Myrina Lahmia

Comment sa enfin? Dit tout de suite que j' en ai toujours eu des moches! ^^

Sinon, voici l' histoire, et j' ai voulut mettre la fin de Neferata parce que.... J' avais envie!^^ De toute façon sa change rien au contexte!

Histoire:
Pour comprendre l' histoire de Myrina, il faut remonter loin, très loin en arrière. Au tout début de la Guerre de Malgazann.

A cette époque, la menace que représentaient les Maudits étaient grande, et l' ont savaient peu de chose d' eux et de leurs magies. Lors de la première bataille, ces derniers exterminèrent en quelques instants la plus grande cavalerie du monde, réduisant à néant tout espoirs de victoire pour les troupes Démérienne et Originelles qu' ils combattaient alors. Très vite, Les Damnés acquérir d' être invincible, et d' avoir des pouvoirs plus puissants que ceux des Dieux eux-mêmes. D' ailleurs, peux-être, les avaient-ils...

En tout cas, devant cette situation, le Conseil du Culte Originel, dirigé alors par Larana, décida d' envoyer plus de troupes. Afin d' apporter son savoir et de se rendre elle-même compte de la situation dans le Nord, la Très-Haute Prêtresse embarqua avec ses troupes dans les fiers navires du Culte. Avec elle, elle apportait la preuve vivante du soutien des Originels, à l' efforts de guerre. Mais elle ne fut pas seul parmi les plus puissant Cultistes à partir, puisqu' avec elle, elle emmenait aussi une autre femme, la précédente Très-Haute Prêtresse: Neferata Lhamia.

Cette dernière était sous le contrôle totale de Larana depuis la... livraison, de Neferata par les membres du Red Label, le navire pirate sur lequel avait embarquée la jeune femme. Le Destin jouant souvent des tours, elle se retrouva finalement à livrer bataille contre les Malgazannais, ceux qu' elle avait chercher à faire en embarquant sur le navire. Mais pas dans le situation qu' elle aurait espérée. Car Larana, craignant une tentative de rébellion de Neferata tout comme la volonté de la punir de sa traitrise, lia son esprit à deux bracelet de pierre que l' ancienne Cultiste ne pouvait enlever, sous peine de se voir réduire à moins qu' un esprit: une âme errante.

Durant de nombreuses années, Neferata combattit les Malgazannais, usant de ses pouvoirs à de nombreuses reprises. Ce fut lors de la dernière bataille, celle du désespoir, que se scella le destin de Neferata. Alors qu' elle combattait, elle se retrouva nez-à-nez avec Nodyolane La Maudite, chef des Enfants de Malgazann. Par volonté d' anéantir son ennemie jurer, par volonté de se faire racheté de ses fautes, par témérité ou bien par folie, la Prêtresse déchut entama le combat contre la Maudite.
Toutefois, bien qu' ayant récupérer les pouvoirs qu' elle avait perdue, Neferata ne fut pas de taille contre Nodyolane. Celle-çi, après une magnifique feinte, brisa en un seul coup les eux bracelet qui surmontaient les poignets de l' ancienne Originelle. A la seconde où les bracelets se brisèrent, l' âme de Neferata se sépara de son corps. Celui-çi disparut dans une intense lumière éblouissante, tandis que dans un crie d' agonie, l' âme de Neferata s' enfuya du champ de bataille.

La s' arrête l' histoire de Neferata Lahmia, la Traitresse, mais pas celle de sa lignée.

