L'Origine et le Changement
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L'Origine et le Changement

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 Un nouveau champion, des nouveaux chemins... [Cuiasi Naur'coru] ( en création )

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Cuiasi Naur'coru
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Cuiasi Naur'coru


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Race : BanYao
Classe : Barde / Mercenaire
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MessageSujet: Un nouveau champion, des nouveaux chemins... [Cuiasi Naur'coru] ( en création )   Un nouveau champion, des nouveaux chemins... [Cuiasi Naur'coru] ( en création ) Icon_minitimeLun 19 Déc - 14:58

Nom :
de tribu : Ovorech / appropriation actuel : Naur'coru / de scène : Eithaand / de mercenaire : Nartrhaw

Prénom :
originel : Nimgîl'coll / auto-appropriation : Cuiasi

Âge :
Selon ses souvenirs, Cuiasi estime que sa naissance remonterai à 55 années humaines environs, à deux ou trois années près.

Race :
Ban-Yao, de type renard.

Religion :
Nimgîl'coll fut éduqué dans la croyance des Originels, il y crut pendant une périodes, mais cela fait désormais bien longtemps que Cuiasi n'as plus que dédains envers ces cultes et croyances, qu'il juge inutiles au développement personnel.

Groupe :
Cuiasi a l'âme voyageuse, surtout quand il s'agit d'argent. Il demeure là où il peut obtenir les meilleurs offres de contrats et n'as donc pas de lieu ou d'attaches particulières.
Il travail souvent pour des pirates ou pour l'Ordre des Seigneurs Marchands.

Profession ( unique ) :

  • officiel : Barde, mais Cuiasi s'en sert de façade, même si cela l'amuse.
  • officieux : Mercenaire de mauvaises-passes.
    Consiste en l'obtention et la complétion de contrats pour des particuliers ; allant de la "récupération" d'un ou plusieurs objets précieux, jusqu'à la suppression d'individus "gênant" pour certains particuliers.
    Paradoxalement au manquement morale de ce travail, Cuiasi ne peut s'occuper de tâches liées aux trafiques d'êtres vivants, et se retrouve plus souvent en cause de libérations d'esclaves ou de prisonniers, qu'ils soient des êtres primitifs ou dotés d’intellect.


Description physique ( 7 lignes minimum ) :
Cuiasi mesure un peut moins d'un mètre quatre-vingt et a une masse d'environ soixante-sept kilos.
Son corps dans sa forme civilisé, grâce à ses racines ethnique, s'apparente à celui d'un humain de 20 ans, bien qu'il est vécu plus du double d'un de ces derniers.
Ses membres sont élancés et gracieux, son corps souple et fin est en fait d'une robustesse athlétique, cela lui vient des nombreuses années de travaux forcés et de survie qu'il a dut subir, ceci est aussi dut à sa grande expérience dans ses professions officieuse et officiel.
Lorsque Cuiasi est torse nue, on peut voir sa cicatrices boursouflé en forme de y tout du long de sont thorax et de son estomac, il a aussi deux cicatrices symétriques, dans le même genre, dans le bas du dos, on peut aussi entre-apercevoir les reste d'un tatouage sur sa nuque, qui représentais un soleil entravé par des chaînes.
Outre sa carrure, son charisme lui vaut le respect ou la jalousie des autres mâles, mais lui vaut bien souvent aussi, les charmes des humaines et parfois même des elfes femelles, cela vient de ses traits de visage harmonieux et parfaitement parallèles, on pourrais le prendre pour un elfe si ses oreilles étais pointus.
Certaines de ses autres caractéristiques physique instigue de la méfiance chez les autres espèces à son égard ; ses yeux d'une couleur ambre mate sont inexistant chez la plupart des citoyens de ce monde et sa pilosité ainsi que ses cheveux atteignent des degrés de rouge peut communs, ce qui contraste avec sa peau d'un blanc maladif, mais qui n'est pas du tout disgracieuse et voir même assortie à l'ensemble de sa stature.
D'autres aspect de ses traits sont plus faciles à cacher mais reste néanmoins les plus effrayants pour les espèces majoritaires et civilisées ; ses dents sont relativement affutées, ses réflexes oculaires sont particulièrement rapides, ses ongles sont incurvés vers l’intérieur et pointus, si il ne les limes pas et la très rapide évolution capillaire et de sa pilosité faciale, le font changer régulièrement de coupe de cheveux et de barbe, ce qui est d’ailleurs plutôt pratique pour son travail officieux, mais qui parait très étrange pour des personnes qui peuvent le croiser, plus d'une fois et à court terme, la même surprise survient chez ces mêmes êtres à plus long terme, suite à son vieillissement très lent.

PS : Quelqu'un serrai-t'il dans l'aptitude de me créer un avatar en rapport avec mes traits physique, de type semi-réliste de préférence.
Merci de m'envoyer un MP si vous pouvez et vous voulez m'en faire un.


