Champs de blé

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En Stolenmark, les Chevaliers étaient la grande fierté et certainement la grande attraction, tous les petits enfants ne révaient que d'une seule chose : devenir Chevalier. Mais la défense du royaume, celle de la veuve et de l'orphelin, n'étaient pas les celles préoccupations de Chevalier. Si certains de ces hommes d'armes avaient rejoint l'Ordre par leur sang, les autres l'avaient gagné. A l'instar d'Aleksandr Ulvenslig, devenu le Chef des Chevaliers après la mort de son prédécesseur dans une guerre qui opposât les peuples de Demeria entre eux. Une guerre dont tous gardaient un mauvais souvenir.

Mais celle-ci était terminé, un nouveau Roi était monté sur le trône et les Chevaliers avaient remplit leur devoir en allant combattre pour celui-ci. Durant deux années, les Chevaliers partirent à travers tout Demeria afin de calmer les derniers troubles. Mais cela c'était il y a trois moisons déjà. Puis la nouvelle était advenu de la mort du Roi, et suivant les règles le fils prit la place du père et devient Roi à son tour par droit divin. Aleksandr ne connaissait pas personnellement cet homme qui portait la couronne mais il l'avait vu combattre. On disait de lui qu'il était une sorte de tyran mégalomane, ce que bon nombre de sujet on toujours refusé de croire. En tant que vassaux de Sa Majesté, les Chevaliers n'avaient pas le droit de douter des bonnes volontés de leur suzerain. Mais après le couronnement, dont les Chevaliers furent naturellement convié, Aleksandr eut le doute en son coeur que les temps de paix allaient sur leur fin. Il ordonnât donc à ses hommes de rejoindre leurs familles ou sinon de, tout simplement, prendre du bon temps.

Lui même profitât de cette paix, dont il craignait la fin, pour s'en retourner aux travaux des champs. De plus, cela était chaleureux pour tous de voir que le Chef des Chevaliers pouvait travailler aux champs et qu'il aidait le peuple. La fierté des gens du Stolenmark n'en devient que plus grande encore.

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Cela faisait trois jour qu' Abhorash parcourait les chemins de Stolenmark. Il avait eu une permission d' environ 1 semaine et en profitait pour se détendre, il vait laissé temporairement son poste à un autre garde au fait d' arme glorieux, bien qu' il ne le soit pas autant que ceux d' Abhorash. Au jourd' hui, Abhorash était habillé d' un pantalon noir, d' une tunique rouge ainsi que d' un cape noire, bodés de l' emblême de son Roi. Son épée finement ouvragée pendait sur le côté, tandis que son arc était acrochés à son dos. Le temps était clément, le soleil, éclairait de sa superbe ceinture dorée les champ de blé, au reflets d' or. C' était une vision presque paradisiaque. Puis il vit un chêne aussi grand qu' un maison, un chêne majestueux dont les branches couvertes de feuilles vertes donnait un peu d' ombre au voyageurs. Ahorash décidat de s' y reposrer. La température était agréable, il n' y avait pas un seul nuages en vue et les gens de cette région étaient tous trés aimable et chaleureux. S' il n' était pas chargé de la sécurité de son Roi, Abhorash se serait installé ici, sans aucun doutes. Peut-être qu' il le feras dans ses vieux jours.

Alors qu' il se reposait tranquillement, il vit une personnes d' une haute stature en train de travaillé dans un des champs. Cette personne sembait trop bien batit pour n' être qu' un simple paysan. Intrigué, Abhorash alla à sa rencontre, l' embleme du Roi ouvertement exposé.

-Bonjour fermier, la moisson est-elle bonne cette année? dit Abhorash d' un ton poli et agréable, un grand sourire aux lèvres.

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Quelle chaleur. Le soleil tapé fortement de tous ses rayons cette journée de récolte. Aleksandr œuvrait tranquillement à sa besogne, si douce à sa mémoire. Certes le travail n'était pas de tout repos, au contraire c'était éprouvant. Ce jourd'hui, un humble voyageur passa par les plaines verdoyante du Stolenmark et allât vers la direction d'Aleksandr qui travaillait avec quelques paysans.

