Une enquete qui vire au drame

Son roi venait de partir en lui laissant quelques instructions, mais qu'allait-elle bien pouvoir en faire ? Kashira se mit à réfléchir aux différentes solutions qui se proposaient à elle. Mais elle ne savait par ou commencer. Deux choix se posaient alors à elle.

Elle devait trouver quelqu'un de proche du roi qui pourrait lui donner des informations qu'elle n'avait pas. Son choix tomba sur les ambassadeurs elfes. Elle demanda une audience auprès de ceux en qui le roi avait une entière confiance et ils la lui accordèrent, ils se comptaient au nombre de trois. Elle leur parla de sa mission qui devait rester secrète mais elle ne dévoila pas tout, juste se qu'ils leur fallaient savoir pour qu'elle puisse obtenir quelque informations. Ils lui donnèrent deux noms. Celui d'un elfe qui vit à la cour de Déméria depuis la reprise du pouvoir par le Roi Phénix et celui d'un seigneure du crime.

Elle les remercia, retourna dans les appartement que lui avait donné le roi et elle ne s'attarda pas plus longtemps sur son choix. Elle se vêti de sa cape et de son épée pour ensuite sortir et prendre la direction du Quartier pauvre. Elle devait se renseigner au plus vite sur sa mission. Elle ne pris pas le temps d'arranger ses cheveux et fut donc obligée de rabattre son capuchon sur sa tête pour ne pas que l'on remarque c'est cheveux d'or, qui ferait quelque peu tache dans un Quartier aussi malfamées que le quartier pauvre.

En arrivant dans les ruelles plutot sombre du quartier, elle frissona, l'odeur nauséabonde qui y reignait la repugnait au plus haut point et la vue de ses cadavres ambulant la désolée mais l'amusait quelque peu. Elle était fière d'avoir pu se tirer de la. Mais que faisait-elle ?! Elle ne pretais même plus attention à sa mission ! Elle reprit ses esprits, oublia l'odeur et interpelle un jeune vagabond.

- Eh toi la ! Oui toi ! Viens voir par ici !

Elle l'avait interpellée de manière agressive. D'une personne à l'autre elle peut être compatissante, gentille autant que provocatrice, insolente et violente . Prétentieuse. Menteuse ou encore vaniteuse. Elle avait décidée, dans se quartier d'être violente, agressive et menteuse ainsi que manipulatrice. Elle allait commencer avec se jeune garçon qui s'avancait d'un pas lourd vers l'étrangère qu'elle était.

-Qu'est c'qu'elle veut la Dame ?

- Pourrait tu me dire ou se situe la Taverne du Pavé Fendu ?

- La Taverne du Pavé Fendu qu'elle veut la M'dame ? Faut continuer tout droit sur cette routeet ensuite quand vous pouvez plus avancer vous regarder vers la gauche et là la M'dame elle trouvera c'qu'elle cherche!

Sur ceux l'enfant s'enfui s'en demander son reste. Kashira qui s'était accroupis se releva passa un coup sur sa cape et entrepris de chercher cette maudite taverne. Elle marcha encore et encore, la rue lui semblait interminable. Elle allait s'adresser de nouveau à un mendiant lorsqu'une drole de bête la fit trébucher et tomber la tête la première dans une flaque dégoutante. Elle se releva en grognant après cette idiote de bête et regardant devant elle, elle vit se dressait une espèce de vieille baraque brûlée puis se tournant vers la gauche elle se mit à rire nerveusement.

- Fichu taverne ! marmonna t-elle pour elle meme.

Elle passa une main sous sa cape, tira un mouchoir et debarbouilla son visage plein de crasse. La Taverne du Pavé Fendu se
dressait devant elle. Elle était un peu plus grande que les autre qu'elle avait croisée et elle était beaucoup plus bruyante. Elle se releva passa un coup sur sa cape puis elle fit un entrée quelque peu discrète du moins elle le crut, seulement son capuchon était tombée révélant sa chevelure dorée ...

- ...

Soudain tout n'était plus qu'ombre autour d'elle, il n'y avait plus aucun bruit et tout les regards étaient tournées vers c'elle qui venait de faire une irruption quelque peu étrange. Une question se posait dans tout les esprit, " Que fait une jeune femme blonde de bonne famille apparement dans les quartiers aussi pauvre ? ". Pour échapper aux regard insistant qui pesait sur elle elle décida d'aller s'assoir au comptoir et de demander un verre d'absinthe. L'aubergiste la regarda étonné et lui tendis ce qu'elle venait de demander. Alors qu'elle prenait le verre en main tout le monde se mit à rire silencieusement. Kashira n'était pas dupe, elle sentait bien qu'ils rigolaient d'elle. Elle mis le verre à la bouche et le bu d'une seul traite. Tous la regardèrent avec étonnement, comment une femme pouvait elle boire un alcool aussi fort sans aucun effort ?! Alors qu'elle redemendait la même chose un homme vînt s'assoeir à ses cotés.

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Quel plaisir pour un elfe que de déambuler dans les rues n'est-ce pas ?
Rare sont ceux qui vous remarquent et ceux qui le font, font semblant de n'avoir rien vus. Quand à ceux qui ne remarque pas votre présence et bien ils ne savent pas que vous êtes la n'est-ce pas ?

Cheshire est un bien curieux elfe aujourd'hui et partout ou il passe, il entend toujours le même discours
"Oh maman regarde un elfe habillé en homme noble! ", 'Tiens ce curieux bonhomme a un étrange chapeau sur la tête !", "papa, papa, regarde il m'as sourit !"

Ici à Fentaeris, les rues sont en revanche, bien différentes, surtout en ces quartiers, pavé de dalles ocre-gris et humide encore. Faute à la pluie récente ayant presque commencé à nettoyer cette rue.
Après tout pour les gens d'ici un elfe n'est qu'un elfe, eusse il eut un costume de noble et un chapeau masquant ses oreilles pointues. Leur quotidiens était composé de bien pires chimères.Des Démon, anges, possessions et autres choses normalement anormales traversaient elles aussi ses rues. Cheshire en devenait anonyme, n'attirant plus l'attention sur lui pour son plus grand plaisir... ou son plus grand cauchemars, il est difficile à dire ce qu'il lui plait parfois. Une pluie grise était tombée sur la ruelle pavée d'ocre-gris, ce genre de pluie fine qui mouillerait un pelage mais salirait certainement un beau costume.

Cheshire aimait regarder la pluie tomber. Un fin rideau d'eau recouvrait le sol de pierre grise et glissante et lui donnait milles reflets d'eau. Milles éclat de soleil provenant d'une lumière sombre de la ville. Cheshire aimait le spectacle mélancolique de la pluie et se surprenait à aimer se balader dans les quartiers pauvres de Fentaeris sous cette pluie fine.

Un ange passe, sous la pluie, silhouette jeune et lumineuse d'une jeune fille mélancolique. Quelle dommage, un visage si triste sur une peau si jeune, mais quelle curiosités aussi. Une jeune demoiselle aimant se promener sous une pluie de mélancolie peu être?. Peu être la providence allait donner à Cheshire l'occasion de trouver de nouveaux éléments pour sa recherche personnelle. Un prétendu elfe suivit à pas de chats une jeune elfe de loin, un elfe noble et chapeauté suivait une elfe noble et encapuchonnée, étrange non ? Il suivait la demoiselle aux allures grises, curieux comme un chat de savoir ce qu'elle faisait. Déambulant dans la rue, une ruelle puis l'autre elle allât vers une taverne, puis une autre et encore une autre, cherchant des informations jusqu’à ce qu'elle chute devant l'une d'entre elles. Un attroupement à l’intérieur de cette taverne se taisait, observant silencieusement l'elfe aux cheveux d'or et de lumière entrer dans la taverne et s'y diriger humm... curieux que tout cela et Cheshire est un chat curieux n'est-ce pas ?

Un problème survint, la foule était dense et la jeune femme s'y était engouffrée facilement. Cheshire ne pouvait s'y risquer sous peine de recevoir quelques coup de couteaux mal placés dans cete taverne mal famée. Oh oui en foule les humains sont stupides et ivres ils attaquent n'importe qui et cheshire ne voulait pas finir dans la rubrique des chats écrasés, ça non. Mais perdre sa cible, son jouet, si bêtement, voila de quoi être vert, ça tombe bien pour un chat qui aime le jeu du chat et de la sourie n'est ce pas ?