Comportement ( qualités et défauts, 5 lignes minimum ) :
Malgré son lourd passif relationnel avec les humains, sa tolérance à toute épreuve lui a permit de surpasser les actes de la minorités, bien qu'il soit passé par une phase d'envie d’annihilation de cette espèce, et de pouvoir ainsi se réintégré à la société à leurs côtés.
Il a aussi un certain penchant à avoir de meilleur relations avec tout les elfes.
Son comportement par contre en ferrais frémir plus d'un ; toutes les personnes qui le connaissent, le voient comme un agréable barde, joviale et farceur, mais le reste de sa personnalité meurtrière, sournoise et pernicieuse est inconnue, car la plupart qui l'ai vue sous ce jour, ne sont plus là pour en parler, ou alors, l'ont tout au plus entre-aperçus.
Il est aussi très habile dans la manipulation des personnes qui l'entoure et, s'attachent très peut souvent aux autres, il n'hésite donc pas à se servir de ce talent pour atteindre certains de ses objectifs, quitte à peut être mettre en danger ou tuer une personne qu'il aurai manipuler.
Ce contrôle sur sa personnalité et celle des autres font de lui un véritable psychopathe, cependant le meurtre n'est pas non plus une activité qu'il apprécie particulièrement et essaye le plus souvent d'éviter de prendre des contrats d'assassinat ou de tuer des gens, même si il n'éprouve pas non plus du dégout en tuent, cette empathie provient surement de son éducation de base.
Son domaine relationnel est souvent basée sur l'argent, mais il fait des exceptions, si la personne lui semble inintéressante, et pas seulement pour sa bourse.
Ce caractère bipolaire n'est pas survenue dès sa naissance, mais suite à ses expériences vécus trop jeune.
Paradoxalement à ses activités peut morale, il déteste les inégalités et ne peut supporter l'emploie en masses d'êtres vivants dans un but commerciale, et contre leur grès. Cela lui vient aussi de ses expériences passées.
Cuiasi est aussi un "homme" de lettres et aime la littérature, l’écriture, l'art, la danse, le chant, la musique, barde oblige. Dans la plupart de ses tirades, il est fait allusion aux problèmes de sociétés, à l'incompétence des gouvernements et à l'hypocrisie des religions, mais cela ne lui vaut souvent aucunes peines, car il sait comment détourné ses sujets et éviter toutes censures, malgré cela la plupart des représentent de l'ordre n'ont nulle respect à son égard, mais heureusement, n'ont pas connaissance de ses occupations premières.
Cuiasi aime tout autant être en compagnie de femme charmante, avec un physique amicale.
Parmi ses activités illégales, Cuiasi est aussi fumeur d'opiacés et consommateur de champignons hallucinogènes, qu'ils considère comme des élévateurs d'âme. Il a aussi quelque penchants pour la cervoise et les bons vins, bien qu'il ne tienne pas l’alcool.

Pouvoirs / Magies :
Sans parler de "magies" ou de "pouvoirs", certaines compétences de Cuiasi s’apparente plutôt à des dons de la nature, fait à son corps.
En effet sa nature d'homme-renard lui permet de toujours avoir un ascendant sur n'importe quelles discussion et aussi de connaitre la vérité sur le fond de pensé d'une personne, par rapport à ses gestes ou à ses nuances vocales lors d'un discourt, sa régénération naturelle est elle aussi sur développé, en conséquence ; Cuiasi cicatrise très vite et ses organes vitales repousse comme des champignon, il a d’ailleurs subi une très longue et douloureuses expérience qui lui on démontré cette particularité, en revanche, il n'as pas la possibilité de faire repousser ses membres.
De plus, ses talents de barde lui on permit d'utiliser quelques tours grâce à la magie de contrôle et d'hypnotisme, il est donc capable de faire léviter des objet très léger de façon verticale puis horizontale très lentement, ou de faire croire à un esprit faible certaine chose à la force de son regard et de son esprit, il est aussi dans la capacité, sans utiliser de magie de réaliser quelques tours plus compliqué, comme des disparitions dans une salle aménagé par ses soins, de cracher le feu, de se libérer de certains nœuds de cordes usuels,et a une certaine propension au déguisement et à l'imitation, ce qui peut se révéler utile dans des contrats d'infiltrations, ainsi que des maitrise de base en artisanat et en utilisation d'artifices.
Son côté renard lui permet aussi dans n'importe quelle situation d'avoir une meilleur protection face aux infections alimentaires et à la plupart des maladies, sa résistance au froid est elle aussi plus accrue que celle d'un humain normale.
Sa force, sa rapidité et son agilités sont elles, légèrement supérieur aux humains, et ce, de façon constante.
Cuiasi étant un descendant de Yaos renards, est lui aussi capable de métamorphose physique, qui altère son corps de façon significatives et son esprit de façon moindre :

Il possède deux formes :

  • Civilisée
  • Primaire ou primitive

La forme civilisée, est celle qu'il emploie couramment car il est souvent en contact avec des êtres dotés d’intellects et qui ont tendance à chasser son autre forme, mais il a la capacité d'en changer à volonté, sur préparation physique et psychologique, car ces transformation lui demande un certain niveau de concentration psychique et le fatigue grandement si cette transformation est trop rapide et sort de son contrôle ; une transformation prend tout au plus une minute.
Dans sa forme primitive, Cuiasi ressemble à un renard, mais des traits physique le dissocie tout de même à un de ces animaux ; son pelage supérieur est d'un rouge anormalement vif et ses yeux reste ambré, contrairement aux yeux verts de la plupart de ces animaux. Ça carrure est alors similaire à celle d'un renard, l’empêchant de conserver tout équipements non conçu pour ses transformations.
La force qu'il possède étant sous forme civilisé, est un peut inférieur à celle dont il dispose pendant qu'il est sous cette forme, mais son agilité et sa rapidité son accrue pour la simple et bonne raison que sa taille soit réduite d'un peut plus de sa moitié.
Ses mains et pieds deviennent des pattes, l’empêchant de tenir un quelconque objet, comme une arme, ou d'escalader une parois verticale sans corniches, mais lui permette de se servir de sa puissante mâchoire et de ses griffes comme armes létales.
Sous cette forme, Cuiasi se trouve dans l'incapacité de communiquer expressément avec autres chose que des canidés, mais ces dernier le respecte et lui obéissent la plupart du temps.
Des réactions "animales" peuvent se faire sentir quand il se trouve dans cette forme, plus d'agressivité et un développement des réflexes canins survient, comme la satisfaction de son appétit, de ses hormones sexuels, l'envie d'imposer sa force et sa marque, mais ces réflexes sont mineurs et ne l’empêche pas de se contrôler.
Même sous sa forme civilisé, les canidés ont une empathie accrue envers lui, et auront tendance à le suivre et à suivre ses ordres, même si leurs réactions seront moins optimales que lorsqu'il est sous sa deuxième forme.
Cuiasi ne porte jamais de vêtements coûteux, et encore moins souvent de bottes, à cause de ses dons de lycanthropies, à part quand il joue son rôle de barde, où il est presque sure de ne pas y avoir recourt.
Il est aussi capable d'un genre de sixième sens, qui lui permet de pré sentir instinctivement un danger proche et imminent.