-Bonjour fermier, la moisson est-elle bonne cette année ?, dit l'étranger d'un ton polie et souriant.

Aleksandr, quelque peu choqué et amusé par l'appellation de "fermier" se leva et observât l'homme. Face au dur labeur, le Chef des Chevaliers était sale et ressemblait plus à un vilain qu'à un véritable Chevalier, il portait de vieux habits délavé et emplit de terre sec.

Lors du couronnement du Roi Mervïn, le lendemain de la mort de son père. Tout comme les autres vassaux, Aleksandr dut se rendre au Château afin de reconnaître son suzerain, ce qu'il fit. Ce jour là il avait été présenté à Abhorash de Na'Gash qui avait été promu Capitaine de la Garde Royal, l'élite à l'unique service du Roi. Reconnaissant son interlocuteur, Aleksandr s'inclinat avec respect et lui sourit.

"Mes salutations Messire Abhorash. Effectivement, la moisson est bonne, même exellente. Peut-être ne me reconnaissez vous pas ? Il est vrai que dans de tels accoutrements, moi même en éprouve quelque mal. Je suis Messire Aleksandr Ulvenslig, Chef des Chevaliers de ces terres. Milles excuses de vous recevoir ainsi vêtu, je me permets d'aider les paysans dans leur dur labeur.

Mais dîtes moi, Messire, quelle est la raison de votre présence en ces terres ? Êtes-vous porteur d'un message de Sa Majesté ?"

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"Mes salutations Messire
Abhorash. Effectivement, la moisson est bonne, même exellente.
Peut-être ne me reconnaissez vous pas ? Il est vrai que dans de tels
accoutrements, moi même en éprouve quelque mal. Je suis Messire
Aleksandr Ulvenslig, Chef des Chevaliers de ces terres. Milles excuses
de vous recevoir ainsi vêtu, je me permets d'aider les paysans dans
leur dur labeur.

Mais dîtes moi, Messire, quelle est la raison de votre présence en ces terres ? Êtes-vous porteur d'un message de Sa Majesté ?"

Oh la boulette! Il n' as même pas reconnue l' un des hommes les plus puissants du pays! Un peu mal à l' aise et géné, Abhorash put quand répondre:

-Veuillez m' excusez, Sire Aleksandr, je ne vous avait vraiment pas reconnu! Il faut dire que j' ai rarement l' occasion de rencontrer des Chevaliers habillés en haillons...

Le chevalier lui demanda alors se que le Capitaine de la garde faisait en pleine milieu du Stolenmark.

-J' ai eu une permission d' une semaine, alors j' en profite pour voir quelque spaysage qu' offre Demeria. Je trouve d' ailleurs cette région superbe, je compte même m' y installer dans mes vieux jours.

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Le Chevalier ne put caché un sourire lorsque le Capitaine de la Garde lui répondit qu'il ne l'avait pas reconnu.

"Il n'y a pas de mal sire. Je vous l'ai dis, moi même aurait quelque mal à me reconnaître dans ces accoutrements."

Puis le Capitaine Abhorash dit à Aleksandr qu'il était en permission pour la semaine et que, de ce fait, il en profiter pour visiter les contrées de Demeria. Le Chevalier fit alors signe à un paysan qu'il s'en allait, puis il invitât sire Abhorash à faire quelques pas avec lui. Sur le chemin, accolé à une botte de paille, il récupérât son épée qu'il attachât en ceinturon.

"Suivez moi, je vous prie, Messire. Ainsi vous êtes là pour visiter nos prairies. Sachez que, au nom de tout le Stolenmark, que nous vous somme reconnaissant d'un tel intérêt. Je vous comprends certes bien, moi même aimerai visiter le Sumenïa autrement que par la guerre, tout comme bon nombre de région de Demeria... et les montagnes.... Enfin, la paix nous permet d'apprendre à connaître d'avantage les beautés du monde dans lequel nous vivons.