Il entrât donc dans la taverne, soupirant pour son costume qui venait à peine de se tacher et s'immisçât dans la foule pour allez vers le comptoir, d'une manière peu discrète mais assurant qu'il serais remarqué de l'elfette et passerais juste pour un elfe fou aux yeux des autres.

"pardon, excusez moi, oups, mademoiselle pardon, vous marchez sur mes chaussures monsieur, pardon jeune homme, je ne fait que passer, pardon mademoiselle , enlevez votre main de ma cuisse monsieur ! pardon jeune demoiselle, oh quel beau chapeau ! "

Oui... Il y avait vraiment beaucoup de monde pour ce spectacle étrange. Une elfe blonde suivie de près d'un elfe en-costumé dans une taverne humaine miteuse, dans u quartier humain miteux dans une ville humaine , non pas miteuse mais imposante. De quoi attirer les coupe-jarrets et les petits truands, pile ce qu'il faut pour en ferrer un plus gros. Car oui le chat n'est pas la par hasard. Cette elfe est son sa curiosité mais il a aussi une mission à accomplir et ce bouge mal-famé pourrais le renseigner.

Cheshire s’approchât enfin du comptoir, juste à coté de l'elfe aux cheveux dorés. Le chat s'y posa précieusement, vérifiant par avant que son siège est propre pour ne pas plus salir son beau costume. Un habit de cette qualités entaché par la crasse des bas-fond, dommage n'est-ce pas? Bien sur que oui et le chat le pense aussi. Ce fut naturellement qu'il commende au barman un duo de boissons et avec le même scandaleusement délicieux naturel qu'il tendis l'une d'elles à l'elfe a coté de lui en lui souriant de son sourire de chat.

Vous avez déjà vus un chat sourire, j’espère ? car celui-ci sourit a une elfe et, une fois la boisson prise, lui lançât d'une voix suave, d'une voix de séducteur, légèrement grave et terriblement envoutante.

" Et bien voici une compagnie quelque peu étrange ici. Les elfes sont plutôt rares dans les mauvais quartiers de Fentaeris, et plus encore les nobles. Que faites vous ici jeune femme ? Une quelconque quête, un loisir ou une partie de chasse au Bandersnach? "

Alors qu'elle redemendait la même chose un homme vînt s'assoeir à ses cotés. Un homme trés charmant, du moins elle crue que c'était un homme. En était-ce un ? En le regardant de plus prés et surtout plus attentivement elle crue distinguer des oreilles sous son chapeau, mais oui qu'il avait des oreilles, tout le monde en a ! Mais les sienne étaient différente, elles étaient ... Elle lui ôta son chapeaux, quel malotru ! Ne pas se déchapeauté dans un lieu couvert ! Honte à lui ! C'est cela qu'elle lui dirait s'il lui posait la question " Mais que faite vous donc avec mon chapeaux ?! ".

Elle lui sourit radieusement et posa le chapeaux sur le comptoire sans s'expliquer. Kashira sembla intriguée par ses oreilles; elles étaient comme les siennes. Elle fesait face à un cousin sylvain. Si elle avait fait attention à se qu'il lui avait dit, jamais elle n'aurait eu à réfléchir sur son identité. Elle revint soudain à la réalité, vida son verre d'absinthe et pris le verre qu'il lui tendait depuis quelque instant déjà. Maladroitement elle lui demanda de répéter sa phrase, qu'elle n'avait soit disant pas entendu à cause du bruit dans la taverne.

-" Et bien voici une compagnie quelque peu étrange ici. Les elfes sont plutôt rares dans les mauvais quartiers de Fentaeris, et plus encore les nobles. Que faites vous ici jeune femme ? Une quelconque quête, un loisir ou une partie de chasse au Bandersnach? "

Kashira lui sourit aimablement, on sait qu'elle peut être, d'une personne à l'autre ,compatissante, gentille autant que provocatrice, insolente et violente . Prétentieuse. Menteuse. Vaniteuse. Insolente. Violente. Mais qui a dit qu'elle ne pouvais pas être aimable et agréable à vivre ? Elle sourit donc à son incinnu au oreille pointue.

- D'ou voyez vous une appartenance à la noblesse ?

Elle lui sourit tendrement, sa voix était douce envers lui mais elle ne lui parla pas avec une voix séductrice puisque sa voix l'était à la base. Elle poussa le chapeaux vers son camarade puis vida le verre qu'il venait de lui tendre d'une traite. Elle failli s'etouffait en avalant de travers. Mais elle n'en montra rien. Elle lui sourit de plus belle et croisa ses jambes devant lui. Elle allait usée de son charme sur son bel inconnu pour trouver des informations, et peut être aussi s'amusait avec lui.

- Et surtout, comment cela se fait qu'un homme, ou du moins ... un elfe, se trouve ici à accoster ces dames ? Chercheriez vous quelques chose ?

Si lui aussi cherchait quelque chose, peut être pourrait -il bien l'aider en échange d'informations de sa part. Pendant qu'il lui répondait elle se mit à l'observer encore, son physique l'envoutais tout autant que sa voix suave quelque peu grave et surtout séductrice. Elle se sentait bizzarement emporté par sa voix, elle en oublier presque sa venue ici. Elle se ressaisie au plus vite pour ne pas laisser paraitre son effroie à cette inconnu. Elle esperait du fond du coeur qu'il pourrait l'aider d'une quelconque manière, elle avait grand besoin d'indice pour sa mission ... et de compagnie aussi ? Qui sait peut être voudra t-il l'accompagnée un bout de chemin. Ou tout le long de sa mission. Mais en avait elle la permission ? Pouvait-elle lui parlait s'en crainte ? Comment aller tourner ses phrases pour ne pas compromettre sa mission ? Elle n'ecoutais plus du tout son interlocuteur, elle était prise dans ses pensées les plus lointaine ...

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Assis tranquillement, un regard chat-rmant, ou bien chat-rmeur peu être, envers la demoiselle aux cheveux clair. Le chat la dévisage en souriant tandis qu'elle l'observe elle aussi mais d'une bien différente manière. Elle l'observe en s'attardant sur ses traits, ses cheveux et puis... ses oreilles. Le chapeau gêne à la visibilité et la porte-sabre visiblement sans-gêne le lui ôtes d'elle même, révélant des oreilles elfique et des cheveux, bien que plus cours, similaires aux siens. Les cheveux lui tombais devant les yeux, masquant à peine ses yeux bleus elfiques et montrant clairement la marque des qui caractérise la race similaire à la sienne, les haut-elfes sylvains.

Cheshire ne quitta pas l'elfe des yeux, son regard pénétrant celui de la ravissante demoiselle comme s'il ne portait aucune importance au chapeau, et pourtant l'Origine sais que Cheshire aime son chapeau, dernier cadeau du chapelier. Elle se tourne finir son verre d'une traite, après avoir poser le chapeau du chat sur le comptoir. Belle descente en passant, mais le chapeau appartient au chat et Cheshire le reprend et se recoiffe de son chapeau tandis qu'il répète, comme le lui à demandé l'elfette.

" Et bien voici une compagnie quelque peu étrange ici. Les elfes sont plutôt rares dans les mauvais quartiers de Fentaeris, et plus encore les nobles. Que faites vous ici jeune femme ? Une quelconque quête, un loisir ou une partie de chasse au Bandersnach? "

un sourire noble, un sourire elfique, un sourire sylvain se dessine sur le visage de kashira et elle lui répond simplement, essayant timidement de piger le chat.

" D’où voyez vous une appartenance à la noblesse ? "

Cheshire souri à son tour et la saluât avec son chapeau. Souriant, extravagant, comme à son habitude le chat fait tout pour être vu. Peu être est-ce la une source de plaisir que d’être reconnu même ici qui sais? Rien de pire que l'anonymat, à part peu être l’ennui. Sa réponse ne tardât pas, d'une voix suave, douce, un rien enjôleuse, en clair une voix de séducteur.

" je parlais de noblesse de race ma chère sylvaine. Les hauts-efles comme nous, les elfes sylvains sont purs et nobles de race. Je ne faisait référence à aucun titre ou aucun linéage précis."

