Nom : Raneria
Prénom : Lalween
Âge : 312 ans
Race : Haute Elfe
Religion : Athée
Groupe : Elvem Adisïl
Profession (unique): Duchesse de Quel’asim
Description physique :
De taille légèrement inférieur que ceux de sa race, Lalween mesure un mètre 58 et possède un corps parfaitement proportionné à sa taille. Mais là où Lalween ne passera pas inaperçu, c’est tout simplement qu’elle fera tourner des visages et laissera derrière elle des envieuses et des jalouses là où elle passera et ce même en se basant sur les critères des elfes. Des cheveux mi- blanc, mi- argenté lui tombent jusqu’au bas du dos et pas une mèche de travers. Elle a les yeux verts et comme le reste du visage, ils ont un petit air moqueur et charmeur ce qui fait qu’il est difficile de savoir ce que pense réellement cette elfe. D’un teint clair, elle est toujours légèrement maquillé sans vraiment en abuser, Lalween aime attirer l’intention et sait pertinemment bien qu’elle n’a pas vraiment besoin de cela pour le faire, qu’elle a juste besoin de se montrer féminine devant une assemblée.
Niveau accoutrement, étant de la haute noblesse d’Elvem Adisïl, c’est des étoffes richement décorés qu’elle portera. Souvent habillé d’une longue robe sombre, mettant en valeur ses atouts, suit souvent des mitaines en tissu et une paire de bottines complète le tout. Soyons honnête, Lalween n’a rien d’une aventurière qui passerait la nuit à la belle étoile ou dans une auberge miteuse en compagnie des puces et cela se lit sur son visage. Les armes ? Aucune car après tout, il ne serait pas étonnant de voir une telle femme rechigner de s’être casser un ongle en plein milieu d’une bataille, préférant la magie, un art « plus propre » selon ses dires même si elle cache le fait qu’elle sache plutôt bien manier l’arbalette.
Comportement :
Ayant passé une bonne partie de son enfance entre la cour royale, professeur particulier et la tour des mages, Lalween est donc quelqu’un loin d’être stupide à l’aise dans les intrigues ou autres complots et suffisamment intelligente pour avoir la tête sur les épaules. Rusée et patiente pour parvenir à ses fins, cette femme est typique de ses elfes qui estiment que rien ne presse pour résoudre un problème correctement. Mais « correctement » est un mot où il faut être particulièrement prudent avec Lalween car il faut savoir qu’elle n’a rien à voir avec ses elfes idéalistes, pacifistes propageant l’amour et la paix autour de soi la rose à la bouche. Lalween est rusée, manipulatrice au point que certains l’estiment tout simplement perverse et dangereuse. Pour arriver à ses fins, Lalween n’hésite pas à utiliser toutes les options à sa disposition en passant par la plus sournoise ou la plus immorale, une adepte du « frappe qu’une fois mais frappe fort » en quelques sortes. Il est difficile de savoir à quoi elle pense si ce n’est qu’elle est particulièrement rancunière même si une vengeance peut prendre des années si ce n’est pas des décennies, ce qui fait d’elle une sacrée mauvaise perdante.
Dans l’ensemble, l’elfe reste quelqu’un d’agréable, courtoise et d’élégante même dans les situations les plus tendus, un comportement qui parfois agace beaucoup, surtout si on se fît à ce sourire charmeur mais ô combien provocateur. Car provocatrice, Lalween y ait. Ayant une définition bien étrange de l’amusement, l’elfe est tout simplement une garce en puissance, trouvant « marrant » de voir deux hommes se battre à mort pour elle, sans parler des quelques scandales du même genre qui sont malgré tout souvent étouffés. Il n’est donc pas rare qu’elle traine derrière elle une réputation de trainée parmi les autres femmes de la cour. Hors avec elle, il faut particulièrement faire gaffe à ses mots en sa présence car si elle n’utilise pas la magie, c’est surement pour la simple et bonne raison qu’elle aime être sous-estimée, et ce pour mieux achevé. Et si elle peut se débarrasser « proprement et légalement » de rivaux, c’est une personne où il ne vaut mieux pas figurer parmi ses ennemis. Il faut savoir que Lalween, malgré un comportement dépravé, est une nationaliste zélée accro au pouvoir, ce qui est parfaitement typique des Raneria. Pas du genre à aimer les longs discours et à braser du vent, cette femme n’aime pas voir les siens mourir sans que la nation et bien entendu elle, n’ait rien gagné en échange.
