L'Origine et le Changement
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 Texte d'Astélia la Libre

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MessageSujet: Texte d'Astélia la Libre   Texte d'Astélia la Libre Icon_minitimeSam 14 Nov - 16:40

Bonjour, je vais vous présenter un texte que j'ai créer moi même mais qui appartiens au monde féerique du Griffon noir, du Griffon blanc et du Griffon d'Argent : trilogie de l'auteur nommé Mercedes Lackey. J'aimerais partagé un avant goût de ce livre (j'ai inventé l'avant goût), mais bien sûr, certaines choses sont reprises du livre. ^^ Amusez-vous !

Ma vie était en train d'être pesée sur la balance céleste. Je marchais sans jamais penser à ma survie, vivant comme une bête, la seule chose dont je me souvenais, c'était que j'étais un homme, ou plutôt, un adolescent. Mangeant, chassant, dormant, seuls mes habits me rappelaient que j'appartenais à la race humaine. Mon pauvre corps blanc et frêle était couturé de cicatrice. Alors que je sortais d'une des maisons enflammées et détruites par Ma'ar, après quoi je m'étais rempli la pense avec le peu de nourriture que les anciens habitants de cette bâtisse avait laissé, je vis alors un Griffon. Créature 2 fois plus grande qu'un homme, avec des muscles incroyables et un magnifique plumage argenté. Il était dans les airs, virevoltant, vivant, emporté par les courants aériens. Cette belle preuve de liberté me fit pensé que, si j'étais né Griffon, je ne serait pas ici en ce moment même, avec la faim qui me tenaillait le ventre malgré le repas copieu que je venais de me 'servir'. Regardant cet être magnifique, je m'aperçu alors que quelque chose le suivait. Oui, quelque chose et non quelqu'un. Ce dernier avait un corps semblable à celui du Griffon, seulement, il allait vite, beaucoup trop vite... Un Makaars. Ces créatures étaient l'oeuvre du magicien Ma'ar, qui avait réussi à faire une sorte de copie des Griffons, seulement, les copies de ces derniers étaient beaucoup plus idiotes, obéissants au mage comme des chiens à leur maître. Alors que la créature maléfique allait agripper le dos du Griffon insouciant avec ses serres, je poussa un cri rauque qui avertit le Griffon, créature crée par le mage du silence, Urtho, énnemi de Ma'ar et qui réussi à évité le coup de peu. Juste après, le Makaars remarqua ma présence et me considéra comme un énnemi potentiel et chargea sur moi. Comme j'étais sensible aux émotions des autres, je sentis alors la rage, la colère et la stupidité de cette bête. Alors que cette dernière se jetait sur moi pour me tuer, je compris que le moment que j'attendais tant était arrivé : ma mort. Je ferma mes yeux. Alors que j'imaginait déjà la douleur que causerait les serres de la créature dans mon corps, je pris peur, mais je ne pus bouger. Mais rien de tout ceci ne se passa. Je rouvris les yeux. Je découvris alors une scène des plus éffroyables : le Griffon étais sur le corps du Makaars, qui gisait au sol, répendant son sang sur le sol. Je crus rêvé, je m'évanouis dans la neige trempée de sang.
Au matin, du moins, je pensais que c'étais le matin, je me réveilla dans un lit tout sauf moelleux, mais un lit tout de même. Combien cela faisait-il que je n'avais pas dormi dans un lit ? Dehors, j'entendis des voix, je réussi à me lever, me rendant compte que, peu à peu, je recouvrais mes habitudes humaines. En levant la toile de ma tente, j'aperçu un camp ou des soldats, des Griffons, et d'autres créatures qui m'étais inconnues vivaient. Alors, le Griffon que j'avais vu hier s'approcha de moi, me pris par le coude avec une de ses quatres pattes et commença à me diriger vers un endroit du camp sans qu'aucuns mots soient échangés. Alors que j'entrais dans une nouvelle tente, je vis un homme qui massait un autre être humain. Et c'est ici d'ailleurs que me laissa le Griffon, ne me jetant qu'un regard rempli de gratitude avant de s'éloigner. Le masseur leva ses yeux de métal vers moi et les plongèrent dans mon regard.
-Ainsi c'est toi, l'homme qui a sauvé Zagrid, mon ami Griffon d'un Makaars ?
-Euh... oui... effectivement, réussi-je avec peine à bredouiller.
Mon interlocuteur fit signe à son client que lscéance était terminée ét qu'il pouvait partir, c'est d'ailleurs ce que ce dernier fit.
-Et bien je pense pouvoir t'aider. Tu es perdu, tu ne sais pas qui tu es ni ce que tu vas faire ? Et bien sache que, si tu le désires, je pourrais te donner une utilitée.
Ceci était dit d'une façon franche et sans retenue, mais j'hochais la tête tout de même, sachant qu'il avait raison.
-Et bien je me nomme Iro et je suis un Kestra'chern, enchanté.
-Qu'est ce qu'un Kestra'chern ?
-Un Kestra'chern est un homme qui une affinitée avec les émotions et qui devient spécialiste en ce domaine. Ce n'est pas si différent qu'un guérrisseur mais il y a tout de même des différences. Dans la tente du Kestra'chern, le client oublie toutes les barrières qu'il a, et exprime ses malheurs, ses sentiments et toutes autres sortes d'émotions pendant que le Kestra'chern le fait se détendre et essaye de répondre à tous ses besoins. Seulement, pour exercer ce métier, il faut être solide à l'intérieur de soit et pouvoir supporter les problèmes des autres en plus des siens. Voilà ce que je suis...
-Moi... moi aussi j'ai un affinitée avec les émotions. Enfin, je crois...
-Intéressant...
Le Kestra'chern se retourna et fit les cents pas dans la salle, des questions remplissants sa tête. Au bout d'un certain temps, il se retournavers moi et s'exclama :
-Désires-tu que je fasse de toi mon apprenti ?
Beaucoup plus tard, je devins Kestra'chern, la guerre qui opposait Ma'ar et Urtho durait, mais les Griffons comme les hommes se battaient férocement. Un jour, alors que tous les partisans d'Urtho se réfugiait à un coin du monde pour ne pas périr sous les coups de Ma'ar, Skandranon, un vaillant Griffon mais aussi un ami d'Urtho provoqua le Cataclysme : explosion troublant le monde de la magie à jamais. Mais bien sûr, d'autres aventures se passent plus tard... Beaucoup d'autres aventures.
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