Cheshire pris un verre auprès du barman et le tendis à la demoiselle, s'approchant un peu plus près d'elle par la même occasion. Il lui sourit de nouveau de son sourire de séducteur. Il observait l'escrimeuse également, jambes croisées devant lui, voix douce et raffinée, comme son apparence d’ailleurs. Il est évidant qu'elle cherche à le charmer un peu. Peu être le chat lui plait il après tout. L'elfe repris ses questions sur le même ton de voix suave

" Et surtout, comment cela se fait qu'un homme, ou du moins ... un elfe, se trouve ici à accoster ces dames ? Chercheriez vous quelques chose ? "

cheshire souri, vous avez déjà vus un chat sourire non ? Cheshire souri donc, amusé par cette question et répondit à la demoiselle d'une voix un peu plus grave mais toujours aussi suave.

"Je n'accoste ces dames seulement si elles sont une haute-elfe sylvaine qui viens dans les quartiers les plus misérables de Fentaeris, la capitale humaine. C'est chose rare que cela à moins de chercher quelque chose de précis, à moins bien sur que ce ne soit quelqu'un. Encore que mes semblables sont de moins en moins rare sur la capitale ces temps-ci, sans doute dut à la présence de cette délégation elfique dans la capitale. Mais ils devraient se cantonnés aux beaux quartiers. Il est très dur pour des gens comme nous de passer inaperçu n'est ce pas?"

Cheshire s’approchât doucement de l'elfe, comme s'ils se connaissaient depuis longtemps et lui glissât doucement, presque à l'oreille, comme s'ils étaient amis de longue date ou amant et surtout de manière à ce qu'ils soient les seuls à entendre, et par la même occasion, reprendre l'attention de l'elfe qui semblait être ailleurs.

"je vous ai vus et je vous ai suivi pour éviter que vous vous fassiez trancher la gorge dans ce coupe-jarret. On réfléchit à deux fois avant d'attaquer une elfe accompagnée. Regardez le chauve attablé derrière moi. Sa dague est passée de son fourreau a sa mains des que vous êtes entrée. Chercher discrètement des yeux, vous en verrez au moins un autre qui attend que je vous laisse pour vous sauter dessus histoire de vous détrousser."

Cheshire s’éloignât quelque peu de la demoiselle sylvaine et lui posât une question simple, pénétrant son regard azuré dans les yeux bleus de l'elfette.

" Et vous, belle demoiselle des forêts, pourquoi êtes vous ici ? "

Alors qu'il lui répondait, elle le vit sourire puis la saluer avec haut de forme. Voulait-il la narguer ? A quoi s'amusait donc cet inconnu chapeauté ? Etrange n'est ce pas, de se poser tant de question dans une si petite tête ? N'est pas inconvennu de ne pas écouter se que son interlocuteur a à nous dire ? Pauvre Kashira, tant de chose se bousculait en elle ces dernier temps. Seulement il lui fallait se resaisir. Elle l'écoutat vaguement lui répondre ceci :

" Je parlais de noblesse de race ma chère sylvaine. Les hauts-efles comme nous, les elfes sylvains sont purs et nobles de race. Je ne faisait référence à aucun titre ou aucun linéage précis."

Elle ne pêta pas attention à sa réponse, elle l'entendit de loin pourtant, mais ne répondit rien. Puis elle le vit reprendre un verre, que buvez t-il donc ? Et pourquoi affichait il un sourire aussi angélique ? Cet elfe devait cacher quelque chose pour essayer de donner un impression de calme et de charme. Mon dieu, qu'est qu'elle allait imaginer la ?
Elle se dit pour elle même : " Kashira non de non ! Reprend toi ma fille ! "
Avait-elle parlée tout haut ? Elle regarda son interlocuteur, apparament non. Elle s'entendit lui demander.

"Et surtout, comment cela se fait qu'un homme, ou du moins ... un elfe, se trouve ici à accoster ces dames ? Chercheriez vous quelques chose ? "

Et la il refit son sourire et lui repondi encore avec sa voix de grand charmeur :

"Je n'accoste ces dames seulement si elles sont une haute-elfe sylvaine qui viens dans les quartiers les plus misérables de Fentaeris, la capitale humaine. C'est chose rare que cela à moins de chercher quelque chose de précis, à moins bien sur que ce ne soit quelqu'un. Encore que mes semblables sont de moins en moins rare sur la capitale ces temps-ci, sans doute dut à la présence de cette délégation elfique dans la capitale. Mais ils devraient se cantonnés aux beaux quartiers. Il est très dur pour des gens comme nous de passer inaperçu n'est ce pas?"

Puis soudain il s'approche. Doucement ... mais surement, vers l'oreille de la jeune elfette. Kashira qui était toujours en pleine reflexion s'arreta et en oublia même de respirer. Elle regardait l'inconnu au yeux d'argent et au cheveux blond, un blond comme le sien. Arriver à la hauteur qu'il souhaitait il lui souffle au creux del'oreille:

"Je vous ai vus et je vous ai suivi pour éviter que vous vous fassiez trancher la gorge dans ce coupe-jarret. On réfléchit à deux fois avant d'attaquer une elfe accompagnée. Regardez le chauve attablé derrière moi. Sa dague est passée de son fourreau a sa mains des que vous êtes entrée. Chercher discrètement des yeux, vous en verrez au moins un autre qui attend que je vous laisse pour vous sauter dessus histoire de vous détrousser."

Elle rit nerveusement. Il se recule et la regarde en souriant et lui adresse de nouveau la parole mais la beaucoup plus simplement.

" Et vous, belle demoiselle des forêts, pourquoi êtes vous ici ? "

Il avait été si proche d'elle .... Son petit rire se perdit dans le bruit infernale que faisait, les libertines et les ivrognes, de la taverne. Elle vit l'elfe tout près d'elle plus qu'au moment ou il était venue s'asseoir à ces cotés. Il lui avait parler en la regardant droit les yeux, ce qui avait eu pour effet de faire rougir la jeune elfette. Mais elle se ressaisie aussi tôt. Les parole de son inconnu venait de la faire percuter du danger qui guettais sa mission. Doucement elle se tourna pour voir l'homme à la dague, puis en se retournant vers son elfe sylvain qu'elle dévora des yeux un instant, elle chercha l'autre source de danger sans pour autant la trouver. Elle se rapprocha à son tour de l'inconnu pour lui susurrer à l'oreille:

" Que diriez vous d'aller en discuter ailleur ? Faite comme si j'étais votre épouse, hummilié moi, faite se que vous voulez de moi, mais pas trop bien sur, devant ces hommes si vous le voulez tant que cela nous permet de sortir d'ici. Je me nomme Kashira.

Elle se recula doucement et le regarda en souriant, elle décroisa ses jambes et sortie quelque pièce de sa bourse pour payer l'aubergiste. Despièce qu'elle avait garder à l'époque ou elle buvait comme une pochtronne. Elle regarda le blondinet qui lui tenait compagnie depuis quelque temps et espéra qu'il lui vienne en aide.

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La jeune elfe sylvaine a la peau blanche rougit. Un spectacle assez plaisant et ayant un rien d'innocence pouvant faire chavirer le cœur de n'importe qui ayant un cœur. Ce genre de regard innocent et intimidé qui éveillerais l’instinct de protection de n'importe qui. La jeune escrimeuse tourne son regard derrière celui du cheshire pour regarder l'homme à la dague dans sa main gauche, posée sur son genoux, puis le chat regarde la sublime elfette replonger son regard dans les yeux du cheshire, un regard plein de désirs mais cherchant également les autres cibles.

La belle demoiselle se rapprochât du Chat du Cheshire et lui susurra elle aussi à l'oreille. Des mots qui pour tout un chacun dans cette taverne aurait passé pour des mots doux entre deux elfes liés. La vérité est qu'elle entrais dans cette comédie pour parler au Cheshire et en savoir plus sur lui et leur situation dans ce bouge qu'est cette Taverne mal famée.

" Que diriez vous d'aller en discuter ailleurs ? Faites comme si j'étais votre épouse, humilier moi, faites ce que vous voulez de moi, mais pas trop bien sur, devant ces hommes si vous le voulez tant que cela nous permet de sortir d'ici. Je me nomme Kashira."

Le chat du cheshire sourit comme un chat heureux à l'annonce de ce nom a la sonorité si délicieusement Elfique. kashira, intrigant n'est ce pas que ce nom la ? Et un brin familier aussi. Kashira, puisque tel et le nom de la ravissante elfette en face du chat, recule et regarde cheshire, attendant son geste après avoir payé sa note. Cheshire n'as pas l'intention de quitter l'auberge, enfin pas tout de suite du moins. Il reste encore beaucoup à faire ici et surtout quelqu'un de particulièrement importants à voir et aux mots particulièrement importants à entendre.