Car bien des années s' écoulèrent entre l' arrivée sur Déméria de Larana et sa.. suivante qu' était Neferata, et la bataille finale. Entre temps, quelques mois après l' arrivée des forces Elfique, Neferata et un capitaine de l' armée Hauts-Elfes tombèrent éperdument amoureux l' un de l' autre.
Ce fut lors de l' une des batailles que se livrèrent les Forces Unis et les Damnés qui cette histoire débuta: lorsque l' Elfe sauva la vie de Neferata en décapitant le maudit qui allait planter sa lame dans le torse de la jeune femme.
Après que Neferata eut supplier Larana de lui laisser quelques heures de liberté afin de vivre pleinement cet amour qui brulait en elle pour cet Elfe, et que cette dernière eut finalement acceptée, les deux amants se livrèrent charnellement l' un à l' autre. De cette union naitra un enfant. Enfant que, dés la naissance, Neferata confia une amie très proche, une guerrière mercenaire nommé Freyga Waark. Elle lui donna l' enfant, et lui demanda de l' emmener loin, loin de Déméria, loin de la guerre. Lorsqu' elle fit cela, elle désira mettre son fils, autant que son amie, à l' abri du conflits. Elle savait que jamais Freyga n' aurait refuser de sauver l' enfant de celle qu' elle avait appelée "sa sœur".

Jamais la désormais mère ne sut ce qu' il arriva à Freyga et à son enfant, mais dans l' hypothèse où elle-même ne survive pas à la guerre, elle fit promettre à son amie d' élever son enfant et de tout lui révéler propos de sa mère, lorsqu' elle aurait atteint son 16ème anniversaire.

Apparemment, Freyga réussit à quitté Déméria, et à élevé l' enfant de son amie, en faisant une bonne guerrière et une femme accomplit et sûre d' elle. Celle-çi eut des enfants, puis c' est enfants eurent à leur tour des enfants.

Puis, il y' a 30 ans, naquit Myrina, fille de Thaletris et d' un inconnu.

Élevée comme une guerrière par sa mère, comme le fut sa grand-mère et ses ancêtres avant elle, Myrina sut très tôt apprendre à se battre à main-nu, à gagner son pain quotidien, sinon se le procurer par d' autres moyens moins légaux. Entre 6 et 14 ans, la vie de la jeune fille ne fut que combat, entrainement, fuites et vols. Jusqu' au jour où, tentant de détrousser un nobles de cet argent qui pesait si lourd dans sa poches, Myrina fut prit en flagrant délit par un soldat du guet de la ville dans laquelle elle et sa mère séjournait. Immédiatement conduit au Prévot, l' adolescente sut que l' erreur qu' elle avait commise en se laissant non seulement découvrir en train de voler, mais aussi en se faisant attraper, allait lui couter chère. Et elle avait peur. Oui peur. Elle savait la sentence réservé aux voleurs dans cette région: ce faire trancher la main. Bien qu' ayant eu une éducation endurcit, Myrina sentit les larmes lui montées aux yeux tandis qu' elle s' approchait inexorablement de bureau du Prévot.

-Monsieur, nous avons surpris cette enfant en train de détrousser Monsieur de Napelais.

L' homme qui se tenait derrière le bureau leva les yeux subitement, écarquillés par la stupeur.

-Le Gouverneur?! Dit-il. Posant ses yeux sur l' enfant qui lui faisait face, le soldat eu un sourire mesquin, tandis qu' il lui répondait: Et bien cela va te couter chère ma petite. Sergent! Criat-il en reportant son regard sur le militaire, infliger la sentence.

-Bien Monsieur.

Et le sergent emmena Myrina à l' arrière du bâtiment, calmement, tandis que l' enfant qu' il tenait fermement dans ses mains criait et gesticulait comme elle pouvait afin d' éviter sa punition.
Arrivé à l' arrière, qui n' était rien d' autre qu' une petite cour de terre battu entourée d' un muret de 2 mètres, un des soldat posa un cube de bois au centre du terrain, tandis qu' un troisième amena l' épée qui allait servir à punir l' enfant. Myrina continuait de hurler, de crier, de mordre et de frapper. Elle préférait encore mourir que d' avoir la honte de subir ce châtiment. Si on l' amputait de sa main avec laquelle elle était habituée à se saisir des choses, à quoi servirait-elle? Faire cela, c' était la condamné à l' invalidité.