Peur :
Bien qu'il soit plus résistant qu'un être humain au niveau des indigestions, Cuiasi a une obsession maladive, voir une phobie à propos des aliments qui ont passés un certain nombre de temps à l'air libre ; s'il en consomme sans s'en rendre compte et l'apprend après ingérassions, des nausées lui surviennes qui peuvent aller jusqu'à des vomissements, malgré que tout cela ne soit que psychologique.
Sous forme primitive, cette phobie lui disparais totalement.
Sinon, Cuiasi n'as pas une peur véritable, mais une grande méfiance à l'égard les alchimistes, qu'il reconnais désormais au premier coups d’œil, car il a développé un genre d'instinct de protection contre eux, suite à ses expériences passé.

Points faibles :
Les changements de formes sont très long à réaliser, si il s'agit de les employer dans un combat, Cuiasi rentre dans un état des stase mentale mais pas physique, il n'est donc pas invincible durant ces changements et est donc très vulnérable et facilement atteignable.
Son rapport philosophique aux êtres vivant peut occasionner des gênes et lui rendre la tâche moins facile ou moins rapide à réaliser ; il est contre tout emploie de montures organiques, contre l'utilisation domestique des animaux et essaye de protéger la plupart des êtres de l'enfermement ou de l'esclavagisme.
Ces points forts psychologiques, lui rende la vie plus dure pour ses voyages, et lui apporte souvent des soucies avec des contrebandiers ou avec la Loi.

Histoire ( 30 lignes minimum ) :
En court d'écriture, pas eu encore le temps désolé.
↓Voir plus bas, aux posts suivant↓

Rêves et / ou buts :
Libérer toutes espèces vivantes de l’oppression, avoir un maximum d'argent et vivre dans la luxure pendant une petite partis de sa vie, atteindre un niveau intellectuel, psychique et corporel inégalé, rejoindre et monter à la tête des Guerriers de Zolt, vérifier l'existence d'une nouvel faction de Renards Blancs et les faire se réunir sous sa personne, et finalement, refaire le monde à sa mesure.

Autres :
Cuiasi se déplace constamment avec un certains nombre d'objets dans sa besace, qu'il possède de son ancien maître et qui lui sont essentiels :
    - six couteaux de lancés, qui lui sont essentiels pour ses tours de jonglage et ses contrats.
    - de longues cordes enroulées, pour d'autres de ses tours de bardes et qui peuvent lui servir à escalader plus simplement, ou pour ligoter quelqu'un.
    - une luth, pour ses narrations, contes et chants.
    - une lame courte à simple tranchant, pour des éliminations propres.
    - des artifices, pour attirer l'attention quelque part, amuser ses spectateurs ou s'en servir comme "ouvre-forteresse", si extrêmement concentrés.
    - des crochets, pour crocheter les portes.
    - des sondes, pour désamorcer les pièges de coffres ou de portes.
    - une hachette, pour des combats moins propres ou pour enfoncer les portes.
    - une arbalète de point et 5 carreaux, pour surprendre ses adversaires à distance et en silence.
    - de l'alcool concentré et donc inflammable.
    - un astucieux système nain, de la taille d'une paume de gnome, confectionné à partir d'un silex, d'une pierre de lave, d'un chiffon trempé d'alcool concentré, et de micro tuyaux, le tout enfermé dans un morceau de fer qui s'ouvre et qui se ferme. Cette objet très originale et peut connue chez les autres peuples sert, en frottent le silex à la pierre de lave grâce au mécanisme, à créer une petite flamme.
    - des morceaux de bois simples et léger, pour servir de base à une torche.
    - des rebuts de chiffons de tissus, pour faire des tours de bardes ou les imbiber d'alcool pour créer une ou plusieurs torches.
    - du papyrus, et une plume de grand hibou, pour écrire, l'encre est souvent commune dans les villes, il suffit d'en voler ou d'en acheter.
    - plusieurs cartes menant d'un point à un autre.
    - un plan de système "appelé" boussole, une épingle planté à l'horizontale de part en part dans un morceau de liège, flottant sur un récipient rempli d'eau de mer, censé montrer la direction du nord.
    - un livre appelé : " les joies du barde, ou comment entourlouper les gens facilement. "


Ainsi que certains équipement dont il a hérité :
    - un porte couteaux de lancé, arçonnable à la cuisse ou au bras, contenant au maximum six couteaux.
    - une armure de cuir souple de basse facture, pour assurer des déplacement aisé.
    - un costume de barde de basse facture, couleurs verte principalement, avec du rouge, du violet vif et de coupe arrondis, qui cache l'armure de cuir.
    - un harnais à carreaux ; ceinture en bandoulière qui permet de placer 5 carreaux à porté de main, sans occasionner de gêne dans les déplacement et mouvement silencieux ou rapide.
    - une botte droite à fourreau dissimulé, pour ranger une lame courte à simple tranchant.
    - un ceinturon avec récipient sur le côté droit de la hanche, de forme cylindrique en cuir solide, pour dissimuler des explosifs ou artifices, ainsi que relier à un anneau en cuir pour attacher son arbalète de poing.

Le reste de son matériel est situés dans sa besace en cuire de taille moyenne, qui semble bien remplie.

Comment avez-vous connu le forum ? :
Par un top-site.