Ainsi vous souhaitez vivre par ici pour vos vieux jours, quel honneur que vous nous faite Sire. Je suis certain qu'un homme tel que vous pourrez aisément obtenir un fief dans le Stolenmark, et je puis vous assurer que vous serez fort bien heureux de vos gens, car les hommes du Stolenmark vont jusqu'à la fin de leurs taches. De plus, vous serez assuré que votre sécurité et celle de votre domaine sera fait par les Chevaliers, en complément de votre Ost*, bien évidement.

Excusez moi, Messire, je vois là chaumière en laquelle je vais prendre toilette afin de vous êtres de plus agréable compagnie."

Sur ceux, Aleksandr entrât dans une petite chaumière dont été posé ses effets. Après qu'il se fut lavé, Aleksandr reprit ses vêtements, non pas de villageois, mais ceux qui sied à la Chevalerie. En tant de paix, Aleksandr laissé son armure au Château du Stolenmark, mais gardait son épée partout où il allait. Etant propre et habillé plus suivant son rang, le Chevalier revint vers Messire Abhorash.

"Me voilà en un costume qui me va mieux. Allons, Sire Abhorash, je vais vous montrer juste une chose."

Aleksandr amenât donc Sire Abhorash vers une petite colline d'où il pouvait voir les champs et les paysans qui y travaillaient. Plus loin, au delà des champs, se trouvait de vers pâturages, et vers le village le plus proche, jouant sur une petite rigole en train d'étendre les linges, se trouvaient plusieurs jeunes filles qui jouaient avec l'eau.

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Lorsqu' Aleksandr eu finit de se changer, Abhorash, un grand sourire aux lèvres lui dit:

-Là, je vous reconnais tout de suite!

Puis le Chevalier emmena Abhorash dans un lieu qui dominait le paysage, à l' aller, Abhorash lui parlat:

-Vous aussi vous aimeriez visité d' autres contrées? Vous n' êtes pas le seul, moi je ne peux visiter que les terres Demeria. Mais j' aimerais tant voir plus! Les haut pagodes du peuples de Hu-Bei, les villages sylvestres des elfes ou les grandes forteresse des nains. Mais hélas, nous avons tout les deux un devoir à accomplir envers notre pays et notre Roi et...

A l' instant même ou Abhorsh vit le paysage qui s' offrait à lui, il se tut. C' était une vision paradisiaque, le Capitaine en restait bouche-bée. Au bout d' un long moment, Abhorash reussit à dire:

-Tant de beauté reunit me font presque peur!

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Aleksandr comprenait parfaitement cette soudaine nostalgie du rêve envolé qui prenait naissance dans le coeur d'Abhorash. Puis, avec cestuy là, il observât la paysage des plaines du Stolenmark.

"Notre devoir n'est pas un fardeaux, Messire. Je suis certain que Sa Majesté notre Suzerain nous permettra un jour la visite de toutes ces contrées lointaines."

C'est alors que, contemplant le paysage, Sire Abhorash avouât une presque peur face à la beauté de ces terres.

"Certes Messire... certes... Vous voyez là la principale raison de la hardiesse des Chevaliers dans les combats. Aucun d'entre nous ne veux voir ce pays ravagé, alors nous y mettons toute notre âme à sa défense et à sa protection."

Puis la serveuse d'un taverne proche arrivât avec deux chopes de bière dans les mains et les tendit aux deux sires.

"Merci bien gente dame.", dit Aleksandr en prenant sa choppe qu'il leva haut avant de boire. "Au Roi !", dit il, tout simplement, avant de boire.

"Et vous-même, Messire, quel est votre pays de naissance ?"

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Aprés les explications d' Alexandr sur le fait que les terres même de Stolenmark étaient la raison de la hardiesse des Chevalier, une serveuse arriva et leur tendit deux chopes de bières. Abhorash n' aimait pas trop les boissons alcoolisées, mais par respect pour Sire Alexandr, il s' efforca de boire sa chope apres avoir dit "Au Roi".

-Je viens de Fentaeris. Plus précisement d' une noble famille de l' aristocatrie, mais au lieu de succéder à mon père, j' ai decider de servir notre Roi.

Abhorash regarda à nouveaux le paysage, il était si feerique! S il n' était pas en compagnit d' un Chevalier qui avait jurer de ne jamais mentir, il se serait crut dans un rève.

