La Salle de Banquet

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Dans le Château, la plus grande des salles se trouvait trois tables placé de sorte qu'elle forme un U. Entre ces tables, chantaient et dansaient ménestrels et jongleurs. Aleksandr entrât dans la salle, Chef des Chevaliers, seigneur du Château et des terres du Stolenmark. Suivit par Messire Abhorash, Capitaine de la Garde du Roi et Messire Drek, Chevalier de Stolenmark. A ce moment, l'ensemble des Chevaliers présent à la table se levèrent et saluèrent leur Chef. Nul ne connaissait, ou ne reconnaissait, Abhorash.

Messire Aleksandr saluât les Chevaliers, demandant nouvelles à ceux qu'il n'avait vu de la journée. S'enquit du bien être de ses terres et de la sécurité de ses frontières. Puis il prit place au bout de la table en forme de U. A sa droite, il invitât, tout naturellement, Sire Abhorash. Drek, lui, s'assit là où il avait prit place, au coté de ses frères d'armes. Restant debout, Aleksandr présentât son hôte.

"Chevaliers ! Voici à ma droite Messire Abhorash de Na'Gash, Capitaine de la Garde Royal. Saluez le et fait lui honneur car ce soir il est notre hôte dans ce Château."

D'une seule voix alors, les Chevaliers se levèrent et dirent : "Salut à toi, Capitaine !" Là la règle du vouvoiement se fessait oublié, se soir Abhorash était l'un des leurs.

On apportât alors le repas, les pains furent installé, chaudement cuit. Suivit des pièces de viande, ce soir le menu était au sanglier, quelques légumes, des fruits venu d'ailleurs (la touche exotique du diné) et enfin le vin.

Les Ménestrels chantèrent, les jongleurs et les bouffons amusaient l'assemblée et Aleksand restait silencieux. Depuis longtemps déjà, il était amoureux de cette salle, ici il n'y avait nulle guerre, nul politique, nul religion. On y riait et on u jouait. Même dans les temps de guerre, la Paix et la Joie étaient seuls Maîtres dans la Salle de Banquet.

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Pour Abhorash, le fait d' envisager de diner avec des chevaliers l' avait d' abord un peu angoissé. Il est vrai que manger avec l' elite des hommes du Roi avait de quoi stressé le plus stoique des nobles. Puis le cliché que les chevaliers étaient tous silencieux, secrets, mystérieux, un peu comploteur même lui était tout de suite apparut à l' esprit. Mais il ne pouvait refuser une invitation de la part du Chef des chevaliers! C' est ainsi que pendant toutes la traversée, il s' inquiétait un peu sur le diner qu' il prendre. Mais à son grand étonnement et pour sa plus grande joie, les Chevaliers c' étaient tous montrer très chaleureux et affectueux. Riant, parlant, mangeant, chacun s' amusaient. La joie de vivre était à l' honneur dans cette salle. Ainsi, lorsqu' il fut présenté par Aleksandr, tout les Chevaliers lui souhaitèrent la bienvenu, et le fait qu' il le tutoyait finit de mettre à l' aise Abhorash.
Puis on apporta les mets, où la viande était à l' honneur. Mais Abhorash se contentait plus de légumes et de fruits, buvant un peu de vin pour faire plaisir, mais ne prit presque pas de viande. S' il en prit, c' était pour éviter les questions que pourrait lui poser Aleksandr, Drek ou un autres chevaliers.
Les minutes s' écoulèrent, dans la joie et la bonne humeur, les ménestrels adoucissaient l' atmosphère de leurs douces mélodies, les fous firent rire aux éclats l' assistance de leurs blagues, histoires ou pitreries. Abhorash observa les chevaliers et constata avec plaisir que chacun avaient put se maitriser façe à l' alcool. Aucun n' avaient sombrés dans l' ivrognerie. Abhorash s' amusait beaucoup et se dit que les chevaliers avaient vraiment la vie belle. Il se disait aussi qu' il ne fallait pas que la guerre touche ce pays.