Pouvoir(s)/Magie(s) :
Lalween est issue d’une famille où la magie des arcanes est pour ainsi dire une tradition. L’elfe ne fait pas exception à son père, elle est particulièrement douée dans les arcanes et connait parfaitement les subtilités de la magie arcanique avant de véritablement se fier à sa puissance. Lalween manipule l’énergie pure, une magie rarement apprise car dangereuse et épuisante sauf qu’ici, c’est l’utilisation que peu en faire Lalween qui est en dangereuse, pas spécialement la magie en elle-même. Car c’est méticuleusement et avec précision que l’elfe l’utilise, se contentant bien souvent d’un simple filament, une arme plus souple et plus efficace qu’un fouet, où il ne suffit que de doser l’énergie pur si elle veut simplement entraver le bras de son ennemi (avec une vilaine brulure à la clef) ou si elle veut trancher tout simplement le poignet. Sachant que ce type de magie arcanique est épuisant, Lalween l’utilise de façon intelligente et ne la montre à personne pour mieux surprendre. Autant dire que ce n’est pas une femme de combat, peu de personne connait l’étendu de cette magie et ceux qui l’ont connu ne sont plus de ce monde pour avoir fait l’erreur de la sous-estimé, une erreur que l’on ne commet pas deux fois.
Mis à part cela, elle a des quelques connaissances théoriques dans le domaine de la divination. Divination, non pas dans le but de découvrir l’avenir tout en tapant la discute avec les dieux, divination dans le but dans des buts d’espionnage sur les évènements présents. La magie est très mal vu, peu respecté et fumeuse et si Lalween n'en pense pas moins la plupart du temps, elle fait parti de ses personnes qui n'hésite pas à faire appel à un ou deux "mages divins" pour avoir un second point de vue. Inutile de dire que ce point là, elle évite de le crier sur tous les toits car ça en ferait sourire plus d'un.
Peurs : Peur de la torture, en particulier si c’est physique. Elle s’est déjà posée la question une fois lors d’un interrogatoire et si voir se faire « cuisiner » un prisonnier ne lui fait ni chaud ni froid, elle ne tiendrait pas longtemps (si ce n’est pas du tout) lors d’un interrogatoire musclé à la place du prisonnier.
La seconde peur est de voir sa race tombé dans l’oubli. Lalween n’est pas bluffée, ne faisant pas parti de ses conservateurs qui hurle au moindre changement ou évolution, aux fils des siècles elle a que très bien vu que le royaume elfique finira un jour par tomber dans l’oubli et n’atteindra plus son âge d’or si rien n’est fait.
Points faibles : Cette crise de nationalisme peut être considéré comme dangereuse pour certains. Même si elle ne fait pas parti de ses va-t-en guerre telle que les elfes sauvages, elle n’a pourtant rien à leur envier. Une guerre se doit d’être donnant-donnant, où le sang d’un elfe doit se payé relativement cher et ce n’est pas en restant dans l’isolement que la nation connaitra son âge d’or. Elle aurait pu soutenir Démeria mais ne l’a pas fait pour cette raison uniquement. En gros, si tout le monde devait se fier qu’à Lalween, nul doute qu’Elvem Adisil serait proche de l’état militaire qui n’attend que la moindre opportunité pour s’agrandir…
Les petits scandales de Lalween Raneria et sa manière de vivre sont connue par certains, voir même légendaire dans la cour royale. Dépravée, libertine, il n’est pas rare qu’elle choque les elfes les plus conservateurs et si elle n’avait pas ce titre de Duchesse et l’influence qui va avec, nul doute qu’ils ne la soutiendraient plus. En clair, Lalween agace, elle gêne et il n’est pas rare que son nom soit synonyme de « garce », ce qui peut provoquer certains règlements de compte avec ses paires quand il s’agit de réparer son honneur.