Avez-vous lu le règlement ? :
Oui, il y avais aussi un truc à recopier dans cette question, mais que j'ai oublié, genre si on jouais plusieurs fois dans la semaine généralement, il faillait le recopier, en rapport avec le chiffre trois et le chiffre quatre, et c'est généralement mon cas.
Ha! Oui! Je m'en rappelle : "Numéro 3 ou 4 ?"

Special thanks to :

Edelween Deomestris
sur qui j'ai plagié le format de présentation, et utilisé la race pour ce personnage.
Au staff créateur et gérants du fofo, pour m'avoir permis d'au moins postuler sur ce forum RPG, en le tenant à jour et en l'organisant de façon plus que correcte.
Tu pompe pas un peut là man?
Nan... du tout...


Dernière édition par Cuiasi Naur'coru le Mar 20 Déc - 14:43, édité 18 fois (Raison : ajouts et rectifications)
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Cuiasi Naur'coru
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Cuiasi Naur'coru


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MessageSujet: Re: Un nouveau champion, des nouveaux chemins... [Cuiasi Naur'coru] ( en création )   Un nouveau champion, des nouveaux chemins... [Cuiasi Naur'coru] ( en création ) Icon_minitimeMar 20 Déc - 12:48

Ce qui va suivre, est une écriture de façon RP de l'histoire de mon personnage.
Veuillez lire ma présentation avant ceci, pour avoir une meilleur compréhension de d'ensemble.
J'ai tenté de la réaliser du mieux possible, afin de la rendre à peut près cohérente avec l’univers d'origine, si il y a le moindre anachronisme ou problème de cohérence, je vous prie de le signaler en H-RP, je ferrais les rectifications nécessaires.
Vous pouvez tout autant constater que je ne suis pas un grand homme de lettre, mais je tente de faire de mon mieux donc soyez indulgent avec moi sur les fautes de grammaires, de syntaxe et d'orthographe... même si je m'approche du niveau d'un babouin en crise d'épilepsie.
Vous pouvez aussi me conseiller des meilleurs mise en page, grâce au BBcode accessible sur ce forum.
Je suis ouvert à toutes critiques constructives.
Merci d'avance et bonne lecture .


Évolution du contenue :

  • Introduction
    - rédigée, non validé.
  • Chapitre premier :La naissance de Nimgîl'coll et l'exclusion du jeune Ovorech
    - rédigé, non validé.
  • Chapitre deuxième : Péripéties d'un animale diminué
    - rédigé, non validé PS : veuillez supprimer le post erroné. PPS : votre BBcode me rend flou! bounce
  • Chapitre troisième : Un renard en cage
    - en cours de rédaction.
  • Chapitre quatrième : ???
    - idées en cours de formations dans mon esprit.
  • Chapitre cinquième : Les humains, le renard et le barde
    - vague idée du contenu.
  • Chapitre dernier : Barde! Barde! Barde n' Roll high school!
    - vague idée du contenu.
  • Chapitre actuel : ???
    -récit des actions précédents l'introduction.


Enjoy Very Happy .


Dernière édition par Cuiasi Naur'coru le Mar 24 Jan - 12:29, édité 5 fois
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Cuiasi Naur'coru
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MessageSujet: Re: Un nouveau champion, des nouveaux chemins... [Cuiasi Naur'coru] ( en création )   Un nouveau champion, des nouveaux chemins... [Cuiasi Naur'coru] ( en création ) Icon_minitimeMar 20 Déc - 12:54

Tout se mélange un peut dans mon esprit.
Le moment où c'est arrivé ?
Comment c'est arrivé ?
Par quelles moyens cela a-t-il put se produire ?
Ces questions qui se répètent et se bousculent en boucle dans ma tête, m'obsède.
Combien de temps cela fait-il que je suis assis ici, sur cette chaise, devant ce bureau de fortune encore emprunt de sa créativité et de son esprit ?
Depuis ce soir là, rien ne tourne rond, mon esprit confond réalités, souvenirs, imaginaire et faits surnaturelles.
Cela dure déjà depuis un bon bout de temps...
Ai-je faim ? Ai-je soif ? Ai-je vraiment perdu le sommeil, ou me l'interdis-je ?
Qui sait ?
Peut-être que tout cela n'est pas réel, que je vis un rêve depuis le début...
Non.
Trop de détails, trop d'images, trop de vies pour que cela ne sorte que de ma folie ou de mon subconscient.
Une seul image qui tourne et qui reste bloqué devant mes yeux ; pareils à ces étranges mécaniques gnomes qui diffuse des images faites de nuances de noir et de blanc, sur des mures en craie.

L'image est flou, sûrement dut au flash de l'explosion qui vient de se produire devant moi, je suis sourd.
Enfin non... pas totalement.
J’entends des sons, des genre de variations crescendo puis dé crescendo, les son aigu me brise les tympans, je suis dans l'incapacité de bouger.
Suis-je debout ? J'en ai l'impression.
Un bateau coule, celui sur lesquelles je suis je crois...
Des hommes s'agitent, des marchands. Non.
Des pirates déguisés en marchands je crois...
Elfes, humains, gnome ? Je ne sais plus....
En face, des dizaines de cannons font feu...
On nous a trahis.
Ai-je peurs ? Non, j'ai déjà connue cette sensation... on m'as drogué.
Qui ? Quand ? Où ?
Aucune réponse logique ne me viens.

Je suis sure d'une chose, si je ne réagis pas très vite, je mourrais bientôt, une question de secondes sûrement.
Je sens une tape sur mon épaule, je ne peut pas bouger.
Je vois un visage, celui d'Aliénis, qui essaye désespérément de me faire reprendre connaissance.
Il me secoue, il me gifle.
Mais rien... je reste stable et apaisé comme une de ces vaches d'enclos prête à subir son jugement dernier, la hache suspendu au dessus de son cous imposant, paisible, ne bronche pas.
Pourtant, c'est la mort qui l'attend.
Mais je ne suis pas une vache, et la vie m'en a trop fait baver pour que je reste sur ce bateau de malheur.
Je me sent tiré en arrière, je tombe. Je le sais car le monde se renverse, ce n'est pas la drogue, mon corps bouge, mais ce n'est pas moi qui bouge.
Je sais que mon maître me tire, je sais que c'est lui, je l'espère de tout cœur, je ne veut pas mourir.
D'un coup, un étrange mal me prend, je tourne la tête, et recrache une étrange patte orange et jaunâtre, puis plus rien... le monde a disparu, je suis dans le noir, le vide, suis-je mort ?
Çà ce pourrais, je ressens la même impression que cette fois là...