-A Fentaeris, on nous aprend tout jeune à ne pas accordé d' importance à l' apparence. Mais je ne peux rester de marbre devant vos terres, Sire Alexandr.

Après avoir vider leur chopes et les avoir redonnées à la serveuse, les deux hommes décidèrent de faire une marche sur les sentiers de Stolenmark. En chemin ils discutaient de tout et de rien. Très vite, près de 2 heures passèrent et le soleil était sur son déclin.

-Mais dites-moi, Sire Alexandr, n' avez pas de problème au niveau du brigandages ou de la délinquances sur vos terres?

Il avait dit cela, car il se trouvait quand même sur un sentier traversant une forêt et qu' il n' étaient que deux.

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Abhorash et Aleksandr burent ensemble leurs bières avant de partir, discutaillant, sur les sentiers. Il semblait presqu'ils étaient deux vieux amis qui se retrouvaient après une longue séparation. Sire Abhorash parlât longuement sur la cité de sa naissance, Fentaeris, capitale du Royaume. Aleksandr l'avait vu quatre foi, la première foi était lors de son adoubement (il ne précisa pas le fait que c'était à l'époque de l'ancien roi), la seconde fut lors de la guerre civil (il ne s'étendit pas longuement sur ce sujet, évidement de dire qu'il avait combattu contre Mervïn), et la troisième lorsqu'il prêtât sermon au père de Mervïn, la quatrième foi était lorsqu'il avait prêté sermon à Mervïn lui même. Mais jamais il n'avait eu le temps de visiter convenablement la cité.

Puis le Capitaine de la Garde Royal semblât se tourmenter sur le détail du brigandage dans le Stolenmark, alors que le soleil était à son déclin.

"Hum... Messire Abhorash, nos terres sont relativement tranquille, il y a certes quelques troubles de temps en temps. Nous avons, hélas, le même problème que tout le monde avec la secte du Renard Blanc... Mais nous fessons notre possible pour empêcher la prolifération de la vermine. Mais ce sont là les seuls problèmes dont nous puissions nous plaindre. Le Stolenmark reste calme et lorsque brigand décide de s'attaquer à nos gens alors nous savons y remédier. Quand à la délinquance, le mot simple de Chevalier suffit à calmer les jouvenceaux les plus indiscipliné."

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Alors que je patrouillais dans les terres du Stolenmark où rien ne se passait habituellement à pars quelques disputes entre fermier grincheux ou encore des petites filles à la recherche de leurs parents, j'aperçus au loin deux formes. Je m'approcha alors et pu voir qu'il s'agissait de Sire Aleksandr accompagné d'un homme qui me disait vaguement quelque chose et que j'avais sans doute vu quelque pars; mais je n'y prêta pas grande attention et tout en me dirigeant vers mon chef tout en le saluant d'un signe de la main, un sourire joyeux aux lèvres pour finalement arriver en face du duo où je me mis à dire:

"Sire Aleksandr! quel plaisir de vous voir en cette si belle journée. Rien à signaler sur nos frontière; et qui est votre amis?."

Je regarda alors l'homme qui se tenait aux côté de mon chef pour ensuite le saluer en m'inclinant pour tout de suite après me présenter:

"Excusez mon impolitesse; salutation messire je me nomme Sire Drek De Felendil. Nous sommes nous déjà rencontrer quelque pars !? Votre visage m'est familier." je lui fis alors un grand sourire sincère.

Invité

Les rayons orange et "feu" du soleil éclairaient l'ensemble des terres du Stolenmark lorsque le jeune Drek De Felendil se présentât et fit son rapport sur la situation aux frontières. Aleksandr prit alors la parole avant que ne le fasse Abhorash, connaissant la véritable identité de celui qu'il avait fait sermon de protéger.

"Messire Abhorash, permettez moi de vous présenter une de nos jeunes recrues. Il s'agit de Messire Drek De Felendil, qui est le plus jeune Chevalier de notre ordre. Il a encore beaucoup à apprendre mais d'aucuns ne sache qu'il deviendra un grand Chevalier. Il est originaire de nos terres et est orphelin des deux parents qui sont décédé lors de la guerre civile, vous même vous savez qu'en temps de guerre nul n'est épargné même les plus humbles.

