conseillant de trouver un nom. Je me nomma alors Eowën et partit à la découverte de ces terres à le recherche de mon identité, habillé tel un esclave. Au cour de mon voyage je pus voir un territoire torturé par la guerre et le malheur. Un jour, sur un petit sentier dans une forêt reculé, je tomba sur une caravane où était rassemblé une dizaine d'individu autour d'un jeune homme qui transpirait beaucoup. Intrigué par la scène, je m'approcha et un homme âgé au visage dur se présenta à moi pour m'expliquer qu'il était le garde du corps de ce jeune homme qui était le fils d'un noble important à la cour de Fentaeris. Le jeune noble était tombé dans une embuscade tendu par des bandits et avait été touché par une flèche empoisonné. Je proposa mon aide en sachant que je n'allais être d'aucune utilité, ma demande fut accepté et j'examina la flèche qui avait été retiré de la plaie. C'est alors qu'une vision me vint, celle de plusieurs plantes bouillie et mélangés ensembles donnant un liquide verdâtre. Je me mis à réfléchir et après analyse, j'identifiais cette substance comme le poison avec laquelle cette flèche avait été tiré. Dans ma tête d'autres plantes se mirent à tourner et à se mélanger pour finir sous la forme d'un liquide rouge et détruisant la substance verdâtre; c'était sans aucun doute l'antidote. Je demanda aux hommes de main d'allumer un feu et de trouver une marmite ou une casserole pour y faire bouillir de l'eau. Pendant ce temps, je fonçais dans les bois à la recherche des plantes que je visualisais dans ma tête, par chance je les découvris facilement et revînt vite à la caravane. Le feu était prêt, et une sorte de casserole en métal était déposé sur celui-ci; je me mis de suite au travail. Je ne faisais que recopier les gestes que je voyais dans ma tête et c'est après 15 minute que le liquide rouge était prêt. Je le fis boire au jeune homme, mais sans effets immédiats. C'est après quelques heures qu'il se remis sur pied avec un mal de tête effroyable. Tous étaient éblouis par ma performance et remerciaient les dieux de m'avoir mis sur leur route.

Pour me remercier le jeune homme m'offrit de beaux vêtements en soie qui me rappela comme une sensation familière; je devais être habitué à en porter. Il me proposa aussi de devenir l'alchimiste personnel de son père, se que j'accepta. C'est après un long voyage que nous arrivâmes enfin à la cité de Fentaeris, le joyaux de Déméria; j'étais éblouis par sa grandeur. Je travailla pendant plusieurs mois au service du noble qui était touché par une maladie que mes médicaments ne faisaient que soulagé tout en retardant l'inévitable. Mais il finit par mourir et je démissionna car dans le ciel qui avant était bleu éclatant, s'était changé en une marre de sang éclairé par les trois lunes qui elles aussi rejetaient une lueur sanguine. Je me rappela alors d'un elfe à la peau grisâtre et aux cheveux rouges, je ne savais pas se que cela voulait dire mais je devais découvrir qui il était et qui j'étais une bonne fois pour toute...

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*C'est bizarre que Ginounet l'ait validé sans faire d'histoires, c'est louche, je dirais.*