Toutefois, avant même que les trois soldats n' ait put forcer la main de Myrina à se poser sur le cube de bois, une figure familière surgit par dessus le muret. Myrina reconnut tout de suite la femme qui venait d' apparaitre, sa mère. Elle savait que celle-çi ne l' aurait pas abandonnée! Reprenant espoirs, Myrina, toujours sous la ferme poigne de soldat qui la tenait, encourageait sa mère tandis qu' elle combattait les deux soldats qui lui faisait face. Il lui fut facile d' ailleurs de se débarrasser de ses adversaires. Mais alors qu' elle se dirigeait d' un pas lent et mesuré, tandis que son regard d' une froideur et d' un haine non dissimulé apparaissait sur le visage de sa mère, Myrina ne vit que trop tard le soldat qui se relevait derrière elle. Ce dernier se saisit de son poignard, et avec force le lança sur la guerrière. Ainsi, lorsque Myrina vut la pointe du poignard transpercer le cou de sa mère pour réapparaitre sous le menton, elle sombra dans la folie.

Elle hurla, hurla et hurla encore, telle une possédée. Elle ne savait plus ce qu' elle faisait. Afin de la faire taire, le soldat qui la maintenait prisonnière lui frappa le crâne avec la poigne de son épée, envoyant la pauvre enfant dans les vapes. Lorsqu' elle se réveilla, elle se trouvait dans une cellule. Elle avait toujours sa main droite. Posant celle-çi contre son crâne endolorie, elle entendit des voix. Des vois qui venait de derrière le mur. Heureusement, sa cellule était munit d' une fenêtre. Elle se mit debout, alla jusqu' aux barreaux de la fenêtre et vit lors ce que jamais elle n' oublierais.
C' était la nuit, et sa mère se tenait-là, la lame du poignard toujours enfoncée dans sa gorge, mais elle était encore en vie! Elle respirait péniblement, et chaque respirations la faisait souffrir le martyr. Le soldat se tenait là, devant la femme. Il l' avait attachée à une poutre et se délectait à la regarder agonisée d' une manière si douloureuse. Mais il savait que ce qu' il faisait là était la justice, après tout, elle avait tué deux de ses compagnons, le second étant mort de ses blessures peu après lui avoir lancé le poignard. Décidant de mettre un terme à la vie de cette femme, le soldat se saisit d' une torche et l' approcha d' elle.
De nouveau, Myrina hurla. Elle supplia le soldat de ne pas faire sa, de la laisser vivre. Mais celui-çi ne l' écouta pas, et c' est sous les yeux innocent de la propre fille qui brula vive la mère. Cet évènement la marqua à jamais.

Toutefois, le soldat n' avait pas finit sa besogne. Il devait encore punir Khalina de son larcin. Mais lorsqu' il rentra dans le bâtiment, lorsqu' il mit ses mains sur les barreau de la cellule de Myrina, la vie de celle-çi bascula à jamais. Sous l' effet, de la peur, de la haine ou des deux réunit, les barreaux, ainsi que les mains du soldat se recouvrèrent de glace. Ne sachant pas comment elle faisait, Myrina ne put arrêter son acte. Le soldat ne pouvait plus retirer ses mains. La glace s' intensifia. Le soldat se mit à hurler de douleur lui aussi, car le froid était intense. Mais il était seul dans le bâtiment, et personne ne viendrais le sauver.

Lorsque Myrina réussit à stopper son acte, elle s' aperçut vite que les membres du soldat n' était plus que glace. Celui-çi pleurait tant la douleur était intense. Voyant là une occasion de se venger, l' adolescente refoula sa peur et donna un violent coup de pieds dans les mains de cet homme qui avait tué sa mère. Les mains explosèrent littéralement, ainsi que les barreaux de sa cellule.
Le soldat s' effondra sur le sol. Il avait tué sa mère par le feu, et la fille l' avait châtié par la glace. L' équilibre était rétablit.