Mais soudain, le monde réapparaît.
Tout autre décors.
Allongé dans une ruelle sombre, je vois maître Sterkur qui lance des regards vers l'entré de l'impasse, mesurent mon pouls en me tenant le poignet.
Il m'as senti, il se retourne vers moi et me met debout en me prenant par les épaules.
Je reprend peut à peut mes esprits, il le sent et me dit :
- Maintenant on va devoir courir. Si tu veut vivre, tu doit courir...
Je sens qu'il n'as pas fini, son attention a été détournée. Un soldat de Hù-Béï !
Sans réfléchir, je me tourne vers le fond de l'impasse, je cour.
J’entends des cris derrière moi, sûrement le garde.
Dans ma tête, le mure est comme un ensemble d'action qui se suivent, je suis ces actions, je suis de l'autre côté, je ne réfléchie pas, je cour.
Maître Setrkur me suis, je ne vérifie pas, j'ai confiance.
Tout n'est qu'enchaînement de rues plus ou moins importantes, nous avons
déjà planifiés cette fuite des dizaines de fois, je sais comment sortir, le plan est graver dans mon hippocampe. Je suis ce plan et je le suis.
Tout fonctionne, happé dans la foule du marché, les gardes ne peuvent nous tirer dessus, mais nous, nous nous faufilons aisément.
Le temps que la foule se soit écartée, nous sommes aux portes, personne ne peut plus nous arrêter.
Un coup de feu ? Je sens la balle qui passe très prêt, puis j’entends le sifflement. Nous sommes dehors...

Nous ?
Je me retourne, Aliénis me passe devant, je suis soulagé, je me remet à courir.
Au début, quelques tires... puis ils se font plus importants, j’entends même des bruit de sabot qui frappent sur le sol au loin derrière nous.
Nous atteignons l’orée des bois avant la vallée. Plus de coups de feu mais les cavaliers se font plus pressent.
Pourquoi une armée se mettrais-t-elle à tirer sur deux malheureux bardes qui n'ont pas suivi le droit chemin ?
Surtout à Hù-Béï...
Ne réfléchis pas, tu ralentis.
Bientôt arrivé à la deuxième partie, le cheval est juste derrière moi, je le sent presque respirer, je sais ce que je doit faire.
Je saute, je m'accroche à cette grosse branche que j'avais marqué une semaine auparavant, mon poids me fait faire une révolution autours de la branche, j’entends un craquement, je lâche prise, tombe deux mètres plus loin environs, comme prévus...
Le cheval derrière moi est mort, empalé sur des pique de bois taillé dans une fosse, je n'ai pas besoin de vérifier, je le sais. Désolé... son cavalier ne doit pas être beau à voir non plus.
Je jette un coups d’œil vers Aliénis qui est à mon niveau, à plus ou moins cinq mètres.
Le garde le suis de prêt, de trop prêt...
Il dégaine son tanto de sa botte avec une agilité plus que remarquable, même pour un elfe.
Un délicat raisonnement de métal se fait et laisse place au silence, même les animaux se sont tus, la nature entière attend le dénouement.
Il se retourne et pare aisément le coups de lance du garde, qui tombe lourdement de sa monture.
Le pauvre idiot désarçonné est à moins d'un mètre du maître, son dernier soupir lui sera offert dans moins d'un seconde.
Pourtant, Aliénis n'avance pas, comme figé. Je regarde son visage : de la douleur... un carreau chanceux vient de se planter dans son corps.
Ce n'est pas possible... pourtant c'est vrai.
Je met ma main dans ma besace, je cherche... non ! Je trouve ma hachette, je l'empoigne et fonce vers le dernier cavalier monté.
J'estime sa trajectoire, j'arme mon bras et je lance ma hachette. Son crâne s'ouvre, un jet écarlate de forme parfaite, presque irréaliste, s'élance de la fente et vient s'étaler sur le peut de neige qui a put s’installer sous ces cerisiers.
La violence du choc le laisse sur place, il tombe, le cheval fuit.
Je récupère ma hachette en forcent un peut et déleste le bougre de sa bourse.

Me retournant, je ne vois pas tout de suit le maître, puis je me rend compte qu'il est au sol.
J'accoure vers lui, il respire faiblement ; le carreaux a perforé son poumon droit.
Aliénis m'avais appris des techniques rudimentaire de premiers secours par les plantes, mais je n'étais jamais réellement parvenus à m'en servir.
Tentent le tout pour le tout, j’asseye tout de même de lui apporté des soins, il sourit, je suis stupéfait pendant un instant qui me parais très long, puis je continu.
Aliénis m'arrête, même blessé, la pression de sa poigne sur ma main m'empêche de continuer.
Il respire fortement et soupire :
- Ne t'en fais pas...
grande respiration
- Tu n'as plus besoin de moi, tu en sais d’ailleurs trop, je n'aurais pas put supporté que tu me surpasse un jour...
tousse à plusieurs repris et lâche une petite gerbe de sang
-Il me reste peut de temps, on ne se reverra jamais, donc laisse ma vie de côté et vie la tienne, atteint tes objectifs, c'est tout ce que je peut te conseiller...
Puis il ajoute :
- J’espère avoir été un bon camarades de passes...
Son regard devient livide, mais son sourire persiste, il est partit.