Cheshire paie son dut au barman et glisse à la ravissante elfe sylvaine, discrètement, calmement et avec son ton de chasseur séduisant.
"Attendez moi ici belle demoiselle, que je parlemente discrètement avec cet homme à la dague. Je vais essayez de les convaincre de vous laisser en paix quoi que vous fassiez en leur faisant comprendre les risques s'ils vous touchent. Je ne peut malheureusement quitter la taverne avant un moment. Un vieil ami qui m'est cher dois m'y retrouver. Un certain chapelier et je dois discuter avec lui de choses très importantes mais aussi très personnelles."

Cheshire fais un clin d’œil à l'enivrante kashira et se dirige désormais vers l'homme chauve à la dague. Cet être patibulaire est assis à coté de la cheminée. C'est d’ailleurs une bien curieuse cheminée que celle-ci. ON ne s'attarde jamais sur les cheminées de tavernes alors qu'elles ont toutes leurs histoires, leurs signes, et leurs excentricités. Par exemple celle-ci, les pierres devant l'âtre, présentent des fêlures allant du coin en bas à gauche à en haut à droite sur une série de trois pierres. Des pierres sombres, comme si elles étaient proche d'un coin légèrement brulé. Peu être une mauvaise bagarre ou une buche de bois n'ayant pas voulu finir son destin dans l'ardent fourneau de pierre de la cheminée qui sais ?

Cheshire continuait lentement sa marche vers l'homme. Plus prés le chat constatât que l'homme à la dague avait une marque sur le dos de la main. Une toile d'araignée, tatouée sur sa main gauche. Cheshire s'approche de l'homme et vas pour l'accosté quand une des personnes à coté de lui, un être à la mine tout aussi patibulaire mais à la carrure nettement plus imposante et surtout... au sabre bien apparent, lui bloqua le passage.

L'homme bloquais l’accès à son chef et attendais devant le chat souriant, qui ne quittais pas le malfrat chauve des yeux et lançât a son garde du corps à voix basse , s'assurant de ne pas être à portée d'oreille de sa belle compagnie et d’aucune personnes du coin.

"cette jeune elfe ne dois pas être touchée, voir même être en sécurité ici. Pour le moment elle m'accompagne et j'ai besoin d'elle comme elle vas avoir besoin de moi. De plus il serait très mauvais pour tous qu'une armée d’elfes sylvains viennent la chercher maintenant et ici, fourrant leur nez dans vos affaires au passage. Je dois également voir votre chef rapidement et discrètement. Dites lui que Le chat du Cheshire le cherche. Merci."

Le porte-sabre n'était pas seulement franchement patibulaire et massif, il était franchement inquiétant. Sous sa chemise d'un marron crasseux et sur ses bras découverts par les manches, déchirées depuis si longtemps que cela paraissait être la coupe naturelle du vêtement, courraient de larges tatouages noirs qui donnait à la peau du bougre l'apparence de celle d'un démon sortit des enfers. Et ce ne fût qu'un diablotin si cela n'avait été de son œil blanc comme atteint de la cataracte et un bouc qui semblait être celui du Diable lui-même. Ses cheveux gras et noirs qui tombaient sur son visage et dans son dos ne faisaient que donner à cette apparence démoniaque, une touche de sauvagerie dont il n'avait déjà plus besoin depuis longtemps pour terroriser le badaud venu s'égarer un peu trop près de la table de son ami à la toile d'araignée.

Le démon ne semble pas vraiment avoir compris le Cheshire. Ou plutôt ne pas avoir écouté le plus traître mot de ce qu'il à dit pour se contenter d'avoir l'air menaçant. Ce qui était très réussi. En revanche, l'homme à la toile d'araignée tatouée sur sa main avait parfaitement écouté sans arrêté de boire et alors qu'il reposait sa chope sur la table son porte-sabre s'écarta suffisamment pour que Cheshire et même Kashira, de part ses sens aiguisés, puissent le voir sans trop de difficultés. Il s'agissait d'un faux-balèze. Si au premier abord il faisait large, l'impression était dû à une épaisseur de vêtement supplémentaire ainsi qu'à son crâne chauve et sa mâchoire carrée. On devinait cependant une musculature noueuse et une absence totale d'hésitation ou de pitié qui compensait tout manque de force comparer à des personnes comme son porte-sabre.

Il ne tourne pas le regard vers Cheshire mais bois une gorgée de bière tandis qu'une chaise est poussée en sa direction du pied. On n'attend pas qu'il s'y assoit car le charmant jeune homme qui avait initialement bloqué le passage à Cheshire, s'assure de sa large main couverte de cicatrice, qu'il s'y assoit en le prenant par l'épaule et en opposant à toute résistance possible, la force gravitationnelle terrestre concentrée dans la seule épaule du pauvre chat.

- Chat du Cheshire. Déclare l'homme. Un nom compliqué, tu ne trouves pas Trave ? Demande-t-il à un homme à sa gauche, juste en face du feu en fait. Toujours est-il que l'homme, que ce Trave, opine du chef sans mot dire puis l'homme à la toile d'araignée reprends. J'ignore si je saurai me souvenir de ce nom, surtout si j'ignore à qui je dois le répéter. Qui serait mon chef selon toi chaton et quelle affaires aurais-tu avec lui dans l'hypothèse où j'aurais effectivement un supérieur auquel me reporter ? Car je pense que si j'avais un supérieur qu'un Chat voudrait rencontrer, il doit s'agir de quelqu'un d'important, qui n’a pas de temps à perdre en bouffonneries et elferies. Mais pourquoi ne pas demander à votre amie ? Puisque vous êtes si dépendants l'un de l'autre, je regretterais de devoir n'en discuter qu'avec l'un d'entre-vous.

Il se saisit de sa dague et la plante dans le bois de la table avant que le dénommé Trave ne se lève. Il se dirige vers Kashira, ses pas fluides et se place entre la jeune elfe et la sortie de l'auberge.

- Bonjour charmante demoiselle. Nos amis communs souhaiteraient vous offrir un verre, je suis sûr qu'ils seraient extrêmement déçus si vous refusiez.

L'oeil guerrier de Kashira pouvait voir que l'homme dissimulait sur lui des armes. Il ne la menaçait pas directement avec mais il était clairement un homme dangereux et pour l'heure il se tenait entre elle et la porte de sortie. Sachant que toute fuite l'amènerait à abandonner cet homme quelle venait de rencontrer, seul face à ses brutes.

Elle le vit sourit comme s'il fut heureux à l'annonce de son nom Elfique. Mais apparement il n'a pas l'intention de quitter l'auberge. Il semblerait qu'il lui reste encore beaucoup à faire ici et surtout on dirait qu'il a quelqu'un de particulièrement importants à voir.

Le voilà qui paie son dut au barman et glisse à la jeune elfe, discrètement, calmement et avec son ton si séduisant.

"Attendez moi ici belle demoiselle, que je parlemente discrètement avec cet homme à la dague. Je vais essayez de les convaincre de vous laisser en paix quoi que vous fassiez en leur faisant comprendre les risques s'ils vous touchent. Je ne peut malheureusement quitter la taverne avant un moment. Un vieil ami qui m'est cher dois m'y retrouver. Un certain chapelier et je dois discuter avec lui de choses très importantes mais aussi très personnelles."

Il lui fit un clin d’œil à Kashira et se diriga vers cette homme chauve à la dague plutôt effrayante. Cet être patibulaire est assis à coté de la cheminée. Il semblait pris dans ses pensées.

L'elfe sylvain continuait lentement sa marche vers l'homme. Ce chauve on ne peut plus effrayant. Il s'approcha encore un peu plus de l'homme et se mit sur son coté pour l'accosté quand une des personnes à coté de lui, un être à la mine tout aussi patibulaire mais à la carrure nettement plus imposante et surtout... au sabre bien apparent, lui bloqua le passage.

Kashira ne pu que s'en inquiétait, mais elle devait rien laisser paraitre. Il ne fallait pas qu'elle attire l'attention sur elle maintenant. Elle devait trouver les hommes de mains de se fichu bonhomme qu'elle recherchait en vains !