Toutefois, de nouvelles surprise attendait Myrina juste à sa sortie de la prison. Devant elle ne se dressait pas une hais de soldat comme elle s' y attendait, mais une vieil femme aux cheveux gris qui lui souriait.

-Viens mon enfant. Il ne vaut mieux pas que tu reste là.

Pouvant mettre cela sur le compte de l' innocence, de la fatigue et de la tristesse, Myrina suivit naïvement la vieille femme. De toute façon, où pouvait-elle aller?

Dans les mois qui suivirent, Myrina fut initié à la magie Originelle par cette femme qui n' était autre qu' une Haute-Prêtresse du Culte d' Origine. De passage en ville, elle perçu la magie de Myrina lorsque celle-çi l' avait utilisé contre le soldat. Aussi, elle c' était dépêcher de ce diriger vers le bâtiment d' où provenait cette magie, mais ne fut pas surprise de tomber sur une enfant. Qui d' autre qu' un enfants pouvait se servir aussi puissamment de la magie sans s' en rendre vraiment compte?

Aussi décida-elle de la prendre sous son aile.
Le plus surprenant avec cette femme, c' était qu' elle n' appelait jamais Origine par les thermes généraux telle que Créateur ou Père de la Nature, mais par un seul nom: la Déesse. En effet, qui sait vraiment si l' Origine était une divinité masculine ou féminine? La Nature n' est-elle pas les deux? Ainsi, avait décidé que pour elle, l' Origine serait une femme. Mais cela ne changeait rien. C' était toujours la même divinité.

-La Déesse, l' Origine, crée un équilibre en tout. Le Bien et le Mal. La Naissance, et la Mort. Le Prédateur et la Proie. Sans elle, tout ne serait plus que destruction et Chaos, dit-elle à Myrina lors de son premier "cours". Elle dans tout ce qui est d' une beauté infinie, et aussi bien dans tout ce qui se décline. Écoute la Nature, c' est sa voie! Regarde la Nature, c' est son corps!

C' est ainsi que commença l' initiation de Myrina aux secrets de l' Origine, c' est-a-dire aux secrets des plantes, des animaux et, de manière plus générale, de la nature tout entière. Progressivement, elle se mit à considérer l' Origine comme sa propre mère, ainsi que la Mère de la Terre elle-même. Mais le fait d' être initier au Culte d' Origine ne se limitait à acquérir le savoir, il fallait aussi acquérir le pouvoir sur chaque élément, l' un après l' autre. Myrina s' aperçut d' ailleurs vite que l' Eau et le Vent étaient ses éléments de prédilection.

Grâce à son mentor, Myrina fut amener sur l' île Originelle. Au milieu de Professeurs et d' Érudits aussi puissants que l' était les Prêtres et Prêtresses de l' île, Myrina acquit au fils des ans puissance, connaissance et sagesse. Contrôlant beaucoup plus aisément l' Eau et le Vent, Myrina ne fit un nom dans les rangs des fidèles grâce à sa ferveur et à son potentielle. Si bien qu' à l' âge de 20 ans, elle fut désignée comme Prêtresse de l' île Originelle. De nouvelles années passèrent sous la directive du Conseil, et Myrina se rendit vite compte que son nom n' était guère apprécié sur l' île. Il était synonyme de trop mauvais souvenirs. Toutefois, sa volonté ne s' en trouva que renforcer, et elle ne travailla qu' avec plus d' ardeur, voulant prouver qu' elle n' était pas aussi folle et arrogante que l' était son aîlleul.

Finalement, ses efforts furent récompensés, et dans sa 26ème année, elle fut nommée Haute-Prêtresse. Lors de la cérémonie d' investiture, elle vit bien les visages dédaigneux voir colérique de certains des membres du Conseil. Aussi, elle jura haut et fort sa foi envers l' Origine.

Quatre nouvelle années passèrent. Les tensions envers Myrina commence à s' effacer devants ses faits d' armes et ses états de services.