La suite est flou elle aussi, je me souvient avoir prie son corps et l'avoir apporté jusqu’ici, dans la planque de la vallée.
Ça m'as pris une heure ? Deux heures ? Peut être trois...
Je me suis ensuite occupé de son corps et l'es enterré prêt de l'entré de la grotte, sur le terre-plein, sous la lumière de la lune.
Puis j'ai ouvert notre porte de fortune, dissimuler derrière quelques branches mortes et des rochers ingénieusement arrangés.
Je me suis ensuite assis sur cette chaise, et le temps c'est écoulé.
Me voilà maintenant, en l'attente d'un signe ou d'une aide quelconque, ne sachant pas quoi faire...

Si !
Je sais ce que je vais faire !
Je vais écrire mon histoire, pour que jamais je n'oublie, comment j'en suis arrivé là, et que je puisse comme cela, avancer la tête fière, face aux prochains périples qui bercerons ma route.

Cuiasi prend une plume et la trempe,

Depuis quand ma vie est-elle devenu si compliqué ?
Si...
Je sais...

Puis il se met à écrire :


Dernière édition par Cuiasi Naur'coru le Mar 20 Déc - 14:50, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Un nouveau champion, des nouveaux chemins... [Cuiasi Naur'coru] ( en création )   Un nouveau champion, des nouveaux chemins... [Cuiasi Naur'coru] ( en création ) Icon_minitimeMar 20 Déc - 13:01

Chapitre premier :
La naissance de Nimgîl'coll et l'exclusion du jeune Ovorech



Tout débuta sur une minuscule île d'Elvem Adisïl, je ne me souviens pas du nom exacte de celle-ci, dans le sein d'une tribu de Yaos et de BanYaos d'espèces canidé, dénommé par ceux-ci : Estel Lasbelin, ou espoir d'automne traduit du Sindarin ( langue elfique employée dans cette tribu ), ce nom faisait surtout allusion aux nombreux Yaos renards qui peuplaient le groupe.
Parmi cette espèce précise, vivais les deux patriarches essentiels : Beriaarthan, le mâle dominant et Eriaarthan, la chef de clan.
Le groupe étais apparemment très unies et n'étais en conflit avec aucun autre, pour cause du fait qu'il n'est jamais existé ou qu'il est été exterminés, mais la réalité officiel est la première cité.
Tout ce déroulais pour le mieux, le clan se développais dans son autarcie restrictive ; procréation, chasse, approfondissement de l'esprit par les mœurs et les croyances et massacre de quelques malheureux humains qui aurais put se promener dans le coin.
Le culte de l'Origine, étais de mise et personne ne le réfutait, ou en tout cas, ne voulait le réfuter.
Puis je suis arrivé, moi, l'élément perturbateur, enfant provenant des deux patriarches.
Dénommé à l'époque : Nimgîl'coll, ou la faible étoile rouge dorée, dut au mal que j'ai donné à ma génitrice pour naître, et à la faible consistance de mes muscles à ma naissance, heureusement cela c'est arrangé avec le temps.

Vous savez, la plupart des prophéties que j'ai entendu et lu au court de mes périples, parlaient de sauveurs ! De champions ! Qui sauverais les opprimés ou carrément le monde ! Étant barde j'en connais un rayon.
Mais non... dans cette tribu ci, la croyance de rigueur, étais qu'un jour, un enfant né des deux élus, écarlate comme l'éclipse des trois lunes, causerai la chute du clan. Apparemment, je n'est pas étais désigné comme tel, dès mes premiers instants de vie, notre espèce étant vivipare, l'anté-origine aurait été chacun de nous. Ce fut l'année de mes cinq ans.
Ayant subit un lavage drastique de crâne durant cette longue période pour un humain, j'étais même apte à croire à leurs histoires de jugements dernier, d’apocalypse et de fin de notre espèce, j'étais un élève plutôt enthousiaste à l'époque.
J'avais déjà appris à survivre dans des conditions précaires, seul dans la forêt, subissant un test de survie avec mes compères de quatre ans. Plutôt sympathique ! Mais je vous passerais les détails...

Donc, à l'âge fatidique de nos cinq ans dans ce groupe, une épreuve de valeur nous est tous imposés pour pouvoir persister au sein du clan ; l'Echui, ou éveil.
Cette épreuve consiste en l'appropriation de son esprit thème, soit pour moi, le renard.
Au court de cette « éveil », un ancien nous drogues avec des extrais de racines fermentés, c'est peut être de là que me viens mon goût pour les « voyages psychotropiques », et nous passons dans ce qu'on appelle : l'Hortha ou la stimulation.
Dans cette état l'esprit vagabonde et nous empêche de nous contrôler, vient alors notre esprit naturel qui s'associe à notre corps et en prend le contrôle.
Suite à plusieurs heures de « voyage extra-corporel », cette esprit nous offre un don, qui est de pouvoir manipuler les chakras de notre esprit et de notre corps afin de les associer et de prendre notre véritable forme ; celle que j'appelle primitive.
Nous viens alors le lendemain, un second test qui est l'accomplissement de l'éveil, où on nous demande d'appliquer ce qu'on nous a appris la veille, si on réussissaient, on obtenais notre vrai nom, équivalent à un nom de famille, chez vous les autres.
J’appliquais à la lettres les conseils donnés pour ce faire, et en rouvrent les paupières, que je ne mettais même pas senti fermer, tout visages autour de moi étais effrois.