L'homme bloquais l’accès à l'elfe vers le chauve en-dagué et attendait devant lui , une sorte de rictus sur les lèvres. Il ne quittait pas l'homme chauve des yeux et lançât à son autre interlocuteur à voix basse quelque chose qu'elle ne pu entendre hélas !

Cela commencer à l'enerver. Elle ne pouvait que regardait la scène s'en savoir se qui allait se passer par la suite.

Le chauve ne tourne pas le regard vers l'elfe sylvain mais bois une gorgée de bière tandis qu'une chaise est poussée en sa direction du pied. Personne n'attend qu'il s'y assoit car l'homme qui avait initialement bloqué le passage à son nouvel ami, s'assura de sa large main apparement couverte de cicatrice pour qu'il s'y assoit. Il semblait avoir excercés une trés forte pression car l'elfe s'assit d'un coup, trés lourdement pour un elfe sylvain, même pour un elfe tout court, chez qui la grâce a toujours était de vigueur ou qu'ils soient !

Elle vit le chauve à la masse corporelle qui semblait trés ... épaisse parler avec la charmante compagnie qui l'avait accosté quelque temps plutôt. Elle n'entendait rien du tout, il y avait trop de bruit dans cette fichu taverne et il parlait beaucoup trop faiblement pour qu'elle puisse y comprendre quelque chose.

Soudain elle vit tréssaillir l'elfe et le chauve se saisit de sa dague et la planta dans le bois de la table avant que l'autre ne se lève ne se lève. Il se diriga vers Kashira, ses pas étaient fluides et il se placa entre elle et la sortie de l'auberge.

Kashira s'était d'instinct retournée vers lui sans montrer la frayeur d'une missionn qui se voué à l'echec, qui naissait en elle. Il l'interpella par ses mot avec une voix brusque et grave, pas comme se charmant elfe sylvain ...

- Bonjour charmante demoiselle. Nos amis communs souhaiteraient vous offrir un verre, je suis sûr qu'ils seraient extrêmement déçus si vous refusiez.

L'oeil guerrier de Kashira ne pouvait que voir les armes qu'il dissumulés sur lui. Il ne la menaçait pas directement avec mais il était claire pour elle que c'était un homme dangereux et pour l'heure il se tenait entre elle et la porte de sortie. Sachant que toute fuite l'amènerait à abandonner cet homme quelle venait de rencontrer, seul face à ses brutes elle ne pouvait que se pliée à sa volonté et joué de cela pour trouver les information qu'il lui fallait. Qui c'est peut être arriverait elle à quelque chose avec ces deux grosse brutes !

- Ces deux jeune gens par la bas ? Je me vois dans l'obligation de vous suivre alors, je ne voudrait pas véxé ces homme à la carrure si charmantes.

Elle lui fit son plus beau sourire enjoleur, se leva avec grâce et rejoignit la table ou était assis les deux hommes qui l'invitaient, soit l'elfe et le chauve. Elle ne demanda pas pour s'assoir, s'assit et regarda les deux hommes à tour de rôle. Elle leur dit en s'adressant au deux hommes, avec un charmant sourire.

- Il semblerait qu'on l'on requière ma présence à votre table. Alors me voici. Que puis faire pour vous ?

Elle c'était assise au plus près de l'elfe, le frôlant presque, elle avait mis ces deux mains sur ses cuisses et attendait la suite des événéments, mais par instinct elle ne pu s'empecher de prendre la main de l'elfe sous la table, le plus discrétement possible, personne ne vit son geste mais l'elfe lui, sentait sa main sur la sienne, puisqu'elle la serait avec force.

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Visiblement le lourdaud garde du corps ne semble pas écouter les paroles du cheshire. Un peu de fluorure de potassium à l'occasion devrais délier sa langue et aiguiser ses oreilles, pas beaucoup juste quelques milligramme, sans doute vingts. Leur chef, semble nettement plus fin, taillé comme un assassin prompt à utiliser sa dague, peu raffiné mais beaucoup plus direct et un regard sans pitié et sans hésitation.

Une chaise, poussée par un pied sous la table, est tendu au cheshire, qui vas pour s'y assoir avant que le lourdaud ne l'assoie de lui même... Quel rustre manque de finesse, pour lui tout compte fait ce sera cinquante milligrammes de fluorure de sodium, à l'occasion bien sur. cheshire se dit a cet instant qu'il devrais investir dans ses merveilles de sidérurgie que sont les aiguilles a corps creux.

Voila que l'homme lance sur le ton de l'ironie au Chat du Cheshire.
"Chat du Cheshire. Un nom compliqué, tu ne trouves pas Trave ? Toujours est-il que l'homme, que ce Trave, opine du chef sans mot dire puis l'homme à la toile d'araignée reprends. J'ignore si je saurai me souvenir de ce nom, surtout si j'ignore à qui je dois le répéter. Qui serait mon chef selon toi chaton et quelle affaires aurais-tu avec lui dans l'hypothèse où j'aurais effectivement un supérieur auquel me reporter ? Car je pense que si j'avais un supérieur qu'un Chat voudrait rencontrer, il doit s'agir de quelqu'un d'important, qui n’a pas de temps à perdre en bouffonneries et elferies. Mais pourquoi ne pas demander à votre amie ? Puisque vous êtes si dépendants l'un de l'autre, je regretterais de devoir n'en discuter qu'avec l'un d'entre-vous."

Le dénommé Trave quitte sa place et cheshire approche légèrement son visage de son interlocuteur, comme pour lui murmurer un secret, autant au début de la phrase du chat, le ton est léger et sa mine souriante même si le volume est suffisamment léger pour que seul eux deux entendent, autant au dernier mot, l'air du chat est nettement plus sombre, un soupçons... démoniaque, comme-ci ce simple nom provoquais une grande colère chez le chat. Les dents de celui-ci n'ayant plus rien d'elfique mais ressemblant à des crocs, pas des crocs de chat, non plutôt ceux de demi-dragons, cela ajoutais à son pouvoir de persuasion.
" Tu veux un nom? Très bien, je vais t'en donner trois. Zowin Arsechi, l’Épine Noire, et Alice..."

Cheshire se penche en arrière, appuyant son dos sur le dossier de sa chaise et l'ambiance devenue quelque peu sombre repris de sa légèreté, ainsi que la dentition du chat, redevenue parfaitement elfique en tout point. Cheshire lançât d'un air simple, joyeux et souriant à son interlocuteur l'instant d'avant ou la belle elfette qui l'accompagnait s'asseyait à coté du chat.
"Bien maintenant vous savez qui viens voir qui et pourquoi. D'autres questions ou nous pouvons procéder mon ami ?".

Lorsque la douce Kashira s'assied à leur table, elle lançât d'un air assez simple, doublé d'un sourire particulièrement enjôleur.
- Il semblerait qu'on l'on requière ma présence à votre table. Alors me voici. Que puis faire pour vous ?

Cheshire eut un instant d’hésitation, un tressaillement que l'homme chauve a sans doute noté. Ce qu'il ne sais sans doute pas, à moins que le lourdaud derrière eux ne lui dise, c'est que Cheshire avait tressaillit en sentant un contact physique sous la table. Kashira venait d'empoigner la main du chat et la serrais avec force. Cheshire était troublé par ce contact mais essayât de ne rien laisser paraitre. Il attendais la réaction de l'homme chauve, et que la demoiselle pose ses questions, si elle en as.

L'homme à la main tatouée d'une toile d'araignée sourit tandis que Cheshire lui montre ses belles dents. Et malgré que ses dents soient jaunies par le tabac à chiquer, il semble bien plus carnassier que celui d'un véritable carnivore. Alors que Kashira s'assoit à la table, il retire sa dague de la table, retirant au passage un petit éclat de bois, creusant ainsi un éclat de propreté au milieu de la table sale de crasse et collante de bière. Trave, ricane, ce donnant un peu des air de hyène avec ses dents pas forcément toutes bien en places ou cassées qui donnent l'impression qu'il à d'avantage des crocs qu'une dentition humaine. Le tatoué écarte les bras comme si l'arrivée de Kashira était réellement un évènement à célébrer.

- Nous voilà tous réuni ! Tavernier ! Deux cruchons de bières sur mon ardoise ! L'homme semblait réellement plus accueillant soudainement et il remercia la serveuse au décolleté plongeant qui vînt servir la table d'une claque sur les fesses avant de remplir sa chope et de la boire quasiment d'une traite. Désignant ensuite Kashira de sa dague aiguisée, il demanda : Dis moi princesse, ton chat me dit que vous recherchez un certains Zowin Arsechi, c'est vrai ça ? Et qu'est-ce que t'aurais à dire de l'Épine Noire ? Et d'Alice ?

