L'Origine et le Changement
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 Texte d' Abhorash

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MessageSujet: Texte d' Abhorash   Texte d' Abhorash Icon_minitimeDim 24 Mai - 19:40

La chaleur était accablante en ce mois de Juillet. Depuis près de 2 mois que la sécheresse c' était abbatue sur le pays, détruisant les récoltes et faisant planer la menace d' une terrible famine, elle ne c' était pas atténuer. Au contraire elle c' était renforcée. La rouille avait sévit sur les récoltes, les puits c' étaient tarient, les fleuves c' étaient asséchés, ou étaient réduient à de minces filets d' eau, et des épidémies de peste c' étaient déclenchées dans certaines des régions les plus reculées du pays.

Deux mois que cette satanée sécheresse durait, et pas l' ombre d' une accalmie. Des villages entier se faisaient décimés par la famine et la peste, et l' Église n' avait toujours pas trouvée d' explications. Les Prêtres et les Évêques multipliaient les prières à Dieu, le suppliant de les aider, mais le Dieu des Dieux c' était étrangement tue. Plus personnes n' avaient put entendre sa parole depuis des années, ni bénéficier de vision de sa part. C' était comme si la sécheresse avait été déclenchée par lui.

Retirant cette idée de sa tête, Rialtar éperonnât son cheval afin de le faire avancer plus vite. Le sentier qu' il empruntait étaient bondée de personnes, d' animaux et de marchandises. En regardant sur les côtés, il put voir que la plupart des vignes et des olivier étaient mort, leurs troncs desséchées et leurs branches mortes s' élevaient lamentablement sur ce sol de poussières qu' était désormais cette terre jadis si fertile et verdoyante. Rialtar se rappelait encore ce qu' étaient les terres environnants Kanol voila tout juste sept ans: de vastes étendues de champs de blé dorés sous le soleil bienfaisant, des oliveraies et des vignes qui murissaient à point chaque année, de grands et riches domaines appartenant à la bourgeoisie de la cité. Aujourd' hui, les champs étaient jonchés de blés morts, les raisins étaient desséchées, les olivier morts, les domaines en ruines.
La sécheresse avait commencer six années auparavant et c' étaient répétée tout les ans. Les hivers n' avait guère été mieux, trop froid pour faire pousser les blés d' hiver. Le royaume de Setlec était saigner à blanc par cette maudite sécheresse, alors que les pays environnants n' étaient pas inquiétée.

Et c' est justement pour savoir la raison de cette sécheresse que Rialtar avait décidés de se rendre à Kanol, la plus grande cité continental du royaume, afin de rencontrer le Grand Cardinal de l' Église, qui régnait sur la cité au nom du Roi. Il espérait simplement qu' en tant que fils de Grand Noble et fervent défenseurs de la Foi, il serait autorisé à voir son Excellence sans trop de problème. Après tout, c' était son excellence lui-même qui avait quérit Rialtar de toute urgence.

Après quelque longues heures et chevaucher, il arriva enfin devant Kanol. Et elle ne ressemblait en rien à ce dont il se souvenait. Autrefois, la cité respirait le luxe et le commerce, les remparts d' un blanc presque immaculé, les hauts édifices de style baroques qui embellissait la cité et les bruit de musiques et de fêtes avaient laissés place à une cité de cauchemars. Les remparts étaient devenue noir à cause de la suie dégagée par les innombrables buchers, de nombreuses colonnes de fumée se voyaient derrière ces derniers, comme si de petits incendies ravageaient la cité et un silence peu commun pour une cité régnait. En regardant vers le ports jadis bondé de navires, Rialtar put voir qu' un blocus en interdisait l' entrée. Des dizaines et des dizaines de navires formaient une ligne continue de part et d' autre de la rade, interrompant tout commerce maritime avec la cité. Le jeune homme remarqua aussi que sur les navires étaient disposés des balistes et des catapultes, toutes pointées vers l' océan.

“Craignent-ils une attaque par la mer?”

Le port était en aussi piteux que la cité, ça et là gisaient des restes de navires incendiés dont certains, encore en flamme, projetaient leurs fumées vers la cité. De part et d' autres du port avaient étés jadis construites deux tours monumentales d' une cinquantaine de mètres de haut. D' elles, ils ne restaient que des ruines. Une troisième s' élevait encore, en plein milieu du port, bien plus imposante que le propre palais de Kanol. Haute d' une centaine de mètres, cet imposant édifices de style gothique ressemblait à une pointe d' acier pointée vers le ciel. Elles se trouvait sur un immense îlots, coupé du reste de la cité. Le seul moyen d' y accéder était d' y aller par navire.