Histoire :
Raneria, un nom qui revient plusieurs fois dans les réunions et la cour royale elfique pour plusieurs raisons. Les Raneria sont une lignée noble qui peuvent prétendre et se vanter d’avoir le titre de Duc sur Quel’adil, propriétaire de plusieurs comptoirs commerciaux et d’avoir la main mise sur plusieurs îles stratégiques en Mer du centre. Lalween peut donc se vanter d’appartenir à ce lignage et d’avoir hériter du titre de Duchesse.
Née en pleine guerre des enfants de Malagazanne, Lalween n’aura pas vraiment eu le temps de connaitre son père qui fera partie des nombreuses victimes de cette guerre. Si le titre de Duchesse aurait pu lui revenir de droit, c’est sa mère qui deviendra régente jusqu’à ce que sa fille soit en âge de comprendre au moins les responsabilités qui l’attendaient. La réalité sera tout autre vu qu’Eilween fera en sorte de maintenir sa fille loin de la cour pour ne serait-ce que pour garder le pouvoir le plus longtemps possible. C’est ainsi que l’enfance de l’elfe voyagera entre le domaine ducale en compagnie de précepteurs et la tour des mages.
Tout aurait pu aller pour le mieux si ce n’est vers ses 120 ans que Lalween commença à montrer un comportement de peste et rebelle à la fois à l’époque où elle étudiait en tant qu’apprenti chez les mages. Se rendant compte qu’elle pouvait se jouer relativement facilement de son entourage, elle le fera pour marquer sa période rebelle avant d’y prendre sérieusement goût, jouant à des jeux de plus en plus dangereux. Si l’étudiante niveau compétence est on ne peut plus exemplaire, son comportement et la mauvaise ambiance et les scandales qu’elle propagera autour d’elle resteront pour ainsi dire dans les annales : renvoi de plusieurs élèves, réputations de trainée dans les dortoirs, sa carrière d’apprentie magicienne s’arrêtera quelques années avant qu’il n’ait terminer réellement sa formation pour la simple et bonne raison qu’elle est la responsable d’un duel entre mage qui a mal tourné (un blessé grave, un mort) alors qu’elle les regardait se battre le sourire aux lèvres.
Lalween est donc pour ainsi dire quelqu’un de pas très recommandable et il est inutile de s’étendre longuement comme quoi elle a tout de suite trouvé ses repères quand elle a dû commencer à fréquenter la cour royale et les affaires. A ses deux siècles passés, elle commença à vraiment s’intéresser aux affaires familiales et à celle du royaume. La famille a toujours été géré correctement mais Lalween, plus accro à l’or que sa mère, semble mener une politique bien plus agressive que cette dernière. Sa première politique est en effet une extension des avant-postes commerciaux dans la mer du centre et l’agrandissement de la flotte commerciale dans les années 1280.
Mais penchons-nous d’abord sur ces dernières années. A la sortie de l’âge de l’Obscurantisme, elle sera malgré tout la première à souffrir de la guerre commerciale avec Athée avec une partie de sa flotte marchande de coulé, n’étant pas nécessairement près pour une bataille rangée. Elle est en revanche l’une des premières à avoir profité des subventions pour les fortifications… Subventions en partie sucré après l’annulation du projet de fortifications. Cela vaudra plusieurs débats houleux et quelques grincement de dents avec le roi Kalaman’Dori. Elle l’a d’ailleurs rendu en soutenant le Haut-Duc en ce qui concernait l’intervention à Déméria : il n’y avait rien à gagner alors que la cessation de plusieurs îles Démériennes aurait largement suffit dans cette histoire pour la convaincre. Cependant, même si les relations avec Tharan Tréduil n’ont pas toujours été au beau fixe, les deux se sont toujours respectés au point de soutenir ensemble ce projet de défense magique sur le royaume.
Rêves et/ou buts : Rendre la gloire d’autan à Elvem Adisil. Faire en sorte que sa dynastie domine la Mer du Centre.
Autre : Certains savent qu'elle finance un réseau d'espionnage indépendant du Royaume mais aussi qu'elle copine avec certains Corsaires après la période de la guerre commerciale où elle a beaucoup souffert.
Comment avez-vous connu le forum ? : Second Compte de Mélia
Avez-vous lu le règlement ? : [Validé par l'Origine]