Chacun de mes semblable ne sachant que faire devant cette immondice, ce rejet impardonnable d'Origine, se contentai de me fixer, les yeux ébahis et la gueule semi-ouverte.
J'étais l'« anté-origine », il s'en suivi alors des théories étranges et dont seul Dieux lui même, avait la clef, à propos de ma présomption d'innocence, puis des problème d'éthique que mes géniteurs avais à propos de mon bannissement.
Suite à ces affabulations de déments on me donna pour nom Ovorech, ou l'épine du groupe, très charmant me direz-vous.
Des débats de conseils suivirent et se succédèrent plusieurs années durant,pendant lesquelles je fut jugé de tout les maux et interdit à tout contacts avec les autres membres du groupes, sous peine de mort, jusqu'à l'âge de mes sept ans, où il fut décidé que j'étais apte à quitter le nid familiale, pour porter le mauvais œil ailleurs.
Le conseil m'expliqua que je devais me déplacer jusqu'à l'île qui se trouvai en face.
De la plage, on voyais ces étranges sommet aforme et qui paressai totalement improbable.
Ils eurent ensuit l'extrême bonté d'âme, de me donner un plan détaillé de ce que j'allais faire... enfin, on m'offrit un voilier ridicule, et me conseilla d'aller toujours tout droit.
Ce qu'évidemment j’essayai de faire, moi, crédule comme un gamin de de sept ans.

Alors je navigua trois jours durant sur mon radeau de fortune, me désaltérant comme je pouvais avec les quelques feuilles de cornier qu'on m'avais gentiment légué ( une espèce végétale très répandu sur l'île ou j'ai été procréé et qui sert essentiellement au filtrage de l'eau salé ).
Puis enfin, avec la faim me tenaillant et le manque de sommeil, me rendent la réalité dure à associer à des idées non erronés, car n'avais vous jamais essayés de dormir sur une planche de bois qui clapote constamment à la surface de l'eau, avec votre voile rongé par le vent salé qui bat le rythme des vagues ? Je ne vous le souhaite pas, j’aperçus la terre, certes elle ne me paressai pas particulièrement accueillante, mais elle était source d'espoir à mon estomac...
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Cuiasi Naur'coru
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MessageSujet: Re: Un nouveau champion, des nouveaux chemins... [Cuiasi Naur'coru] ( en création )   Un nouveau champion, des nouveaux chemins... [Cuiasi Naur'coru] ( en création ) Icon_minitimeMar 24 Jan - 10:11

Chapitre deuxième :


Un renard en cage









Une bonne demi-heure me séparai de la rive, et plus je me rapprochai,
plus la distance semblai grandir. Je
crois bien que ce fut la distance la plus atroce que j'ai eu à subir de toute
mon existence ; la faim et l'envie de trouver un endroit stable pour enfin
trouver le sommeil me rendirent en cette instant, la plus primitive des bêtes,
certes cela me conféra une force que je ne me connaissais point, mais en
contre-partis, le simple fait de vouloir penser ou d'observer quelques peut les
alentours pour prendre conscience d'un quelconque danger, m'étais tout à fait
impossible à réaliser.
Rament comme un dément, luttant contre vents et marées, j'accomplis l'exploit
en moins d'une vingtaine de minutes. Je ne fit même pas l'effort de faire
rejoindre mon embarcation de bois, rongée par le sel et ramollie par les mers.


Une fois la plage semblent à portée raisonnable, je ne sais pas comment
j'y parvenu, mais mon corps se leva et fit un grand bond pour atterrir dans
l'eau, puis je puisa dans mes limites pour nager jusqu'à la berge. Je ne
pourrais affirmer le temps que m'as prie ces dernières actions, car toutes ce
qui se passa, je le fit juste par instinct ; ne sentent plus, ni la douleur, ni
la faim, ni la fatigue.





Une fois le sol
au contacte de ma main droite, j'enfonçai mes petits doigts profondément dans le
sable et me servi de cette maigre prise pour me donner une impulsion et finalement
avoir le corps entier touchant cette terre, de fins, lisses et minuscules
cailloux.


Pendant un
instant mon esprit lâcha, et des larmes coulèrent abondamment sur mes frêles
joues pâle d'enfant sauvage, je ne bougeai
plus, allongé sur le ventre, j'attendais un évènement improbable ; une mains
tendu, un sourire, un bon plat chaud. Soudain je me retrouva dans le noir, puis
une lueur s'illumina et se faisant de plus en plus puissante, je put apercevoir
mes deux géniteurs et d'autres anciens
autour d'un grand feu, où les jeunes Ban-Yao préparais le festin du soir.
J'accourus alors vers cette pitance tant espérée et j’arrachai une cuisse à un
lièvre qui reposai sur une pierre installé sur le feu et la dévora sans plus
attendre. A chaque bouchées une sensation étrange me faisais éclater de rire ;
une sorte de chatouillement qui se produisait du fond de ma gorge, quand les
morceaux de viandes traversais mon œsophage, et les autres qui me contemplais
et qui se mettais à rire les uns après les autres, comme une maladie
contagieuse, qui permettait une sorte de concert de cris viscérales, profond et
remplis de joie et d'affection.





Puis une
violente vague me ramena à la raison et me repoussa plus haut sur la plage, je
compris que mes rêves de vie paisible ne s’étaie pas exaucés.


La joie se
transforma alors en haine, et c'est cette rancœur qui me permit de me lever une
seconde fois et me fit courir vers la foret qui se dressais devant moi. Je
voulais détruire tout sur mon passage, anéantir la moindre petite existence qui
m'entourais.


Je n’eus pas
à chercher longtemps qu'un étrange animale qui se rapprochais beaucoup des reptiles
présents sur mon île natale mais en bien plus coloré et tape à l'œil. Je
m'arrêta et regarda ce petit quadrupèdes qui me faisait face, puis il se dressa
d'un coup sur ses pattes arrière, comme pour m'intimider et me lançai un regard
de défi, mais moi je ne bronchais pas, mais mon visage avais prie un aspect de
bête blessé et rempli de rage.


Le gros lézard
pris de panique, se jeta sur mon petit corps, mais d'un mouvement vif et précis
j'attrapai ce qui s’apparentait à sa nuque. L'animale stoppé net et surpris, s'anima
d'une étrange façon et gesticula dans tout les sens.