Bientôt, Rialtar pénétrât dans la cité à travers l' une des 3 portes monumentales et entrât ainsi dans une vision de cauchemars. Jadis, les rues étaient pleines de gosses qui jouaient, de marchands étalant leurs produits aux meilleurs prix, les rues débordaient de monde et d' activité, à chaque intersection se trouvaient des danseurs, des jongleurs, des musiciens, des acrobates, les parterres de fleurs embellissaient les rues et faisaient souvent la fierté des habitants. Maintenant plus rien n' avait à voir avec ce souvenir: Les plantes ne poussaient plus, faute d' entretien, les gamins que Rialtar apercevait étaient sales et maigrichon, les marchands se faisaient rares, et ce qu' ils vendaient étaient hors de prix, plus personnes ne s' arretaient pour regarder le talents des danseurs et des acrobates.

-Kanol à bien changée... Soupirât-il.

Lui qui c' était fait une joie de revoir la cité sur laquelle régnait jadis son père au nom du Roi, lui qui avait été un jour prédestine à régner lui-même sur Kanol, ses habitants et ses champs, il ne retrouvait qu' une cité en ruines.

De nombreuses maisons avaient étés incendiées, l' infâme croix marquée à la craie blanche désignant les maisons infectées par la peste. On y trouvaient même, si l' on observait bien, des corps calcinés. Les Gardes Pestes, une sorte de branches armées de l' ordre des médecins de Kanol, avaient prient des mesures draconienne afin d' endiguer l' épidémie. Avec les soldats du Guet, ils étaient chargés de découvrir et exterminer touts les foyers de contagion.
Les visages des gens de la cité étaient tenduent, apeurés, craintifs, comme s' ils craignait que chaque personnes qu' ils rencontreraient les accuseraient de porter la maladie.

Avançant parmi les rues de la cité, Rialtar tachait de ne pas regarder les gens qu' ils croisaient, et essayaient de ne pas trop respirer, car la puanteur de la ville, amplifié par les malades et la chaleur, était tout bonnement insoutenable. Rialtar tacha d' oublier ce qu' était devenue la cité de son enfance en portant son attention sur le haut bâtiment qui dominait la ville, à l' instar de la tour qui dominait le port, le palais du gouverneur. C' était un fort, à l' architecture baroque, constitué d' un bastion haut de 90 mètres et entouré d' une muraille imposante par sa hauteur et son épaisseur. Sur ces mêmes remaprts étaient penduent les cadavres de dizaines de personnes, chacun portant un panonceau sur lequelle était écrit: “Traitre”.
A la vue de ces morts, Rialtar fit le signe de la croix, priant pour que leurs âmes trouvent le repos au Paradis, et se dirigeat vers la porte de la citadelle. Celle-çi était gardée par quatre soldats à l' uniforme rouge sang, portant chacun une lance d' environ 2 mètres de longs, et un bouclier rond.


Dernière édition par Abhorash de Na'Gash le Lun 15 Juin - 21:34, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Texte d' Abhorash   Texte d' Abhorash Icon_minitimeLun 15 Juin - 18:41

Sa y' est. Elle y était presque. Sa proie se trouvait à présent à quelques mètres d' elle. L' animal qui se dressait devant elle ne devait pasêtre très vieux, peut-être n' avait-il pas encore atteint l' âge adulte... Qui sais?

Le vant la main droite dans d' infinies précautions afin de ne faire aucun bruit, la femme qui se tenait tapit dans les brouissalles sera son poing, l' approchat de sa bouche et là, dans un simple souffle de vent, en appella à sa magie. Lorsqu' elle rouvit la main, une petite pierre s' y trouvait. Un Quartz. La pierre de la mémoire.

Cette pierre très répandut etait peut-être sans valeur, mais pour Myrina, elle était la chose la plus importante de sa vie. Pourquoi? Pourquoi? Comment une pierre si petite, si.. si... banal pouvait être d' une telle importance?

-Esprit du Loup, viens à moi! Dit la jeune femme dans un cuchotement presqu' inaudible.

La douleur qui assaillit le corp de Myrina fut intolérable et foudroyant. Afin de ne pas crier, la jeune femme fermat les yeux pour ne pas crier. Heuresement, la douleur ut de courte durée, et quad elle rouvrit les yeux, Myrina constatat avec bonheur qu' elle distinguait chaques détails de sa proie. Elle voyait parfaitement la veine jugulaire au niveau du cou de sa proie, elle entendat parfaitement le brins d' herbes se faire machés par la daim. Lorsqu' elle pourtat son regard sur ses mains, elle constatat que la pierres avait disparut, et que ses ongles était devenuent griffes. Jubilante, mais toujours aussi silencieuse et calme, Myrina se déplacat pas à pas, s' approchant toujours un peu plus de l' animal qu' elle chassait depuis des heures.