Le tatoué ne paraissait plus aussi accueillant. Ses paroles n'avaient rien de mauvaises ou spécialement méchante mais sa voix était une voix que Cheshire reconnaîtrait sans doute. Celle d'un chat qui joue avec sa proie. Une seule erreur et il fonderait sur elle sans lui laisser la moindre chance d'en réchapper. Des crocs de demi-dragon, extrêmement persuasifs lorsque l'on arbore pas une seule arme et que à l'inverse, les trois hommes non content de ne jamais avoir vu de demi-dragon, pourrait en tuer un si il le rencontraient juste pour voir si il allait mourir comme un humain. L'homme tatoué était clairement un sociopathe. Intelligent, mais un sociopathe quand même. C'était un prédateur et il faudrait quelque chose d'autrement plus impressionnant que quelques dents plus aiguisées que les autres pour le persuader de faire quoi que ce soit, surtout étant donné le brave démon qui se tenait toujours derrière Cheshire, ses bras larges comme des bûches croisés sur son torse tatoué. Et c'était sans compter sur Trave. Il n'était pas le plus dangereux mais il était clairement vicieux et observait Kashira, les yeux brillants d'intérêt toute en caressant la lame d'un kriss qui ne se trouvait pas entre ses mains une seconde plus tôt.

Alors que Kashira s'assoit , l'homme retire sa dague de la table pleine de crasse et collante de bière.Elle entendit l'autre homme ricaner, un rire bizzard autant qu'étrange. L'homme qui était assis à la même table qu'elle, et l'elfe, écarta les bras comme si l'arrivée de Kashira était un événement heureux ... Puis il dit :

- Nous voilà tous réuni ! Tavernier ! Deux cruchons de bières sur mon ardoise !

L'homme semblait si accueillant soudainement. Kashira le vit remercier la serveuse avec un superbe décolleté qui vînt le servîr d'une bonne claque sur les fesses. Puis en désignant ensuite Kashira de sa dague aiguisée, et liquidant sa choppe il lui demanda :

- Dis moi princesse, ton chat me dit que vous recherchez un certains Zowin Arsechi, c'est vrai ça ? Et qu'est-ce que t'aurais à dire de l'Épine Noire ? Et d'Alice ?

Kashira était decontenencée ... Zowin ... comment l'elfe pouvait le connaitre ? Et pourquoi le cherchait-il lui ausi ? Elle sera un peu plus fort la main de l'elfe. Elle ne laissait rien paraitre de son agacement et de sa crainte. Il voulait jouer ? Nous allons donc bien nous marrer. Kashira le regarda en souriant, ôta sa cape et se pencha sur la table, le regardant d'un plus près, et lui dit :

- Zowin comment ? L'épine comment ? Et alice ? Drôle de nom que voila ! Serait mon charmant ami qui cherche ces gens ?

Elle se tourna vers l'elfe en disant ces derniers mot, un visage doux, un sourire charmeur mais des yeux plein de crainte. Elle ne connaissait pas les noms qu'elle venait d'entendre mais il sonnaient faux dans sa tête.

Elle se tourna de nouveau vers son autre interlocuteur, souriante. Elle se pencha plus près de lui pour lui souffler à l'oreille, sans que l'elfe ne puisse entendre :

- Je ne suis pas ici par pur plaisir hélas. Je ne connais qu'un seul des noms que vous venez de citer et je préférerais parler de lui. Zowin Aserchi.

Elle passe sa main dans ses cheveux en le regardant droit dans les yeux, toujours se jolie sourire sur son visage si doux. Elle s'amusait à jouer de son physique sur le chauve. Il semblait aimer les décoltés plongeant ... Elle aller le faire plonger elle aussi.

Elle se rassit normalement sur sa chaise et regarda l'elfe qui semblait ne pas apprécier le soudain rapprochement qu'elle avait eu avec l'autre. Elle mourrait d'envie de l'enmenner ailleur, pour pouvoir lui parler seu à seul, et surtout savoir d'ou il connais Zowin Aserchi . Seulement elle ne pouvait rien faire tant ces trois lourdeau lui barrer la route. Elle commencait vraiment à en avoir assez de tout cela et mourrait d'envie de leur foncer dans le tas, mais est ce que l'elfe savait se battre ? Il ne semblait pas avoir d'arme sur lui ...

Elle pris pas de décision mais était prêtte à bondir à l'action des que cela s'avérerait nécessaire. Il lui semblait que cela faisait une éternité qu'ils étaient dans cette taverne. Pendant le cours elle instant de pause qu'elle eu elle ne pu s'emppecher de repenser à son entrée quelque peu ... fracassante si je puis dire ! Et surtout à cette elfe, venu de nul part qui l'avait accosté. Qui pouvait-il bien être en réalité ? Tant de question naissant dans son esprit, elle commencer encore à se perdre au plus profond d'elle même, elle était vraiment folle de se laisser distraire ainsi mais elle s'en fichait. Comment ouvait-elle répondre à ces questions si elle ne se les posait pas elle même à soi-même ? C'est fou n'est ce pas, ce qu'un si petit être puisse se poser tant de question dans un moment pareil, mais c'est ainsi qu'est Kashira, dépourvue de bon sens et trés curieuse.

Maintenant elle reprenait ses esprit, combien de temps était elle partit dans ses pensée ? L'absinthe faisait son effet, elle regretta dans avoir bu autant d'une seule traite. Sa décision était apparement prise: Elle ne se batterais pas et ne jouerais que des ces atouts cachait ou non pour se sortir de la. Elle pris en note de plus jamais boire en mission ... Il faudrait qu'elle fasse désormais attention à ne plus retomber dans l'alcool ou le roi ne la garderais plus sous sa tutelle ...

Elle reporta son attention sur les hommes qui l'entourait et surtout sur le bel et charmant jeune homme qui l'accompagnait depuis son entré dans la taverne. Etait-ce d'ailleur à cause de lui qu'elle se retrouver assis à cette table, ou bien parce qu'elle n'avait pas été assez discrète ? Elle se secoua de l'intérieur et repris le file de l'histoire ou elle l'avait laissé, laissant ces questions vaguaient dans son esprit. Elle y répondrait plus tard.

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l'homme tatoué répond au sourire du demi-dragon par un sourire carnassier. Son sourire n'as rien de commun et ressemble d'avantage à celui d'un sourire d'homme violent qu'autre chose. Il est doté d'une série de dents jaunis, et visiblement pas que par le thé a en juger de l’haleine. La chique a aussi son rôle à jouer dans cette couleur, mais sans doute le fait qu'elles n'aient pas connu le bonheur d'un lavage depuis fort longtemps aussi, ce qui donnât comme réflexe à Cheshire de passer un doigt sous son nez. Cela n'indiquait pas une peur mais plutôt un dérangement vis à vis de l’hygiène bucco-dentaire de l'homme en fasse de lui. Cheshire avait eut l'espace d'un instant des crocs de demi-dragons dans la bouche mais ceux-ci au moins, étaient propre.

Son second, Trave, se met à rire également d'un rire sonore et jovial avec une expression de sociopathe qui attendait le bon moment pour l'égorger quand kashira, la belle elfette, nous rejoins à table. Des crocs, ou plutôt des dents cassés par légion. Déchaussées, jaunit, cassées par endroit indiquant qu'il avait reçut nombres coup et donnais une allure animale tout aussi sale à l'homme de main. Un réglisse ou un peu de nougat dur Monsieur Trave ? Vus comme c'est solide ça achèvera le travail que vous semblez avoir commencé sur vos dents avec acharnement.

l'homme, visiblement chef de cette bande de malfrats, parais accueillant à l'arrivé de kashira. Une bien fausse joie venant de lui. Mais la suite de sa phrase mis la puce à l'oreille du chat, et dieu sais à quel point c'est désagréable pour un chat que d'avoir une puce dans l'oreille. Il montre plutôt une menace, un jeu que Cheshire ne connais que trop bien. Un homme jouant au jeu du chat et de la sourie mais il choisit la mauvaise sourie. Hey monsieur-propre, il faudrait voir à ne pas piquer la sourie du chat du Cheshire.

