Défense interieure

Invité

Chung-zui et chan wei long, ministre de la défense et ministres des affaires intérieurs prirent la décision de préparez la défense. Sur chaque rempart, chaque hommes était placé, les canons prêt à jetez une volée d'explosion sur chaque attaquant. La population était prévenue que la cité etait en état d'urgence. et chaque soldat se mit à son poste prêt à parer toute éventualité. Des messagers furent envoyés dans les campagnes d'hù-bei, pour prévenir chaque garnisons de se préparer à une attaque. Et chaque frontière d'hù-bei eût une garde doublée et les soldats d'hù-bei commencèrent à patrouillez dans la campagne et sur les cotes de Hù-bei par grand nombre.

L'automne était bien présent sur l'île de Sumenïa alors que sur Déméria, il y aurait encore quelques semaines d'ensoleillement. Sur le côté Est des remparts dorés, un soldat montait la garde. Son nom était Pin'pïm n'était qu'un simple soldat sans histoire, une femme, un petit garçon et deux filles, quelques amis à la garnison avec qui il buvait un verre d'alcool de riz de temps à autres.

Mais ce jour là le ministre de la défense et celui des affaires intérieures avaient ordonnés l'état d'urgence et avaient déployés la flotte le long des côtes de Sumenïa. La quasi-totalité des soldats se retrouvait donc sur le pied de guerre.

Pin'pïm maudissait les ministres qui le faisaient monter la garde par ce froid automne venteux. Mais c'était un bon soldat et il obéissait aux ordres. Tout ce qu'il savait c'est que les ministres qu'avaient nommé l'empereur Taeyang et en qui il semblait avoir confiance, avaient ordonné l'état d'urgence et qu'il devait obéir pour servir son pays. Ce qu'il ignorait en revanche, c'était que de nombreux autres soldats obéissaient comme lui mais ce posaient cette question, pourquoi ?

Mais à cette question s'ajoutait la peur de la population, en effet, ils craignaient pour leurs vies et dans les tavernes on parlait déjà d'une possible guerre. La cité de Hù Beï était une fourmilière et nombreux étaient ceux qui se demandaient si Déméria viendrait y donner un coup de pied

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1 mois et deux semaines plus tard.
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Les soldats de Hù Beï montaient avec efficacité une garde doublée depuis maintenant près de trois semaines. Leur discipline et leur loyauté faisait qu'ils continuaient à obéir mais on ne comprenait toujours pas les ordres des ministres du très puissant Taeyang.

La nouvelle était déjà parvenue, Wuhuan avait abandonné sans raison apparente son poste de conseiller impérial, mais les hommes ne doutaient pas que l'empereur saurait ce passer de son conseiller, sans aimer leur dirigeant, ils ne le détestaient pas et avaient, pour l'instant, une confiance presque absolue en sa capacité à les sauver de la menace Démérienne et des présages des Lunes sanglantes.

Pim'pïm était à nouveau de garde sur l'un des murs d'or de la cité de la plus riche des nations et grelotait. A présent, l'hiver était bien installé et le brasero et les capes doublées de fourrure ne suffisaient plus à ce milieu d'automne bien plus froid que les autres. Un froid presque surnaturel en fait...

Mais l'instant ou les hommes prièrent ardemment Changement pour leur survie, fût à l'heure où le soleil se levait normalement. Même si une ombre continuait de le dissimuler, il apportait encore un peu de lumière. Un crépitement comme des milliers d'oiseaux qui piailleraient en même temps troubla la tranquillité qui suivait habituellement la tombée de la nuit. Il y eût ce bruit, et les soldats se tournèrent comme un seul homme vers l'est, les volets des maisons s'ouvrirent et le ministre Chung-zui ouvrit la fenêtre de sa chambre.

L'homme pâlit aussitôt et un homme entra à la volée dans sa chambre.

- Monsieur le ministre...

- J'ai vu Ping'meï... Envoyer un messager sur Déméria, il faut ramener l'empereur...

- Bien monseigneur.

Depuis le fenêtre du ministre, on pouvait voir se répandre une lumière bleue glacée se répandre dans le ciel. Sur son passage, les trois lunes semblèrent se couvrirent du même voile bleu et lorsque la lumière venue de l'horizon Nord atteignit l'horizon Sud, tout les mortels dotés d'intelligence ressentir ce même sentiment de menace.

L'armée de Malgazann était en marche.