Ne faisant
que très peut attention à ses gestes brusques, je pressai de plus en plus fort
son cous jusqu'à ce que j'entende un craquement distinct, puis l'animale s'arrêta
immédiatement et ses membres se désarticulairent, comme une de ces marionnettes
de spectacles très en vogue chez les artistes de rue de Hù-Béï.


Sans plus
attendre je lâcha le corps au sol et pris forme de renard, puis me mis à
dévorer le corps de ce reptile, qui s'approchait de la taille du mien sous
cette forme.


Une fois
quelques morceaux de viandes arrachés et avalés, mon corps entier se crispa, et
je ressenti enfin toute la fatigue accumulé jusqu'à maintenant. Il m'étais désormais
impossible de faire le moindre mouvement, la douleur étais intense et j'avais
l'impression que tout les muscles de mon corps allaient se déchirer.


Je m'effondra
alors comme une masse sur le sol, réussissant à basculer, par un dernier effort,
pour me faire tomber, puis je sombra dans un sommeil profond et immédiat...
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Chapitre deuxième :
Péripéties d'un animale diminué


Une bonne demi-heure me séparai de la rive, et plus je me rapprochai, plus la distance semblai grandir. Je crois bien que ce fut la distance la plus atroce que j'ai eu à subir de toute mon existence ; la faim et l'envie de trouver un endroit stable pour enfin trouver le sommeil me rendirent en cette instant, la plus primitive des bêtes, certes cela me conféra une force que je ne me connaissais point, mais en contre-partis, le simple fait de vouloir penser ou d'observer quelques peut les alentours pour prendre conscience d'un quelconque danger, m'étais tout à fait impossible à réaliser.
Rament comme un dément, luttant contre vents et marées, j'accomplis l'exploit en moins d'une vingtaine de minutes. Je ne fit même pas l'effort de faire rejoindre mon embarcation de bois, rongée par le sel et ramollie par les mers.
Une fois la plage semblent à portée raisonnable, je ne sais pas comment j'y parvenu, mais mon corps se leva et fit un grand bond pour atterrir dans l'eau, puis je puisa dans mes limites pour nager jusqu'à la berge. Je ne pourrais affirmer le temps que m'as prie ces dernières actions, car toutes ce qui se passa, je le fit juste par instinct ; ne sentent plus, ni la douleur, ni la faim, ni la fatigue.
Une fois le sol au contacte de ma main droite, j'enfonçai mes petits doigts profondément dans le sable et me servi de cette maigre prise pour me donner une impulsion et finalement avoir le corps entier touchant cette terre, de fins, lisses et minuscules cailloux.
Pendant un instant mon esprit lâcha, et des larmes coulèrent abondamment sur mes frêles joues pâle d'enfant sauvage, je ne bougeai plus, allongé sur le ventre, j'attendais un évènement improbable ; une mains tendu, un sourire, un bon plat chaud. Soudain je me retrouva dans le noir, puis une lueur s'illumina et se faisant de plus en plus puissante, je put apercevoir mes deux géniteurs et d'autres anciens autour d'un grand feu, où les jeunes Ban-Yao préparais le festin du soir.
J'accourus alors vers cette pitance tant espérée et j’arrachai une cuisse à un lièvre qui reposai sur une pierre installé sur le feu et la dévora sans plus attendre. A chaque bouchées une sensation étrange me faisais éclater de rire ; une sorte de chatouillement qui se produisait du fond de ma gorge, quand les morceaux de viandes traversais mon œsophage, et les autres qui me contemplais et qui se mettais à rire les uns après les autres, comme une maladie contagieuse, qui permettait une sorte de concert de cris viscérales, profond et remplis de joie et d'affection.

Puis une violente vague me ramena à la raison et me repoussa plus haut sur la plage, je compris que mes rêves de vie paisible ne s’étaie pas exaucés.
La joie se transforma alors en haine, et c'est cette rancœur qui me permit de me lever une seconde fois et me fit courir vers la foret qui se dressais devant moi. Je voulais détruire tout sur mon passage, anéantir la moindre petite existence qui m'entourais.
Je n’eus pas à chercher longtemps qu'un étrange animale, qui se rapprochais beaucoup des reptiles présents sur mon île natale mais en bien plus coloré et tape à l'œil, me fit face. Je m'arrêta et regarda ce petit quadrupèdes qui me faisait face, puis il se dressa d'un coup sur ses pattes arrière, comme pour m'intimider et me lançai un regard de défi, mais moi je ne bronchais pas, mais mon visage avais prie un aspect de bête blessé et rempli de rage.
Le gros lézard pris de panique, se jeta sur mon petit corps, mais d'un mouvement vif et précis j'attrapai ce qui s’apparentait à sa nuque. L'animale stoppé net et surpris, s'anima d'une étrange façon et gesticula dans tout les sens.
Ne faisant que très peut attention à ses gestes brusques, je pressai de plus en plus fort son cous jusqu'à ce que j'entende un craquement distinct, puis l'animale s'arrêta immédiatement et ses membres se désarticulairent, comme une de ces marionnettes de spectacles très en vogue chez les artistes de rue de Hù-Béï.
Sans plus attendre je lâcha le corps au sol et pris forme de renard, puis me mis à dévorer le corps de ce reptile, qui s'approchait de la taille du mien sous cette forme.
Une fois quelques morceaux de viandes arrachés et avalés, mon corps entier se crispa, et je ressenti enfin toute la fatigue accumulé jusqu'à maintenant. Il m'étais désormais impossible de faire le moindre mouvement, la douleur étais intense et j'avais
l'impression que tout les muscles de mon corps allaient se déchirer.
Je m'effondra alors comme une masse sur le sol, réussissant à basculer, par un dernier effort, pour me faire tomber, puis je sombra dans un sommeil profond et immédiat...
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