"Dis moi princesse, ton chat me dit que vous recherchez un certains Zowin Arsechi, c'est vrai ça ? Et qu'est-ce que t'aurais à dire de l'Épine Noire ? Et d'Alice ?"

Allons bon, et la discrétion c'est pour les assassins amateurs aussi ? Crie plus fort, l’arrière-salle n'a pas bien entendu qu'on cherchais Alice ici. M'enfin voila que l'assassin a mis le chat au pied du mur.Il ne reste plus au Cheshire qu'a attendre la réaction de la belle elfette porte-sabre, se jurant un peu plus tard de couper l’intégralité de la bière avec un saut complet de fluorure de potassium, au moins leurs dents seront propres, à moins qu'il n'opte pour de la courmarine, l'odeur de foin coupée et le gout de cannelle dans la bière est si agréable. Dommage que ce soit un puissant nécrosant, on en mangerais presque tant cela rappelle la cannelle.
Le chat jouait avec l’éclat de propretés sur la table, provoquée par la dague, en pensant à tout cela, salissant le peu de propre avec la crasse environnante. L'homme attendais la réponse de l'elfette, chose qu'elle fit sans tardé d'un jolie petit air innocent.

- Zowin comment ? L'épine comment ? Et Alice ? Drôle de nom que voila ! Serait mon charmant ami qui cherche ces gens ?

Au moins la réponse est claire, elle ne connais aucuns des trois. La jeune elfette regarde toujours le chat du Cheshire en disant ça. Chat qui lui rend son sourire d'un air toujours aussi enjôleur, son sourire de séducteur mais ses yeux n'ont pas eut le temps de cachée la peur qu'il a eut lorsqu'elle ne se retournât vers lui sur le coup. Voila que la seconde d'après, la demoiselle chuchote à l'oreille de l'humain quelque chose que le Cheshire ne peut entendre, ce qui eut pour effet de marquer la table d'une griffure légère de propre la ou se trouve l’éclat au moment ou l'elfe c’était approchée de l'oreille de l'homme. De plus en se rasseyant elle use de ses charmes sur l'assassin, ceci est un jeu dangereux, très dangereux. Aussi bien pour l'elfette que pour le chat.

Kashira ne vit pas cette seconde d'égarement, occupée à susurrer à l'oreille de l'assassin mais Cheshire n’appréciait pas vraiment cette approche. Rien à voir avec la jalousie mais il aurait put la tuer lorsqu'elle fit cela. Rien à voir avec la jalousie mais l'homme risquait plus de prendre ce qu'il voulais de force et de s'en débarrasser que de lui donner des informations comme cela. Rien à voir avec la jalousie, quoique si un peu, mais juste un peu alors. Cheshire n'aimait pas voir sa sourie lui filer entre les doigts. L'elfe se rassied d'un air victorieuse puis songeuse, mais ses pupilles indiquent un élément crucial sur son état réel. L'absinthe fait effet visiblement et Kashira semble quelque peu touchée par la boisson. Allons bon autant en finir avant qu'elle ne sombre. Cheshire lançât simplement à l'homme tatoué, d'une voix sèche mais neutre.

"Bien vous avez tout les éléments qu'il vous faut pour passer aux choses sérieuses ou vous avez encore des questions, Zowin ?"

Le tatoué était autant assassin que danseuse étoile. Il était d'avantage sociopathe aux tendances meurtrières et avec une étincelle dans le regard que Cheshire identifierait sans aucun doute possible, comme étant celle du sadisme. Tant de fois déjà, il avait pût la remarquer chez d'autres assassins, quelques soient leur méthodes. Des empoisonnements long et douloureux, des enlèvement pour de longues séances de tortures, morts de douleurs. Dans le monde de l'assassinat, on ne rencontrait pas que des elfes aux belles manières ni même des êtres équilibrés. Les plus instables étaient aussi ceux qui se faisaient le plus facilement prendre mais ils ne se laissaient que rarement prendre en vie, ce qui en faisait toujours des employés viables pour ceux qui ne craignaient pas que le chien morde la main qui le nourrit. Mais il était ici question de chat, n'est-ce pas ? Le tatoué éclate bruyamment de rire alors que Kashira joue de ses charmes et il tape sur la table, appuyant son hilarité tandis que Trave ricane et que le colosse toujours derrière Cheshire ne semble pas avoir compris la cause de l'hilarité de ses comparses mais semble tout aussi peu désireux de la rechercher. C'est à peine s'il détourne son attention sur Cheshire alors que ce dernier s'adresse à lui et saisissant du pouce et de l'index le menton de la jeune elfe, il approcherait le visage de la belle. Cela permettrait à Kashira de sentir l'effluve éthylique qui émanait de cet homme mais aussi une odeur un peu plus métallique, cuivrée. Indubitablement celle du sang. Fixant la guerrière elfe droit dans les yeux, le tatoué déclarerait avec un sourire carnassier :

- Bien sûr que tu n'es pas là par plaisir. Personne ne cherche Zowin Arsechi par plaisir. Mais tu t'amuse tout de même à faire la putain. Ne joue pas à un jeu que tu regrettera de perdre poupée.

Il repousse ensuite Kashira avec une force surprenante, faisant un instant basculer la chaise de la guerrière mais sans tomber en arrière néanmoins. Remplissant sa chope, il en boit quelques gorgées et repose le contenant et sort ensuite de l'intérieur de sa veste, un petit sachet brun dont il sort un cylindre grisâtre dont il pose une extrémité au bord de ses lèvres et avec un briquet d'amadou, en allume l'autre. Il tire une bouffée de fumée qu'il garde un instant avant de la recraché face à lui sans tenir compte des émanations qui se dispersait vers les occupants de la table, répandant une odeur tout particulièrement désagréable.

- Alors dites moi, quelles affaire vous voudriez à Zowin Arsechi ? En admettant que je me sente d'aller tailler le bout de gras avec un Seigneur du Crime de Fentaeris.

Il n'allait pas les tuer. Pas pour l'instant. Il semblait être intéresser en ce qu'ils pouvaient avoir à dire. Ou juste faire durer le plaisir avant de planter sa dague au travers de cette petite main gracile qui gratte sa table et vient loger la crasse sous son ongle.

Cette homme à l'odeur de sang venait de prendre son menton entre son pouce et son index pour lui dire avec une délicatesse sournoise :

- Bien sûr que tu n'es pas là par plaisir. Personne ne cherche Zowin Arsechi par plaisir. Mais tu t'amuse tout de même à faire la putain. Ne joue pas à un jeu que tu regrettera de perdre poupée.

Elle espérait que l'elfe derrière elle n'ai pas entendu les paroles du gros balourd. L'homme la repoussa avec force et violence la faisant basculer sur sa chaise, elle se retint avec les mains sur la table de peur de tomber. Deux des trois hommes se mirent à rire. Kashira leur lanca un regard souriant. Elle se fichait eperdument des ces deux fou, en revanche l'homme derrière l'elfe l'a pertubé. Pourquoi était-il si calme ? Quelque chose ne tournait pas rond. L'homme assis à la table s'arreta de rire et leur dit à elle et à l'elfe :

- Alors dites moi, quelle affaire vous voudriez à Zowin Arsechi ? En admettant que je me sente d'aller tailler le bout de gras avec un Seigneur du Crime de Fentaeris.

Kashira se mit à rire nerveusement. Elle se leva de table faisant tomber sa chaise derrière elle. Elle se fichait éperduemment de se qui allait se passer, elle devait voir Zowin.

- J'ai pas que ça à faire. Zowin a des informations qu'il me faudrait. J'ai besoin de le rencontrée au plus vite, et seule.

Elle se tourna vers l'elfe pour lui adresser la parole.

- Je ne sais pas se que tu lui veux à Zowin, mais j'ai besoin de le rencontrer. Change d'informateur ou d'objectif, je sais pas se qu'il représente pour toi mais je dois le voir et lui parler.

Elle avait pris un regard froid pour parler au deux hommes. Elle regardait l'homme derrière l'elfe qui la regardait. Il semblait au aguets prés à bondir au moindre signe agressif envers l'un d'entre eux. Kashira lui sourit. Tourna la tête vers les deux autres hommes et regarda l'homme assis à la table avec cruautés.

- Je suis peut être une putain d'elfe, mais pas une putain. Rien à foutre de savoir qui tu es. Ni se que tu fais. On à tous nos p'tit secrets. J'ai besoin de voir Zowin pour l'entretenir d'une affaire urgente, et lui seul pourra répondre à mes questions. Tu compte m'aider, oui ou non?