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Après avoir marché sous la lune jusqu'au château, nous y rentrâmes tous trois. C'est alors que nous allâmes à la salle du banquet où une fête se déroula comme toujours aussi joyeuse et pleine de bon coeur. J'étais aux côtés de tous les chevaliers qui me dépassaient d'une tête; cela me rendait ridicule et une apparence de faiblard, se que je voulais justement. C'est alors que tous se mirent à manger et chanter avec des ménestrels ambulants en visite au château. A demi-ivre ils organisèrent un concours de bras de fer. Dans ce challenge je perdis tous mes match sous les moquerie amicales des chevaliers qui après cela décidèrent de me forcer à danser avec eux sous les applaudissement de tous le monde. C'est alors que je m'éloigna discrètement de l'agitation pour espionner le capitaine de la garde qui risquait fort d'être ma prochaine cible; mais cela serait après la fête...

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Plusieurs heures passèrent encore. Les chevaliers s'étaient montrés des hôtes formidables, doublé d'un sens de la société et d'une gentillesse exceptionnels ! Abhorash les appréciait vraiment ! Dommage.... Pourquoi dommage ? Vous en connaîtrez toutes les raisons plus tard mais pour l'heure s'était surtout l'idée de quitter ses formidables compagnons de table qui attristait le capitaine de la garde royale.

Abhorash passât la nuit dans le château d'Aleksandr et de ses chevaliers dans une chambre digne de son rang, le lit de plume d'oie étant des plus confortable et l'agréable feu qui brûlait dans la grande cheminée maintenait le froid de ce début d'automne bien à l'extérieur de la pièce couverte de tapisserie relatant les exploits de Chevaliers depuis longtemps devenus poussières. Puis le jour se levât. Après un copieux petit-déjeuner, Abhorash pensa qu'il était plus que temps de partir. Après tout, la sécurité du Roi Mervïn ne s'assurerait pas seule ! Et c'est mi-inquiet, mi-amusé par cette idée que le capitaine de la garde royale termina ses ablutions avant de s'habiller pour rejoindre la cour du château.

Après de sincères mais court souhait de revoir le plus rapidement possible les chevaliers, Abhorah prit son cheval à l'écurie, fraichement pansé et nourrit, puis, accompagné des quelques gardes venus jusqu'ici avec lui, sortit du château du Stolenmark et partit au galop vers Fentaeris.

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Le repas et la soirée se déroulèrent parfaitement, le Capitaine Abhorash avait plut et semblait avoir été charmé. On avait pratiquement oublié les terribles pertes dont il était le responsable durant la guerre civil. Apres tout, maintenant il y avait un nouveau Roi et les Chevaliers étaient à son service, l'Ordre avait renait de ses cendres et les terres étaient prospère.

Le lendemain de la soirée, Abhorash remercia Aleksandr et partit pour Fentaeris. Le Chef des Chevaliers n'avaient aucun doute sur le charme que les terres du Stolenmark avait eut dans le cœur du Capitaine de la Garde Royale, mais il y avait quelques choses qui semblait l'avoir inquiéter durant la soirée.

Aleksandr partit donc la salle à manger où était servit le petit déjeuné, il en prit un copieux, comme à son habitude, en entendant les nouvelles d'un héraut.

"Messire Aleksandr, le Roi donne un tournoi, certainement le plus grand qui fut, on dit que la récompense sera des plus merveilleuses. Mais ça, mon Seigneur, c'est la bonne nouvelle. Nos espions en Sumenïa nous informent que les guerriers de Zolt sont partit en conquête dans des terres barbares et qu'ils veulent créer une immense armée... nul doute qu’ils voudront conquérir le Royaume Demeria par la suite."

"Le Roi en est-il au courant ?", demandât le Chef des Chevaliers.

"Certainement Messire, Notre Roi à lui aussi son service d'espionnage dans les terres lointaines, nul doute qu'il est parfaitement au courant de la menace de Zolt."

"Et pourtant il organise un tournoi plutôt que de préparer les représailles... hum... La menace de Zolt ne doit pas être si grave... Je vais me rendre auprès de notre Seigneur pour le Tournoi, il nous faut montrer à notre Seigneur que les Chevaliers du Stolenmark sont parmi les meilleurs de ses terres."

Après le petit déjeuner, Aleksandr partit donc prendre ses armes et son armure, puis il allât aux Ecuries pour monter sur son destrier et partir pour la capitale du Royaume afin de participer au tournoi accompagné de quelques compagnons qui souhaitaient prouver leur valeur à leur Seigneur et à leur Roi.