Sire Drek, permet moi de te présenter Messire Abhorash de N'Gash, Capitaine de la Garde Royale et, il me semble, Général de l'Armée du Roi. Il est certes possibles que vous vous ayez croisé alors que tu n'étais que Page ou bien même Ecuyer, cela m'étonne et me ravis que tu es si bonne mémoire, jeune ami. Une bonne mémoire a grande utilité où que l'on soit.

Sire Abhorash, comme vous en êtes témoin, nous gardons toujours nos frontières. Au moment où Sire Drek se joint à nous, vous pouvez voir sur le lointain un autre Chevalier le remplacer pour la ronde de nuit. C'est pour cela que nos terres sont en sécurité et que les Chevaliers sont prompts à rentrer en bataille."

Invité

Je regardais l'étranger quand Aleksandr se mit à parler:

"Messire Abhorash, permettez
moi de vous présenter une de nos jeunes recrues. Il s'agit de Messire
Drek De Felendil, qui est le plus jeune Chevalier de notre ordre. Il a
encore beaucoup à apprendre mais d'aucuns ne sache qu'il deviendra un
grand Chevalier. Il est originaire de nos terres et est orphelin des
deux parents qui sont décédé lors de la guerre civile, vous même vous
savez qu'en temps de guerre nul n'est épargné même les plus humbles.

"Grand chevalier, grand chevalier vous exagérez toujours Sire." Dis-je en rigolant et me grattant l'arrière de la tête.

Sire Drek, permet moi de te
présenter Messire Abhorash de N'Gash, Capitaine de la Garde Royale et,
il me semble, Général de l'Armée du Roi. Il est certes possibles que
vous vous ayez croisé alors que tu n'étais que Page ou bien même
Ecuyer, cela m'étonne et me ravis que tu es si bonne mémoire, jeune
ami. Une bonne mémoire a grande utilité où que l'on soit.

A l'énonciation de "Capitaine de la Garde Royale et, il me semble, Général de l'Armée du Roi." Je serra le poing qui se trouvait derrière ma tête pour calmer la colère qui montait en voyant l'un des serviteur dévoué de ce Chien de Mervïn. Malgré ma colère mon poing était caché et mon visage restait le même, tout aussi joyeux et je me força à dire:

"Enchanté de vous revoir Messire Abhorash de Na'Gash."

Invité

Abhorash rendit son sourire à Drek et répondit.

-Enchantée moi de même Sire Drek, c' est un honneur de vous rencontrer, et je suis désolée à propos de la mor de vos parents... J' imagine que cela ne doit pas être facile de vivre avec cela sur le dos. Mais je tiens à rajouter une précision, dit-il en se tournant vers Aleksandr, je ne suis que capitaine de la garde. Général c' était avant d' avoir ce poste.

Maintenant que les présentations étaient faîtes, les 3 militaires continuerent à marcher.

-Donc le Stolenmark est une région très tranquille. Vous avez bien de la chance Messire Aleksandr. Vous avez l' une des plus belle et calme région de Démeria.

Invité

Aleksandr fut étonné et heureux de voir que Drek restait tranquille. Le Chef des Chevaliers sourît alors en reconnaissant son manque de renseignement sur le fait qu’Abhorash avait été Général d’ Armée puis promu Capitaine de la Garde Royale par la suite. Puis les trois hommes recommencèrent à marcher sur les sentiers mais de plus en plus le ciel devenait sombre.

-Donc le Stolenmark est une région très tranquille. Vous avez bien de la chance Messire Aleksandr. Vous avez l'une des plus belle et calme région de Démeria.

"Oh, vous savez Messire, le Stolenmark est comme moultes autres régions de Demeria. Mais, avec tout l'amour que j'ai pour ces terres, il me semble qu'il y a aussi plusieurs magnifisance tant en Demerai qu'en d'autre endroit... je pense, entre autre, aux Montagnes Célestes, que je n'ai vu que de loin ; les plaines de Fealendis, les forêts. Puis, j'ai combattu au Royaume Thalûn qui est, aussi, une contrée enchanteresque. Pour ce qui est du Sumenïa... je n'ai pas eu le temps de voir le paysage.
En outre, je suis intimement convaincu qu'il y a moulte paysage magnifique dans les autres contrées du Monde... comme l'archipel d'Elvem Adisïl, que je n'ai, hélas, jamais vu."