Des heures de travail, des heures de traques. Maintenant, elle allait être récompensée!

C' était le moment. Surgissat de sa couverture des buissons, Myrina se jetat sur saproie, ses crocs s' enfoussant dans la chair du daim, lui transpercant le cou. Alors que l' animal gisait au sol, agonisant, baignant dans son sang, l' étrange femme se releva, et au lieu d' achever le daim sortit une nouvelle pierre de quartz, et la posat sur le front de l' animal.

Déjà, au contact du daim, la pierre avait prit une couleur d' un rouge intense, comme s' il était chauffé à blanc. S' agenouillant près de l' animal, Myrina joignit ses mains au dessus de la pirre, fit le vide dans son esprit, et lorsqu' elle se sentit prête, touchat la pierre de ses mains redevenuent humaine.

Et ce fut de nouveaux la douleur. Elle ressentait la douleur de sa blessure, elle ressentait l' humidité du sol sur le quelle elle gisait, elle sentait le sang qui s' échappait de sa blessure.

Elle souffrait.
Elle en avait assez.
Assez de cette souffrance.
Qu' elle meure, mais qu' elle arrête de souffrir!

Et là, tout à coup, réouvrant les yeux, elle se retrouvat de nouveau devant cette animal. Elle ne souffrait plus, ne ressntait ni la douleur, ni l' humidité, ni le sang qui coulait le sang de son cou. Juste épuisée.

Elle reporat son regard sur la pierre. Celle-çi avait recouvrée sa ciouleur originelle. Mais lorsqu' elle s' en saisit, lorsqu' elle regardat sa surface lisse et rose, elle apercut clairement deux yeux qui l' observait à travers la pierre. Ses yeux n' exprimait aucune autre chose que la sérénnitude, que la satisfaction. Oui, elle avait réussit.

Elle avait attrapée une nouvel esprit: l' Esprit du Daim!
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MessageSujet: Re: Texte d' Abhorash   Texte d' Abhorash Icon_minitimeMar 16 Juin - 8:19

Critique : Comme promis voici une petite critique. Je ne vais pas m'aventurer sur le premier texte mais le second nécessite une certaine attention.

Alors tout d'abords des fautes d'orthographe. Ce n'est pas tant de l'oubli ou de l'innatention mais surtout un manque de connaissance en terme de conjugaison. Tu fais souvent la faute, à la troisième personne du singulier, le verbe prend un "t" et non pas un "s".

Abhorash a écrit:
-Esprit du Loup, viens à moi!

D'ailleurs, sur cette phrase on remarque deux autres fautes purement liées à l'informatique, on met un espace entre le tiret qui marque le début d'un dialogue et le premier mot mais aussi un espace entre le dernier mot et le point d'exclamation ou d'interrogation, pas le point simple.

Bon ensuite pour ce qui est du texte même, tu n'interesses pas le lecteur. Ne sois pas choqué, je m'explique. Même l'histoire d'une jeune femme aux étranges caâcités peut-être intéressante bien qu'elle ne fasse que tuer un daim et apparament s'approrier son esprit et ses propriétés physiques comme elle semble l'avoir fait avec un loup. Mais tes effets de styles sont mal utilisés.

Tu as tenté, à ce que je peux voir, de réutiliser certains effets de style présent dans l'exemple que j'ai donné. Des répétitions et redondances qui montent cependant en puissance (graduation), cependant tu manques un peu de vocabulaire et cela gache tout :

Abhorash a écrit:
Elle souffrait.
Elle en avait assez.
Assez de cette souffrance.
Qu' elle meure, mais qu' elle arrête de souffrir!

Tu mets trois fois le même verbe, arme toi d'un dictionnaire des synonymes lorsque tu écris, cela t'aideras, une simple réécriture change déjà toute la donne :

"Elle souffrait
C'était insuportable ! Assez !
Assez de cette douleur ! Qu'elle meure ! Que cesse le supplice !
Qu'elle s'apaise enfin !"

Sur le fond, j'ai écris la même chose mais sur la forme, je ne sais pas ce que tu en penses mais je trouve cela mieux personnellement. Les effets de style doivent porter le lecteur dans les sentiments de ton personnage. Montrer l'intensité ! Qu'elle monte ou qu'elle descende, l'intensité de ton texte est ce qui captive le lecteur.

Bon ensuite d'autre fautes de syntaxe, pas d'espace entre une apostrophe et un mot "L' Esprit du Daim" "L'Esprit du Daim" Et il me semble que c'est à peu près tout ce que je peux en dire. Il te manque en fait principalement un style d'écriture, sans ça, tout ce que tu écriras seras plat, même si tu parles de la fin du monde.
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