La question était clair. Elle ne voulait plus rigoler. Les choses devaient bouger et vite. Cela faisait des heures qu'ils étaient tous dans la taverne et presque une bonne heure qu'ils étaient assis à cette foutu table. Ils avaient surement autre chose à fiche que de rester la.

Elle ramassa sa chaise et se rassit, seule, sans aucune aide. Elle regardait la salle la main sur sa cuisse juste à cotés de sa dague, elle fit attention à se que personne ne le voit pour ne pas faire croire à un geste agressif.

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Trave ricane, de son allure de fouine et le tatoué dont on ignore le nom ris aux éclats face aux avances de Kashira. Un rire carnassier d'un homme sale respirant l'alcool en abondance et l’hygiène oubliée depuis longtemps. Mais, chose insultante pour le chat viens de se produire. Ce vil et grossier lieutenant ne répond pas au cheshire quand celui-ci lui adresse la parole. §Il se contente de répondre sèchement à Kashira avant de la repousser sur son siège à l'en faire à moitie basculer en arrière, montrant des manières de rustre violent.

- Bien sûr que tu n'es pas là par plaisir. Personne ne cherche Zowin Arsechi par plaisir. Mais tu t'amuse tout de même à faire la putain. Ne joue pas à un jeu que tu regrettera de perdre poupée.

Allons bon, le voila qui fume à présent. Son cigarillon est d'une pestilence incommodante, rappelant un certain ancien contrat nain que le choléra a emporté avant moi. Par chance le choléra n'as pas réclamé son salaire. Puis l'homme attablé relance ses questions, questions déjà posées pour ma part et déjà répondues.

- Alors dites moi, quelles affaire vous voudriez à Zowin Arsechi ? En admettant que je me sente d'aller tailler le bout de gras avec un Seigneur du Crime de Fentaeris.

l'elfe se lève et répond à l'assassin, arrogante et colérique comme à son habitude. Mais bon elle ne fera de mal à personne. L'alcool commence à lui monter à la tête visiblement et elle semble pressée de dormir.
- J'ai pas que ça à faire. Zowin a des informations qu'il me faudrait. J'ai besoin de le rencontrée au plus vite, et seule.

Voila que la belle Kashira se retourne vers le chat et lance sur un ton sec et explicatif.
- Je ne sais pas ce que tu lui veux à Zowin, mais j'ai besoin de le rencontrer. Change d'informateur ou d'objectif, je sais pas se qu'il représente pour toi mais je dois le voir et lui parler.

L'elfette se retourne vers le tatoué et lui rétorque du même ton, visiblement énervée.
- Je suis peut être une putain d'elfe, mais pas une putain. Rien à foutre de savoir qui tu es. Ni ce que tu fais. On à tous nos p'tit secrets. J'ai besoin de voir Zowin pour l'entretenir d'une affaire urgente, et lui seul pourra répondre à mes questions. Tu compte m'aider, oui ou non?

La voila qui se rassoie, elle attend, la main posée sur la cuisse. Quand au chat? Et bien le chat répond calmement et surement, un air posé, sérieux, et très critique envers l'homme au tatouage. Il répond sur le ton d'un assassin professionnel qui relève l’exubérance et chaque fautes d'un tueur amateur.

- Il faut ouvrir ses oreilles et écouter, c'est la base de ce genre de métier. Je t'ai déjà dit au nom de qui et pourquoi je cherche ton chef. Pour rappel, je représente l'épine noire, Elizabeth Darthern m'as indiqué que je devais voir ton chef, Zowis Arsechi et que je cherche Alice. Agent qui veux la tête de ton chef vus qu'il possède des infos et certains accès sur mes contrats en cours. Contrats dont bien entendu je ne te parlerais pas même si tu continue à faire un caprice à t'en rouler par terre. J'ai mes closes de confidentialités et je reste professionnel, ce qui implique de ne pas gueuler certains éléments importants en plein milieu d'une taverne bondée d'oreilles indiscrètes. Je dois avoir ses informations et lui avoir des informations sur Alice, et toi, tu n'as pas besoin d'en savoir plus. Maintenant j’attends Zowin, tu n'as qu'as rester à écouter aux portes ta dague dans la main si tu as peur que je l'attaque ou simplement attendre ici bien sagement avec nous a pinailler pour des détails sans importances et attendre que l'Agent Alice trouve ton chef en premier.

Le chat se tourne maintenant vers Kashira, et lui répond d'un ton sec. Ayant horreur de la violence et voyant des réactions indiquant une violence mentale stupide des deux cotés.

Je me fous que tu veuilles le voir aussi et pourquoi. J'ai besoin de ses informations et je ne veux pas que tu assistes à mon entrevue avec lui. J'ai des choses confidentielles à lui dire que ça te plaise ou non. Maintenant tu restes tranquilles a cuver ton absinthe avant de tout faire dégénérer.

le dialogue avec le lieutenant allais prendre fin, il fallait discuter avec les personnes ayants les informations intéressantes et le temps ne vas pas en remontant, Alice s’éloigne au fur et à mesure que les minutes passent.

Il sourit à nouveau, un de ses sourires où la lèvre supérieur se retrousse, signe d’un rire fou empli d’une agressivité sans borne, mais à vrai dire quoi de plus drôle qu’un chat qui le prenait pour un débutant protégeant son ennemi d’un jour tout en la repoussant loin mais en voulant la garder contre lui. Le dilemme tout puissant de celui qui sait que le danger commence loin et que le savoir est la plus grande source de meurtre. A côté de cela la demoiselle aguicheuse, tellement prise par l’alcool qu’elle a déjà perdu les notions de temps et pense que ce simple dialogue a duré des heures entières alors que seul les formalités d’usage ont été échangé, c’est ici et maintenant que les choses commences, mais avance cela il faut bien rire un peux et tester ceux qui veulent voir le feu, savoir si les plonger dedans ne les tuera pas… Ou simplement, comme un chat, ne lâcher sa proie que lorsqu’elle ne bouge plus et perd donc son coté attrayant.

-“Et après monsieur se plaint que je lance des nom dans une taverne à tout bout de chant ? Un prêtre qui se fout d’Origine ! Des noms gamins, tu viens d’en balancer plus que moi, de les expliquer au mi-lieu d’une taverne, tu comptes donc tous les tuer, tous ses gens innocent qui n’ont rien fait ni deman-dé ? Que ne sont ici que pour boire une bière ou de l’absinthe, voire de l’alcool pure avant une mission d’importance capital tel que parler avec un chef de la pègre ?”

Il se retourne à présent vers la porte épée, son regard se fait encore plus sombre, puis son sourire s’éclaire alors que son regard descend pour la centième fois pour la détailler un peu plus en profon-deur :

“Non je ne suis pas là pour t’aider gamine, ce n’est pas mon rôle, tu confonds, tu es là pour m’aider, moi je ne suis pas un bénévole ou un imbécile qui ne sais profiter, Torve mange beaucoup tu sais, et à bien d’autres besoins … C’est qu’il faut le nourrir le petit.”

C’est au tour de Torve de reprendre son rire, plutôt accès sur les autres besoins en ce moment vue que le repas n’est plus d’actualité il attend que son chef pose ce qu’il a à dire, les négociations seront bientôt finit à la condition que les deux sachent si prendre, enfin les deux :

“De plus j’ai un léger, très léger souci, aucun de vous deux ne veux l’autre avec lui, hors les deux en sa-vent trop et un chef n’as pas tant de temps que ça, il ne pourra donc surement parler qu’avec un seul des deux … Qu’en dites-vous ?”

Quelle plus belle incitation à la bataille pourrait être lancée ? Pourtant à cet instant la porte s’ouvre et deux hommes entrent, hommes ou femme ils portent tous deux des vêtements de voleur, sombre et assez serrer pour le gêné aucun mouvement leur amplitude leur permet de cacher leur gestes. Tran-quillement ils vont s’assoir à une table ou un cygne en papier attend seul, un table où un homme était accoudé quelques instants plus tôt et regardais la scène avec un sourire amusé que seul un elfe aurait pu percevoir. L’un des hommes les suit des yeux avant de revenir sur ses prisonniers, après tout ce n’est pas les brigands qui manque dans cette taverne.

Le savoir mène au meurtre, le manque de connaissance mène à la perte …

» Edouard Von Casseul : l'enquête du videur Ebréché