Aleksandr observât alors le ciel qui s'assombrissait, la nuit allait bientôt tombé.

"Messires, nous devrions rebrousser chemin et nous diriger vers le Château. Sire Abhorash, nous ferrez-vous l'honneur d'être notre hôte ce soir ?"

Puis, Aleksandr observât Drek devinant facillement ce que celui-ci pouvait penser de cette invitation.

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-Ne vous en faîtes pas, Sire Aleksandr. Vous aurez, je suis sûre, l' occasion de voir ses contrées un jour au l' autre. Mais j' avoue que j' aimerais enormément voir les fameuses forteresse des nains, on racontes qu' elles sont imprenable, est-ce vrai?

Puis, en effet, le soleil du jour commencait peu à peu à faire place aux ombres de la nuit. Et ses temps, même le paradis peut devenir un enfer. Puis le Maitre Chevalier lui proposat de venir aux chateau.

-J' en serais fort honorer, Sire Aleksandr.

Invité

Le capitaine me rendit mon sourire et s'excusa pour la mort de mes parents en me disant que cela devait être une épreuve difficile; je ne pu m'empêcher de lui répondre:

"Oui, très difficile surtout quand l'ont sais qui est la personne exact qui a fait une tel chose..." Je rajouta ensuite "...Heureusement que pour moi se ne sont que des soldats dont j'ignore le nom." Je me mis à nouveau à sourire.

C'est alors que les deux hommes parlaient de lieux du monde qu'ils aimeraient bien visiter et qui, semblait-être magnifique; Moi aussi j'aimerais bien visiter d'autres paysage, voir les merveilles que cache le monde. C'est alors je me souvînt d'un autre lieu mais se trouvant sur les terres de Sumenïa dont mon père m'avait parlé:

"Oui, il y a aussi une forêt remplit de cerisier d'après se que je sais sur Sumenïa. Au printemps cette forêt voit leurs fleurs pousser se qui offre une vision magnifique; j'aimerais bien y aller un jour..."

Alors que la nuit tombait Aleksandr proposa au capitaine de se joindre à eux pour le repas; à cet instant mes yeux s'écarquillèrent quelques seconde; à quoi pouvais penser le chef de Stolenmark!? Et malheureusement Abhorash accepta l'invitation, mais je ne dis rien me disant que mon maitre faisait comme il le souhaitait; après tous c'était son château.

Invité

Aleksandr savait fort bien que l'invitation à diner envers Sire Abhorash serait prise avec difficulté par le jeune Drek. Mais il n'en pouvait être autrement. Le Chef des Chevaliers savaient que le jeune Chevalier comprendrait ce geste, un jour. Ancien ennemi, maintenant Aleksandr et Abhorash avaient le même maître, leur Roi.

Ainsi les trois hommes d'armes repartirent du chemin pour se diriger vers le Château. Comme tous les soirs, les Chevaliers n'étant pas de garde de nuit sy regrouperont afin de déguster les mets qu'offre la terre. Riant, chantant et parlant de tout et de rien (mais évitant les sujets comme la politique et la religion). Sire Abhorash, bien que non membre de l'Ordre des Chevaliers du Stolenmark, était l'auguste invité du diner du soir.

Les rayons chotoyant du soleil couchant passèrent, pour la dernière foi de la journée, sur les plaines du Stolenmark. Au sommet du soleil, avant qu'il ne disparèsse totallement, une pointe verte de fit voir l'espace d'un instant. Puis disparut l'astre du jour, laissant à la lune le soint de garder son oeil grand ouvert sur le Monde. Les ténébres entèrent donc dans les plaines alors que les lumières des torches du Château se fessaient voir.

Après avoir traversé les champs, le petit groupe pénétrât dans le Château où Aleksandr les menat jusqu'à la salle de banquet.

La Salle de Banquet

» Crépuscule entre deux champs.